Bonjour Mary, j'ai adapté ton texte dans le style de Etta James. J'espère que cela te plaira. Ca donne un son mi "life coach" mi gospel 😊 J'aime beaucoup le résultats. La vidéos sera disponible demain à 16h30.
https://youtu.be/Wlo_AX8L7Gg
Joyeux Anniversaire 😊🎂. Je suis content que cela t'ai plut. Je ne suis pas sûr de vouloir comprendre les oiseaux au printemps. C'est pas tous des poètes 😂.
Cela me ferai très plaisir si tu laissais un commentaire sur la vidéo Youtube. Ca donne du crédit quand l'auteur valide la musique.
Les images sont puissantes : « brume âcre, issue de vallées sans âme » évoque une suffocation lente, tandis que « les âmes englouties par les immondices » donne une dimension humaine et tragique à la scène. On sent une critique implicite, peut-être écologique ou spirituelle, sur la perte d’harmonie entre l’humain et la nature.Bravo pour ce texte plein de sensibilité et de profondeur ! Il témoigne d’un vrai talent pour peindre les émotions et les paysages avec des mots justes et puissants.
Merci infiniment, Lucie. Tes mots me touchent beaucoup. Je suis heureuse que cette poésie t’ait emportée dans cet univers doux et mystérieux. Bonne soirée
Bonsoir Léo, la fable voudrait faire passer le message que tout exil, provoqué ou volontaire, laisse toujours une pointe de nostalgie tant à celui qui s'en va, qu'à celui qui reste.
C'est un sujet récurrent et plus que jamais actuel.
Je pense que la poésie est libre dans sa forme contrairement à ce qu’on peut penser. Merci pour le cadeau, ça me fait très plaisir ! Le jazz donne plus de caractère au texte, et surtout à Sora. Comme on dit il ne manque que la parole aux animaux !
Je comprends ton impression quant aux superlatifs. Ils peuvent être un peu lourds mais c'est récurrent pour quelqu'un qui a une sensibilité plus élevée que la moyenne de les utiliser. Cela crée un décalage avec les sensibilités moins fortes, ce qui explique peut-être aussi la gêne. Je dois m'y attendre de la part de mes lecteurs. Je respecte ce ressenti. Enfin, c'est vrai qu'"impression du cerveau" peut constituer un pléonasme. Merci pour ces retours instructifs.
On est sur un pressentiment assez flou dans le sens où Julien perçoit à l'avance qu'il y a quelque chose mais il ne sait pas quoi. Il est possible que j'ai trop voulu aller dans l'originalité, et que je me sois perdue.
Merci de votre retour, je dois vous avouer que je ne suis qu’au début de l’exploration philosophique, je pars de très loin mais je suis persuadé qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre. A plus tard.
Lorsque les cieux ne sont que le miroir du désespoir, et du trouble caractérisé à travers la brume, siège de tous les doutes et de tous les égarements. L’espoir a cela de terrible qu’il fonde tout possible en s’en remettant aux autres ou en des circonstances bien hasardeuses. Bienvenue et merci pour ce premier très beau partage qui je l’espère en appelleront d’autres.
Lorsque la sensualité et la délicatesse rendent le souvenir impérissable. On est d’emblée convié au champ de la tentation avec la pomme et le fruit défendu avant que le souffle amoureux ne ravisse tout, jusqu’à mené au nirvana. Merci pour ce second partage de belle qualité.
Une chose m'a un peu gêné, les superlatifs. Leur utilisation, en général, et c'est paradoxal, amenuise l'intensité d'un texte. Par exemple "Son ventre se soulève frénétiquement." Mais c'est un chouette texte.
Le mystère est complet et la tension est à son paroxysme avant que la raison de cette angoisse soit levée. On navigue bien sur le fil ténu du réel et de ce qui aurait pu être surnaturel. En revanche on n’est pas dans le pressentiment dans le sens où Julien ne sait pas ou ne pressent pas à l’avance ce qui va se produire. Merci pour ta participation Lucie.
Mon non plus, je n'utilise pas beaucoup le point virgule. En fait jamais. Je l'ai essayé ici suite à une discussion d'il y a quelques semaines. Merci pour votre lecture et vos lumières. ;-)
Pas nécessairement car c’est un beau dilemme que vous présentez là, et on sent en toute fin une forme de nostalgie en évoquant tout de même des regrets, elle n’est pas aussi heureuse qu’elle ne le dit. De même le frère dit « rien ne me manque » puis « vous me manquez », il pourrait y avoir une posture de façade… ça fait cogiter, c’est très réussi. Et au (re)passage je salue « des vols plutôt bancroches » : je ne connaissais pas ce mot.
MaBaco a fait un retour très complet et éclairé. Et je trouve que cette fois toute tes phrases longues sont bien travaillées, fluides, en annotation ma seule remarque et un doute sur l’usage de la virgule après le tiret cadratin "elle savait les choisir —, je ne voyais », je ne l’aurais pas mise. A plus tard.
J'utilise peu le point virgule. Après avoir consulté le Bescherelle, son utilisation dans votre texte me semble correct. Par contre, concernant le deux-points, à mon avis, il n'est pas approprié.
Bescherelle -
Un point-virgule permet de séparer deux propositions indépendantes, mais liées par le sens.
• Le point-virgule marque une pause plus forte que la virgule, mais moins forte que le point.
• On l’utilise surtout pour marquer les étapes d’un raisonnement, souligner l’enchaînement des idées.
Ex. : « Les enfants commencent par aimer leurs parents ; devenus grands, ils les jugent ; quelquefois, ils leur pardonnent. » (Oscar Wilde)
Un deux-points permet d’introduire des paroles, mais pas seulement.
• Le deux-points est un signe de ponctuation qui annonce la suite de la phrase. On l’utilise ainsi pour introduire un exemple, une explication, une énumération, des paroles.
Ex. : « Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent. » (Napoléon Bonaparte)
Alors êtes-vous allé passer un bon moment avec Patricia ?
J’ai vraiment trouvé ton texte très bien fait. On a presque l’impression d’entrer dans une ambiance à la Lovecraft, ou même un peu Le Horla : cette montée de tension douce, cette nuit qui respire à travers les murs, ce bruit qui semble vouloir se faire entendre sans jamais se montrer.
Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et c’est exactement ce qui m’a plu : cette lente inquiétude, parfaitement menée, qui finit par basculer… en un joli sourire.
La chute est délicieuse, légère, inattendue.
C’est bien fait, vraiment bien fait.
Merci Lucie, j’ai adoré