Merci infiniment Licie pour ton commentaire. On écrit en espèrant plus ou moibs que nos personnages prennent vie sous les yeux des lecteurs.
Rêves, rêveries, poésies... peuvent,t éclairer et équilibrent notre quotidien.
Bonsoir Léo,
Merci pour votre retour et vos précieux conseils.
Cela dit la majorité de la vingtaine de nouvelles que j'ai écrites (et qui sont, pour certaines, en cours de réécriture, se déroulent soit dans un avion, soit dans un aéroport, ou encore dans une gare. Il m'est donc difficile de trop tailler dans le texte.
Bonjour et bravo pour ce texte qui nous emmène en douceur vers cette éclipse, mais aussi avec joie pour effacer la tristesse qu'elle peut provoquer. Ou comment transformer un moment difficile en instant inoubliable pour les personnages comme pour les lecteurs et lectrices.
Merci Léo de ta lecture et de ton commentaire.
L’absence, le manque, peuvent être évoqués et adoucis de différentes façons. Cultivons nos différences et selon Oscar Wilde : « On devrait toujours être légèrement improbable ».
Bonjour et merci pour ce magnifique texte qui a valeur de conte philosophique et qui transmet énormément d’émotion et de sagesse. Chacun ses éclipses, et chacun ses moyens d’y faire face. Grand bravo, à partager sans modération.
Bonsoir et merci pour cette suite. Attention aux redondances avec les précédents chapitres. Ill faut que chaque chapitre soit l’avènement d’une séquence différence, une évolution dans la narration. Trois chapitres pour un voyage en avion, ça peut paraître long et donner l’impression que l’on n’avance pas et décrocher de l’histoire. J’ai trouvé le troisième paragraphe très réussi, où dans cette partie on empreinte les yeux du personnage et que l’on contemple de la même façon le spectacle proposé. C’est un gain pour le lecteur (et un bon moment de lecture). A garder absolument en cas de refonte. Toujours se poser la question de ce qui est utile et nécessaire dans le récit, qu’est-ce qui apporte à la narration, aux personnages où à l’intrigue ? Et si cela n’apporte rien, supprimer sans état d’âme. A plus tard Stanislas.
Bonsoir Patrice, corps et nature en parfaite harmonie… :-) Je trouve que de ne pas nommer les attributs comme dans l’avant et avant, avant dernière strophe aurait été plus subtil. A plus tard
Beau et tendre, profond, évocateur ; l'alexandrin nous entraîne dans sa danse initiatique vers les couleurs de l'essentiel : un arc en ciel en nos coeurs ouvre alors la porte et nous nous découvrons ... être.
Merci pour cette poésie sensible, lumineuse, qui nous relie au réel.
Sophiak a laissé un magnifique commentaire et je me range derrière. Toujours ce ot à mot comme un goutte à goutte, celui d’une ligne qui perfuse le chaos et entretient les plus belles solitudes.
Les deux premiers vers sont d’une beauté infinie. Ce à quoi succède cette meute qui vomit la foudre jusqu’à ce que les mots, puis l'ange de Dieu reprenne les choses en mains où devrais-je dire en âme, pour mettre à nu la larme qui aura le dernier mot. Cette chronologie des évènements rappelle que tout est incertain, et qu’il est une lutte de tous les instants pour que la beauté se relève et s’impose. Merci pour ce magnifique poème Francis Etienne.
Merci pour ce partage qui m’a bien fait rire. Juste une remarque laissée en annotation. C’est en observant les animaux que l’on s’aperçoit qu’ils ont parfois pas grand chose à envier aux humains. A plus tard, à vous relire avec grand plaisir.
Mes quelques remarques en annotations. en te suivant de près on mesure bien tout le travail de fond et d’exigence que tu mènes, où chaque mot t’importe et tous les ingrédients que tu affectionnes, entre passion, tristesse et humour (j’ai bien sourit avec les frères Dardenne, que j’aime beaucoup mais dont les belges se moquent souvent avec tendresse). Bonne continuation Patrice.
Vaste chantier. L'achever ou l'abandonner ? Cet entre-deux, que vous décrivez si bien, prend à la gorge, comme toutes les angoisses qui remontent la nuit.
Bonjour Francis Etienne, l'espoir est précieux, mais aussi fragile, corrompu par la peur. Cette nouvelle dualité semble être une forme de lutte face à l’incertitude. De nouveau la mémoire et le temps jouent un rôle primordial. J’aime aussi énormément les mains qui se succèdent, de la princesse au berger, qui sont deux mondes très éloignés, et pourtant, de mains en mains tout semble possible. A plus tard très cher Francis Etienne.
Je trouve très puissante cette analogie faite avec les gouttes d’eau qui parviennent à travers les siècles à polir la roche. Les larmes peuvent de la même façon polir les regrets où l’âpreté de la vie, jusqu’à ce qu’une alternative survienne. La patience au gré du temps et de la poésie. Et puis il y a tout le mouvement d’un carnaval qui survient alors emporté par une ronde de mots, qui tente de lever le voile sur une réalité cachée qui tente de surgir. Celle d’une dévotion qui résulte du malheur et d’une tristesse, qui semble inconsolable ; et dont j’ai le sentiment que tout n’est pas dit… merci Francis Etienne de faire naître tant d’émotions.
Merci pour ce texte à la fois fort et déroutant, où l’anatomie devient matière poétique, et le corps, terrain d’une traversée sensorielle et existentielle. De l’orteil au crâne, puis du crâne au thorax, ce poème compose une ascension presque mystique avant de retomber dans une fusion ambiguë — entre désir, malaise et désincarnation.
J’ai été particulièrement touché par cette manière de faire dialoguer le lexique médical et l’intimité charnelle, dans un équilibre rare entre précision clinique et vertige symbolique. Votre texte entre en résonance profonde avec certains motifs que j’explore dans mes propres recherches littéraires, notamment autour du regard porté sur les corps, vivants ou morts, désirés ou disséqués.
Merci encore pour ce partage. Il m’accompagnera longtemps. Amicalement, David Pareÿt, auteur augmenté à voix littéraires multiples et essayiste indépendant.
C’est une prouesse poétique de subjuguer ce qu’il y a de plus beau et doux jusque cette cascade de sucre et à la fois de aire naître un sentiment mesuré, presque inquiet puisqu’il s’y trouve tout de même un fleuve en feu, que l’on puisse ramper, et que des lames de couteau se cachent en des coeurs… c’est ce qui me plait énormément dans de très nombreux de tes poèmes, la retenue ou la prise de conscience que tout peut avoir sa contradiction ou n’être qu’éphémère. Les terres poétiques sont mouvantes et ouvertes aux quatre vents de la créativité, et de la complexité humaine à travers tant de sentiments qui cohabitent. Merci Francis Etienne.
Il y a une publication dans Actualité le 15 mai sur une tribune de ma composition ; Le titre "Je suis un auteur augmenté, et je l'assume." A ce jour, il y a eu 45 commentaires et 209 partages. J'ai dû argumenter, défendre mon point de vue avec élégance, sobriété et respect. Cela n'a pas été de tout repos. J'aurai toujours des détracteurs. Si cela vous intéresse : https://actualitte.com/article/123807/humeurs/je-suis-un-auteur-augmente-et-je-l-assume, bien cordialement, David Pareÿt
Bonsoir Léo,
Merci infiniment pour votre message, qui m’a profondément touché.
J’ai été particulièrement frappé par la synchronicité de cette discussion que vous évoquez. Ce que vous décrivez est exactement ce que j’espère provoquer : non pas un consensus, mais un déplacement, un trouble fertile, une ouverture.
J’entends les peurs des créateurs visuels et littéraires face aux mutations en cours. Mais comme vous le dites très justement : il est trop tard pour interdire — il est temps de penser, ensemble.
À très bientôt sur Le Peuple des Mots. Je me sens honoré d’y être accueilli avec une telle intelligence du cœur.
Bien cordialement,
— David Pareÿt