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Lave de laine
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, merci encore pour me faire part de la sensation de quiétude que tu trouves dans ce poème. Selon la couleur des mots, je me glisse, en poète, dans la peau du lecteur pour y recueillir un frisson, un soupir, un sourire, ou un frémissement. Je sais choisir avec exactitude dans la palette de couleurs, celle qui mélangée à une goutte d'eau saura produire exactement, une émotion. Par contre, presque comme un aveugle, je ne sais pas ce que sera l'émotion, car elle dépend entièrement de la sensibilité du lecteur. Or les commentaires que tu laisses avec autant de sincérité sous chacun de mes textes, me donnent exactement une image, que je découvre, avec surprise, comme un aveugle pour qui la vue serait revenue miraculeusement. J'ai toujours été étonné par cette légende, car il s'agit probablement d'une légende, qui faisait d'Homère un aveugle. La signification symbolique de ce détail, qui à proprement dit est caractéristique de la pensée grecque, justifie la conception de la poésie pour les Grecs, qui considéraient cet art être l'égal de la sculpture de la musique ou de la peinture. D'ailleurs, quelques dieux ou demi-dieux en possédaient le privilège, comme Hermès ou Orphée. Et en effet, lorsque j'écris, je ressens l'intime sensation d'être aveugle. Ainsi par tes quelques mots, je vois. Merci Léo. Cordialement F. Étienne. De la roche du temps coule l'éternité Où nous abreuvons l'âme en sa sérénité.
Douleurs d’ogre
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, combien raison as-tu de souligner l'engagement que nous devrions tous prendre dans des vies qui sont toutes particulièrement courtes. Nous sommes tous nés pour la joie et le partage. Ce sont d'ailleurs les piliers de tous les cultes. Mais il est vrai que notre égoïsme inné nous éloigne de ces vertus et que nous sommes tous assaillis par la tristesse, dont inévitablement nous ressentons les aiguillons, lorsque face à nous-mêmes, seuls, nous en souffrons les douleurs. Bien sûr nous cherchons tous le meilleur, bien sûr nous cherchons tous le bon, mais cherchons-nous véritablement à partager ? Et n'est-ce pas dans le partage, avec l'autre, que nous puisons la joie et le nectar du bonheur ? Je n'ai toujours pas compris l'insanité de ces quelques milliardaires qui se construisent des abris anti atomiques pour protéger leur vie d'une extinction du monde, et cette folie ne peut s'expliquer que par le refus du partage. Que ce soit le refus de partager une vie avec les autres, ou que ce soit le refus de leur mortalité, car après tout, enfermés dans leur capsule anti atomique il faudra bien qu'un jour il passe par la mort aussi. Ce culte de l'immortalité à travers le refus est la totale négation de leur vie, de leur vivant. Et il est vrai, qu'un papillon, un valet, ou une danseuse s'affairent tous au culte de la vie. Encore une fois Léo tu me conduis sur ces sentiers obscurs de la pensée dont tes quelques mots ont éclairé la sinueuse course. Cordialement, F. Étienne. Les mots sont des biscuits qui fondent dans la bouche Comme la sève d'or d'une divine souche
Lambeaux d’âme
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, merci de t'être laissé porter dans un voyage au coeur même d'une tempête poétique ! Le but de mon écriture n'est pas précisément de décrire mais bien de perdre le lecteur dans un monde, dans lequel il peut reconnaître de nouvelles couleurs, de nouvelles sensations, de nouvelles senteurs ou de nouveaux murmures, qui existent en lui ou autour de lui. C'est ce qui donne à ce texte, comme à bien d'autres d'ailleurs, la sensation de l'audace et de l'unicité. J'avais défini dans la présentation de « Vitraux de songes » le texte comme étant celui d'un kaléidoscope. J'ai toujours eu une grande passion pour ce jouet, car avec quelques morceaux de verre de couleur et une loupe, on transforme le monde, uniquement par la lumière, et on le fait disparaître uniquement par un mouvement. Et bien qu'il n'y ait que deux ou trois couleurs différentes, on construit des milliards de réalités. La poésie reproduit exactement le même phénomène avec les mots et leur puissance, en utilisant un seul rayon, celui de la pensée. Aussi n'est-il pas difficile d'écrire avec très peu de mots et de faire naître de ce kaléidoscope un monde qui enchante notre regard et notre cœur. La seule différence c'est qu'on ne secoue pas la poésie, mais on n'en juxtapose les éléments, comme dans un puzzle, en obéissant à des règles très précises, pour faire surgir un tableau complet d'une seule sensation : l'enchantement. Merci encore Léo pour tant de commentaires si riches. Cordialement, F. Étienne . En barbouillant la nuit d'une couche de miel La lune et son argent enlumine le ciel.
Parabole du pauvre
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, encore une fois merci pour cette profonde réflexion autour de ce poème, dans lequel tu qualifies ma poésie de « refuge du juste » et cela me touche beaucoup. On s'imagine toujours que la poésie est détachée de la morale, et étrangement on la rapproche de la beauté et de l'art. Mais la poésie fait partie de notre vie et conséquemment de notre divinité. Ainsi elle porte en elle, ce que Platon déjà affirmait avec beaucoup de clarté, non seulement la vérité, la beauté, mais encore le juste. Toute forme de création doit contenir ces trois qualités pour faire partie de notre humanité. On confond souvent morale et moralité, l'une étend une règle et l'autre une pratique. Les fables de La Fontaine se terminent toutes par une morale, éternelle, dont nous pouvons encore aujourd'hui nous instruire. Or la morale est le rempart de la pauvreté. Tous les saints en ont fait une règle de vie, à partir de laquelle ils ont construit leur propre sainteté comme un culte rendu à Dieu, précisément par la morale et comme tu le remarques avec beaucoup de justesse, le temps, qui inscrit la mort dans nos vies, nous rend tous égaux et surtout tous pauvres par essence. Voilà cher Léo où m'entraîne ta très subtile remarque autour de ces quelques lignes ! Merci encore Léo. Cordialement, F. Étienne. La rumeur d'un soleil qui habille l'automne Travers l'univers jusque dans Babylone..
Une question de limite (suite de Paris-plage)
Publié le 26/05/2024
Merci Léo pour ta relecture. Comme tu le dis, je n'arrive pas encore à ce que je veux pour le moment avec cet univers. Si j'arrive à inhiber le fait de vouloir tout dire tout de suite, ça pourrait devenir une histoire "racontable". Si l'histoire est centrée autour d'Hélène Ventura (la grand-mère), je crois que ce serait peut-être plus simple d'organiser un récit lisible. Pour la suite, tu l'imagines déjà je pense: la poule d'ornement devrait sortir de son clapier de luxe pour arriver sur les planches (pas celles qu'elle croit) et bientôt et repartir vers la butte d'Auteuil non sans avoir perdu quelques plumes.
Qu’est devenue la riche collection de livres dominicains de la Bibliothèque Nationale d’Haïti…?
Publié le 26/05/2024
Peut-être quelqu'un d'obscur aura senti venir le danger et aura voulu mettre de côté ce qu'il estimait le plus précieux pour éviter le dépeçage de cette bibliothèque et du savoir en général. Je pense au film Averroès, aux manuscrits de Tombouctou et à tant d'autres textes cachés à la hâte qui survivent au pillage ou au trafic lucratif.
Parabole du pauvre
Publié le 26/05/2024
J'aime toujours autant.
Métro
Publié le 26/05/2024
J'apprécie beaucoup votre texte et j'aimerais lire des suites de vos promenades.
Mélancolie
Publié le 26/05/2024
La pleine nature rustique ne se laisse pas perturber par les frasques d’un arlequin des plus extraverti de passage… il y a toujours dans tes poèmes un personnage, un phénomène ou une image forte qui empêche de tourner en rond, c’est vivant et parfois même plein d’enjeux, c’est un plaisir que de prendre place dans ton incroyable univers. Merci Francis Étienne.
Une question de limite (suite de Paris-plage)
Publié le 26/05/2024
La suite est en pleine rupture avec le précédent. On passe de la superficialité au désordre d’un vie aux blessures vives. Et si le protège bordure servait à vraiment rendre hermétique émotions et deuils de ce qui ne sera plus, renouer avec l’intime pour se repositionner à nouveau en quête d’une nouvelle paix intérieure ? C’est brouillon et l’on saute du coq à l’âne (et au chien) et l’on a du mal à cerner tous les protagonistes tant les poules, pareilles aux émois intérieurs déstabilisent allègrement la trame du récit. Mais qu’importe car l’idée est de fournir un premier jet sur lequel s’appuyer ensuite pour mieux structurer en élaborer un plan qui permettra d’y voir plus clair et de faire une seconde passe pour réaménager et ordonner les idées, les personnages (et leur progression) et surtout l’intrigue pas encore très claire. Bonne continuation, hâte de découvrir la suite.
Plaine de paix
Publié le 26/05/2024
Pareil à un coffre au trésor on s’émerveille de son contenu et de sa valeur. Sans avoir toutefois l’envie d’y toucher afin qu’il devienne le trésor d’autres bienheureux qui auront abouti dans leur quête. Ça a toujours été le chemin qui mène au trésor qui a été le plus précieux des enrichissements. Merci pour ce beau poème Francis Étienne.
Pour nos chères Sœurs, toujours au combat!
Publié le 26/05/2024
La foi, l’abnégation, le courage et la détermination font des merveilles : bravo à ces sœurs qui portent des projets qui permettent de réhabiliter, et redonner du sens et de l’envie à leur communauté.
Lave de laine
Publié le 26/05/2024
Même si la menace n’est jamais bien loin, ce poème pelotonne l’âme dans de la ouate imbibée d’un philtre de quiétude. Il fait bon s’y poser et profiter, humer le doux parfums des illusions qui font du bien et donnent un peu de répits. Salutaire.
Douleurs d’ogre
Publié le 26/05/2024
Du papillon, au valet jusque là danseuse, tout le monde s’affaire à œuvrer à des lendemains plus acceptables et vivables. Résister et agir pour lutter contre la sinistrose des vies contrariées. Il y a quelque chose d’héroïque et de profondément émouvant dans cette entreprise.
Lambeaux d’âme
Publié le 26/05/2024
Un sacré tableau où se succèdent des scènes aussi irréalistes que poétiques. Je me suis assis et j’ai contemplé ce fourmillement d’intentions pour faire d’une nouvelle journée et page d’écriture un moment unique et audacieux. Merci Francis Étienne.
De Georges Anglade à Roger Gaillard, irréductibles divinors
Publié le 26/05/2024
L’indépendance et l’autonomie sont importants pour assurer la souveraineté de son pays, et surtout, de la stabilité et des citoyens en confiance. J’espère qu’Haïti pourra se sortir de cette situation injuste et inconfortable. Bon courage.
Désordre d’un sens
Publié le 23/05/2024
Cher Léo merci encore une fois pour ta lecture de ce texte. Tous les morceaux de la réalité doivent être pris en compte pour écrire la vérité et la valeur morale de l'écriture n'existe que si l'on accepte d'en effacer la moralité. Tu serais étonné des domaines dans lesquels j'exerce l'écriture. On doit nécessairement aiguiser sa plume à des roches très dures, que la moralité condamne, pour pouvoir en extraire des mots, dont la puissance, comme celle du mal, ne nous épargne pas un dégoût. J'imagine qu'un chirurgien n'ouvre pas les entrailles de ses patients, sans exercer sa résistance à la révulsion. Pour le poète, les entrailles qu'il ouvre parfois, livrent à ses yeux des viscères, qu'il faut qu'il regarde. C'est peut-être étrange, mais cela fait partie d'une nécessaire connaissance de la vie, sans laquelle son expression serait celle des images d'Épinal, qui nous charment tous avec tant de plaisir. Ainsi, toucher à l'interdit, caresser la perversion, embrasser la tentation, et s'enivrer d'obscurité, sont des actes inhérents à l'expression « de toute la vérité rien que la vérité ». C'est en lisant Rabelais, Céline ou même Marcel Proust que l'on apprend à ouvrir les entrailles de l'écriture. Merci encore Léo. Cordialement, F. Étienne. Une lune de marbre abrite en sa blancheur Les suaves désirs d'un éternel pécheur.
Ensablement du temps
Publié le 23/05/2024
Cher Léo, ton œil toujours si perçant a su traduire avec brillance le mouvement de ce poème. Parfois la poésie est considérée comme un embellissement d'une vision dont l'auteur gratifie le lecteur, par l'éblouissement de la langue. Mais la poésie doit aussi exprimer la dureté d'un monde, dont, tel un magicien, le poète rapporte la laideur, l'habillant de l'éblouissement de la langue. Ainsi, le texte reste beau, mêlant à cette beauté la dureté ou la laideur. Le seul moyen qu'il a, pour ainsi dire, d'exprimer avec souplesse et fluidité la dualité du beau et du laid, passe par l'isolation du mot et son association avec un autre mot, qui « l'habille ». La technique d'écriture, que j'ai développée depuis des années, consiste systématiquement, et désormais presque instinctivement, à glisser la laideur ou la dureté dans un étui de lumière, avec lequel le cristal ou la soie de certains mots tissent le voile transparent de la beauté. Il est rare que je puisse écrire une œuvre béate, parce que, comme tu le précisais dans un commentaire précédent, le sens de la justice, et pour jouer avec les mots, de la justesse, est nécessaire et indispensable à l'écriture poétique. Sans lui, l'écriture est une image. Merci encore Léo. Cordialement, F. Étienne. Des feuilles de soleil qu'un souffle d'or balance Rougissent l'horizon de tant de nonchalance.
Métro
Publié le 23/05/2024
Merci Léo pour ce commentaire. J’ai essayé de présenter la ballade d’un personnage au choix : - bien vivant, en chemin vers les tombes de poètes disparus et ayant la vision d’une foule de quasi-zombis. - une âme parmi les vivants et les morts rejoignant le cimetière et ses pensionnaires. Un mélange de présent banal enrichi des œuvres du passé, une sorte d’état de superposition réel / rêverie. lettre de Christian Bobin à Marceline Desbordes-Valmore https://www.youtube.com/watch?v=S0pbwEwrxf0 http://lecarrejaune.canalblog.com/archives/2014/08/08/30380034.html
Le neurochirurgien demanda de fermer la frontière...
Publié le 22/05/2024
Dans le cas de ce monsieur, il ridiculisait la population en se faisant passer pour «chrétien»! Il se fit accompagner de conseillers, de la même mouvance… Grands Remerciements
Beauté d'un rêve
Publié le 22/05/2024
Merci de tout cœur pour cet agréable retour. Très gentil à vous.
Beauté d'un rêve
Publié le 22/05/2024
Lire ce poème, c’est comme si on était à l’intérieur d’une bulle.. les sensations font écho en nous mais voilées comme un secret qui reste bien gardé, mais dont la beauté est éclatante.
L'origine du monde
Publié le 21/05/2024
Merci pour ce commentaire. Bien observé, c'était un défi pour moi-même: de quoi étais-je capable en écriture spontanée, sans relecture ou réflexion poussée. Votre commentaire est encourageant, excusez-moi si je vous ai un peu déçu.
Désordre d’un sens
Publié le 21/05/2024
J’ai énormément aimé cette idée d’envelopper ces bons vieux bougres du drap de la bonté, celle des éléments et de la nature qui aiment sans distinction, car rien ne saurait être beau si la poésie n’embrassait pas tous ces enfants, méritants ou non !
Ensablement du temps
Publié le 21/05/2024
Beaucoup de légèreté dans ce poème après un début bouillonnant dans les entrailles des enfers. Et il a fallu toutes les plumes, celle de l’oiseau portée par celle du poète qui s’en est remis à celle de l’ange pour s’élever là où le beau devient promesse et où l’ultime mélange consacrera l’audace de n’avoir pas abdiqué. Merci Francis Etienne.
L'origine du monde
Publié le 21/05/2024
Merci pour ce nouveau texte dont on perçoit qu’il a été écrit d’une traite et sans peu de reprise derrière, ce qui est dommage. Néanmoins l’idée est bonne et la chute vraiment bien amenée. À plus tard Artxa.
Christ en croix
Publié le 21/05/2024
Merci infiniment pour l’envoi du tableau, et ton poème sublime la gravité de l’œuvre. Et j’aime tout autant lire tes retours sur mes commentaires qui sont de fines et passionnantes analyses de l’écriture et de sa créativité.
Parabole du pauvre
Publié le 21/05/2024
J’ai énormément aimé ton début : “ Il brûle en chaque cœur une larme de braise Qui roule de nos yeux vers un vieil abreuvoir“ L’honneur est la dernière richesse du pauvre” écrivait Camus et ta poésie le refuge du juste très cher Francis Etienne. Mais à la toute fin, c’est le temps qui mets tout le monde sur un même pieds d’égalité. A notre regrettée humanité (ou ce qu’il en restait.
Métro
Publié le 21/05/2024
La possibilité de variations sur les thèmes éternels j’aime beaucoup. Une excellente idée que ce texte en trois temps. La première partie est déroutante car elle ressemble à s’y méprendre à l’époque actuelle où l’on frise la zombification . Puis la seconde qui même si elle se situe dans un cimetière est encore celle qui vit le plus avec ce magnifique poème du Ruisseau de la Scarpe. Et la fin pleine d’une âme pragmatique. Merci de ce beau partage.
Confession
Publié le 20/05/2024
Cher Léo, comme tu l'écris si bien, nous cheminons tous sur « le pavé des émotions ». Et nous sommes tous des pénitents qui confessons leur douleur, leur joie, leur espoir, mais aussi le tendresse ou leur douceur à des sortes de prêtres invisibles qui rôdent dans l'écriture. Bien entendu, c'est surtout dans la poésie et la correspondance épistolaire que l'homme s'épanche, ouvrant son âme, derrière les grilles des mots, à son lecteur ou à son correspondant. J'ai toujours besoin d'écrire des lettres, et plus récemment des courriels, avec quelques rares êtres, qui m'ont approché. J'ai eu plusieurs correspondances, qui ne serait pas inappropriée de publier. La plus importante a duré des années et se compose de milliers de lettres. Mon goût pour le style épistolaire est indéniable; doit-on y voir ce que tu appelles « un incontournable apprentissage » ? Je crois très sincèrement. Ce qu'on écrit dans l'intimité, un autre, et déjà un brouillon de l'œuvre. C'est pour cela sans doute, que toutes les grandes correspondances nous passionnent. Ce ne sont pas les éléments biographiques qui nous intéressent, mais les sentiments, que l'on retrouvera costumés dans l'œuvre définitive. Je pense par exemple à la correspondance de Marcel Proust ou à celle de Flaubert. Merci encore Léo pour tous ces trésors que tu m'offres. Cordialement, F. Étienne. On déchire parfois un mot qui nous encercle pour desserrer l'éteau d'un invisible cercle.