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Commentaires
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Le Décalage
Publié le 19/11/2025
Cela me touche toujours autant de voir que mes émotions provoquent quelque chose chez toi, que mes mots s'en imprègnent aux yeux du lecteur. La poésie est un lieu sur pour se regarder, libérer sa parole, se détendre loin du vacarme de la violence. C'est une source d'énergie parmi tant d'autres. Je te remercie pour ton conseil Ioscrivo.
AFRICA
Publié le 19/11/2025
Merci mary pour ce commentaire très touchant.
AFRICA
Publié le 19/11/2025
Ton texte m’a profondément touché, Salima. Tes mots résonnent comme un cri venu du cœur, un chant de douleur et de fierté mêlées. Tu parles d’une Afrique blessée, mais toujours debout, belle malgré les cicatrices. On sent dans chaque vers ton amour, ta colère, ton espoir. Tu rappelles que même dépouillée, trahie, exploitée, l’Afrique reste le berceau de la vie, la source de notre humanité. Tes images sont puissantes, vraies, brûlantes. Elles réveillent la mémoire et appellent à la dignité. Merci pour cette parole forte, pour cette lumière que tu fais jaillir de la douleur. Ton texte n’est pas seulement un poème — c’est un battement de cœur.
Lys, la dormeuse éveillée du monde des reflets
Publié le 19/11/2025
Bonjour loscrivo. Je comprends mieux la photo de profil : tu observes, tu dis… et paf, tu attaques par surprise 😆. Trêve de plaisanterie : ta pensée est très affûtée. J’ai choisi ce prénom précisément pour cette métaphore — parce que les écrans font d’elle une fille lisse, tandis que les collines la font fleurir. Et chacun peut laisser libre cours à son imagination intérieure, selon son propre vécu, ce qu’il a lu, etc. Bravo, merci.
Boycotter le diable qui est en vous,
Publié le 19/11/2025
Juste pour dire combien ils sont manipulateurs. Après, comme tu le dis si bien, on choisit ses amis, pas sa famille. Il s'agit seulement d'une petite partie de cette famille, heureusement. On choisit ses amis et son camp politique aussi. Cordialement,
CHOUKRI
Publié le 19/11/2025
Un émouvant poème d’amour et une belle promesse d’éternité… et je crois bien que ce sont les plus belles heures que celles qui permettent d’écrire au creux de la nuit, une très belle formule. Merci Salima.
Boycotter le diable qui est en vous,
Publié le 19/11/2025
«  On choisit ses amis mais l’on ne choisit pas sa famille » comme le dit si bien l’expression populaire. C’est d’une tristesse infinie que d’alimenter peurs et haines pour se sentir exister… je compatis Valérie.
Sous le poids des ombres,
Publié le 19/11/2025
Ecrire est un acte de résistance contre la vacuité des âmes et des coeurs égoïstes, et ton poème a bien raison de prolonger de ses vers l’amour qui est capable de tout renverser. Ne pas sombrer dans les ombres des ombres. Chaque mot est une lueur et chaque texte la clarté d’un phare pour éviter de se fracasser l’esquif contre les récifs d’indifférence. Merci Valérie.
Lys, la dormeuse éveillée du monde des reflets
Publié le 18/11/2025
C'est captivant. Je trouve les phrases pures en accord total avec le propos. Le superflu n'a pas sa place alors l'essentiel remplit tout l'espace. J'aime le choix du prénom: Lys comme lisse au début et puis Lys comme une fleur noble et épanouie.
La place du père,
Publié le 18/11/2025
J'ai lu ici et là de jeunes auteurs qui craignaient leur hyper-sensibilité. Qu'ils la voient comme une force, une énergie. Il vaut mieux être trop sensible que pas assez selon moi. Evidemment, la vie leur est sans doute plus difficile. Pas sûre non plus. Ceux au cœur trop froid finissent souvent seuls et aigris. En prenant de l'âge, tout leur devient insurmontable et insupportable. Accusant les autres, ils ne se supportent pas. "Je n'aime rien ni personne, je veux mourir" me disait-on parfois.
Boycotter le diable qui est en vous,
Publié le 18/11/2025
Je tenais juste à préciser que l'expression : "Késako, kisiki, kawasaki" est un cri de guerre personnel et n'est pas libre de droits et qu'elle me fut inspirée par le " Cumin, kummel komino" lu tous les jours au moment des repas de mon enfance. "Késako, kisiki" pour la curiosité et le questionnement philosophique, Kawasaki pour la sonorité et peut-être pour l'admiration que j'ai eue pour mon frère aîné, grand amateur et pilote talentueux de motos Kawasaki. Qui peut savoir ? Si j'ai quitté les réseaux, c'est aussi pour ne pas y rencontrer les "anonymous" du rn par exemple qui voulaient, je cite : "me niquer" et pour ne plus y lire tous les fakes news. Je n'avais pas peur, j'étais en overdose. Des proches m'ont parfois accusée d'être trop radicale. Qui l'est entre le rn et moi ? à d'autres ! Je reviendrai mais me ferai plus discrète. Autres écrits en cours.
Résistance 2.0
Publié le 18/11/2025
Ton texte est complètement dans l’air du temps. Il capte l’esprit d’une époque traversée par le mécontentement, les tensions sociales, les manifestations et la perte de repères face à la vitesse des changements technologiques. Il met en évidence cette fracture entre l’humain et la machine, entre la réflexion et l’automatisation, entre le besoin de sens et la logique de performance. Dans ce monde saturé d’algorithmes et d’outils numériques, l’humain délègue de plus en plus sa pensée, son expression et même sa créativité. Cette facilité inquiète : elle traduit une forme de renoncement, une déconnexion progressive du réel et de la responsabilité. Ton texte résonne avec les bouleversements actuels : il parle d’une société en quête de repères, d’un besoin urgent de retrouver la parole, la réflexion et la sensibilité. Il rappelle que, malgré la technologie, c’est encore la conscience humaine qui doit rester au centre, pour ne pas perdre le fil du sens dans le tumulte du progrès. Merci Allegoria, je suis admirative de ton écriture, bravos.
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Apprentis philosophes, nous étions fascinés par certains profs et très méfiants d'autres qui nous paraissaient très farfelus ou vraiment "d'un autre âge". Entre celui qui arrivait, puant le pastis, un autre, prof de psychologie sociale, qui nous racontait sa vie et nous disait : "on fera tout sauf de la psychologie sociale", il nous arrivait d'être un peu perdus. Ce qui nous angoissait, les étudiants plus expérimentés qui ne se fréquentaient plus qu' entre eux, comme une espèce de caste hors de portée du commun des mortels. Nous nous promettions de ne jamais en faire partie. Ceci dit, je ne regrette en rien tout ce que j'ai pu y apprendre. On nous disait aussi que notre avis importait peu tant que nous n'avions pas étudié les divers courants philosophiques, ce qui me paraissait très sage. A l'époque, j'ai aimé la lecture de philosophes qui ne me parlent plus guère maintenant. "Le sentiment tragique de la vie" de Miguel De Unamuno par exemple, qualifié de " philosophie quichottesque". Ayant perdu la foi de façon consciente et volontaire, mes auteurs préférés ont changé. Cordialement,
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
C’est une très belle réflexion, et on sent dans tes mots cette admiration pour les esprits qui cherchent à relier les savoirs plutôt qu’à les cloisonner. Descartes, Léonard de Vinci, Galilée, Einstein, Hawking… tous ont incarné cette curiosité totale, cette volonté de comprendre le monde dans sa globalité — qu’il s’agisse de la matière, du mouvement des astres ou de la place de l’humain dans l’univers. Ce que tu dis sur la philosophie rejoint d’ailleurs profondément la science : les deux ne sont pas opposées, mais complémentaires. L’une interroge le sens, l’autre explore les mécanismes — et ensemble, elles nourrissent cette quête de compréhension que tu évoques si justement. Quant à Elon Musk, même s’il appartient à une époque très différente, il s’inscrit d’une certaine manière dans cette lignée d’esprits qui veulent repousser les limites du possible. Ta chronique promet d’être passionnante, surtout avec ton regard sensible et curieux.
Résistance 2.0
Publié le 18/11/2025
J'ai aimé ressentir les émotions et questionnement d'Alex, la richesse du vocabulaire, les tensions bien exprimées. Les manifestations auxquelles j'ai participé étaient toutes très pacifiques et sans violence. Les temps ont changé. Il m'arrive de me trouver lâche. J'ai comme la peur d'y perdre mon cou fragile. J'ai choisi de lutter de façon modeste, avec des mots, fussent-ils dérisoires. On voit dans ton texte, oui, toutes les luttes actuelles et les violences qui s'y insèrent. L'insécurité, ce mot à la mode. je n'arrive pas moi, à me sentir en insécurité. Et c'est tant mieux. Je désapprouve cette surenchère qui a pour but d'effrayer. Mon insécurité réelle ? Les abus de pouvoir et si le rn l'emportait.
Contre la montre
Publié le 18/11/2025
C'est fort. Il nous faut écrire sur la mort aussi. J'ai accompagné ma mère dans ses derniers moments. Ce fut douloureux. Comme l'a écrit je ne sais plus qui: "à la fin, il ne reste que l'amour". A la première hospitalisation urgente de mon père, qui ne respirait que de façon artificielle, un anesthésiste m'a dit : "Il n'entend rien, il en a pour 2 ou 3 mois". Il entendait, il a encore vécu 2 ans. La veille de sa mort, il a dit à une parente : "Je ne serai pas une charge longtemps" et s'est éteint sans un bruit dans la nuit. On reste toujours orphelin quand on perd ses parents. Ce texte m'a rappelé la douceur plus que la violence des derniers instants. Merci.
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Oula je ne pensais pas à Elon Musk :-) Plutôt à Descartes qui alliait philosophie et sciences, je pense aussi à Léonard de Vinci qui savait allier les arts à la science également à tous ces philosophes d’antan passionnés aussi par l’astronomie (Je pense d’ailleurs à Galilée qui a révolutionné la pensée et qui était mathématicien, géomètre, physicien et astronome) et en parlant d’astrophysique et de cosmologie, d’ Albert Einstein et de Stephen Hawking… car de toutes les quêtes de connaissances il y a comme le fait si bien la philosophie, une quête pour comprendre dans quoi l’humain s’inscrit… mais on m’a offert à Noel dernier un livre sur Elon Musk que je ne manquerai pas de lire et probablement de le chroniquer ici.
Résistance 2.0
Publié le 18/11/2025
Un texte rythmé et avec tous les ingrédients que revêtent les luttes modernes et souvent troubles et opaques puisque les algorithmes s’en sont mêlés depuis, et que nous sommes au tout début d’une révolution qui n’a pas finit de faire parler d’elle, pour le meilleur mais aussi pour le pire. Ce qui inquiète (entre tellement de choses) dans les nouvelles technologies c’est la facilité que l’humain a de déléguer comme c’est le cas avec les outils conversationnels d’intelligences artificielles (fais moi-ci, fais-moi-ça, que penses-tu de, que dirais-tu, qu’écrirais-tu…) à qui la personne qui en a l’usage ne délégue pas des tâches… mais bel et bien sa capacité de raisonner par elle-même, d’élaborer le dialogue, d’écrire ses propres mots et de rechercher par soi-même les mots justes, leur nature, leur origine, leur sens, leur évolution… où comment déléguer ce qui fait la nature de l’être humain, toutes ses formes d’expressions PROMPTement. Puisque nous sommes dans les conflits il me vient à l’esprit l’usage du drone qui a bouleversé les conflits modernes, et notamment un film que j’avais noté sur mes tablettes que je n’ai cependant pas encore vu « Good Kill » l’histoire d’un GI qui tue en Afghanistan… depuis les Etats-Unis, comme s’il s’agissait d’une simulation virtuelle… ce que je veux dire en pensant tout haut, c’est que la machine qui s’interpose là encore, déracine l’humain de sa propre réflexion, de ses propres actes, à en devenir spectateur et consommateur à s’habituer au toujours pire et à en devenir insensible et. toujours plus déconnecté de la réalité, des raisons et du sens. Le philosophe sème quelques graines en citant quelques noms incontournables qu’il faut lire et explorer, de l’importance de se poser des questions, de se forger sa propre réflexion et de la mettre à l’épreuve… Ton texte Allegoria est une grande réussite car au travers de ton excellente plume qui sait imprimer rapidement une ambiance, un rythme, des émotions, tu traites de ces thématiques nouvelles et fait ce qu’un écrivain fait souvent le mieux, il documente une époque et ses problématiques, par l’observation, par l’écoute et l’expérimentation parfois, il émet des hypothèses et bien évidemment questionne. Ces nouvelles thématiques que sont le numérique, l’intelligence artificielle, le hacking… méritent toute notre attention et ton texte nous saisit rapidement par le col pour nous embarquer dans l’intrigue. Merci Allegoria, ton texte réactive une question que je me suis posé depuis un certain moment, que penseraient les philosophes antiques de tels bouleversements technologiques, comment recomposer la société en parvenant à mettre toujours l’humain au coeur de la démarche et des réflexions ? Ce chapitre de notre nouveau roman des temps modernes est ouvert… A plus tard.
Le Décalage
Publié le 18/11/2025
J'aime toujours autant ce naturel désarmant, cette franchise émotive, ces mots durs et friables à la fois. Je suis touché profondément. Se plonger en soi, ne pas mentir, ne pas se voiler la face et puis quand est au fond prendre un appui pour remonter à la surface. Tu trouves et trouveras l'énergie en toi, dans tes mots et tes rencontres. Rien n'est impossible surtout pas le bonheur et la sérénité. Le monde est magnifique surtout en poésie.
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Pow, pow, pow, 🚨Pandémie de philosophyte : symptômes connus — poser des questions existentielles à son café, contempler une fourmi en quête de sens, citer Platon sans raison. Urgent : désenvoûtement collectif à base de fous rires et de vidéos de chats.😆 Bonne journée Valérie
Résistance 2.0
Publié le 18/11/2025
Texte haletant entre action et réflexion. Au coeur de la lutte, de ces espoirs et de ces peurs. Je pense aux gilets jaunes, à Mai 68, aux printemps arabes, aux Anonymous. Je vois aussi des références à Bourdieu et son travail sur les médias. J'aime ce regard incisif porté sur le monde actuel, sans concession. Le parti pris est assumé et réussi. En achevant la lecture, on se dit pourquoi on ne reprends pas le flambeau. Bravo !
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Bonjour Allegoria, je sais pas trop qui t’as inspiré 🙃mais j’adore, aujourd'hui je fais dan la simplicité : tes mots résonnent en moi , je suis en résonance avec toi, merci infiniment.
Thémis et Shamash
Publié le 18/11/2025
Ravi d'avoir pu transmettre ces émotions. Nous sommes tous tiraillés par des sentiments contraires comme ces personnages.
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Quoi? Houuula! Léo, je sais pas trop comment le dire, heuuuu je crois que tu es possédé par une entité cybernétique, attends donne moi 2 minutes. 📢: Elon sort de ce corps tout de suite! Voilà tout devrait rentrer dans l’ordre incessamment sous peu...😆🤣 🫶
Thémis et Shamash
Publié le 18/11/2025
Merci Salima pour ta lecture.
Thémis et Shamash
Publié le 18/11/2025
Je m'attendais pas à un telle critique. Je suis ému. Je n'avais aucune prétention juste faire passer un message. Merci.
Thémis et Shamash
Publié le 18/11/2025
Merci pour ces mots, je vais continuer à explorer cette voie. Joker sur Marc Lévy...
Rue Franchère
Publié le 18/11/2025
On ressent la vie qui animait cette rue à travers vos mots, et la manière dont vous décrivez les souvenirs est à la fois belle et touchante. La phrase relevée par Léo “L’enfance est un pays que l’on porte en soi” résume parfaitement votre philosophie : bien que conscient des changements, vous trouvez un réconfort dans la mémoire et l’impact durable de votre jeunesse. Merci pour votre partage :)
À travers tes mots
Publié le 18/11/2025
Ton message fait écho. Métaphysique, éthique et morale, logique, tout ça, ... et la litt, française ou comparée, la linguistique, et ce qu'a cité Léo, et plus encore… des chemins qui enrichissent, même si on ne fait parfois que picorer. Garder cette soif d’apprendre, cette curiosité, c’est essentiel. Ça nous fait grandir ;-)
Je veux
Publié le 17/11/2025
un beau texte, heureux de vous découvrir, une belle intensité qui croit au fil des mots, un trouble délicieux qui se crée.