Cher Stéphane,
Je te remercie pour ton message si chaleureux. Je vais bien, et tes mots me font vraiment plaisir. Ta lecture m’a touchée par sa justesse et la profondeur de ton analyse. Tu as perçu avec une grande sensibilité ce que j’ai voulu exprimer : la cécité de la haine et la possibilité de retrouver la lumière en choisissant de voir, d’écouter autrement.
Merci d’avoir pris le temps de plonger dans ces lignes et d’en faire ressortir toute la résonance humaine.
Avec toute ma gratitude et mon amitié,
Mary
J’admire le travail des soignants, leur patience devant les victimes pour les aider à continuer de vivre, jour après jour. J’aime voir qu’ils font attention aux spécificités des personnes qu’ils prennent en charge. Ça apporte beaucoup à la collectivité.
Bonjour Mary, je vous espère bien portant. Très profond et bien écrit est votre texte. Il dépeint la haine comme une entité sourde à la vérité visuelle mais avide des bruits qui alimentent sa violence. Les images sont puissantes : « une oreille sans regard », « un tambour qui résonne de sa propre fureur »… Tu y explores brillamment les mécanismes de la haine, tout en laissant entrevoir une issue : ouvrir les yeux, voir l’humain, accueillir le silence.
Amitiés,
Stéphane KABAMBA
Le changement est à l’oeuvre, après le pire le bonheur qui aura toujours une teinte sombre gâchée par les temps passés. La volonté clôture ton beau texte qui a su s’appuyer sur des mots à la fois marquants et sobres. À plus tard.
Le personnel soignant est vraiment de par son courage, sa bienveillance, son empathie un corps de métier qui relie l’humain à son humanité. Ton texte est tendre et doux face à la violence et traduit bien l’état des trop nombreuses victimes qui la subissent. Merci Lucie.
Ton texte dit le refus sans colère, la distance sans froideur, la liberté sans orgueil. Chaque mot semble posé avec soin, comme une affirmation tranquille de soi. Il y a dans ces lignes une force silencieuse, une vérité qui ne cherche pas à convaincre mais simplement à exister.
Merci pour ce partage sincère et profond. Il invite à la réflexion, à l’acceptation de soi et à la paix intérieure.
Merci infiniment pour ton retour ! Tes mots me vont droit au cœur. Je suis ravie que le texte t’ait parlé et que tu aies perçu cette vision plus humaine et introspective de la justice. Bonne soirée Lucie. A bientôt
J'attends toujours avec impatience ton nouveau texte comme un rendez-vous, comme une amie qui nous surprend encore.
La scène est intime, douce pour oublier cette violence. L'héroïne est forte, fière, sensible.
C'est un texte provocateur dont la façon de parler du personnage apporte un peu d'humour dans un meurtre sans pitié. Cela donne un certain dynamisme qui rend la lecture agréable. Bravo !
C'est une belle présentation de la justice et de ce qu'elle signifie pour chacun selon sa situation. La fin invite à l'introspection et à une justice pour soi, tant que celle-ci est bien exécutée. J'aime bien l'idée que ce ne sont pas simplement les autres qui nous font face mais nous aussi. Cela fait passer la justice de déesse à humaine dans le texte, ce qui justifie très bien qu'elle a plusieurs visages. C'est un plaisir de lire cela !
Merci de ce partage Ioscrivo. Bernard Shaw disait avec un brin d’humour « Je peux pardonner à Alfred Nobel d'avoir inventé la dynamite. Mais seul un ennemi avéré du genre humain a pu inventer le prix Nobel. »
C’est un texte très humble qui énonce une profonde vérité : on a besoin d’attention mais pas trop non plus. Tout le monde n’est pas à l’aise avec les projecteurs, certains ont besoin de plus de discrétion. C’est un beau partage Ioscrivo, merci !
J’ai eu un peu de mal au tout début sur certaines maladresses sur les trois premiers paragraphes (n’hésitez pas à participer à la forge des mots si vous souhaitez les détails sur vos prochains textes) et ensuite tout s’est enclenché et j’ai plongé dans l’intrigue rythmé de bonne manière jusqu’au bout. Vous aimez raconter des histoires et cela s’est ressenti. Ces deux personnes brisées qui se découvrent et apprennent à s’apprivoiser est une technique très habile : on trouve en l’autre et en ses questionnements, le chemins intérieur qui conduit à son propre état qu’il était difficile de lire et plus encore d’y faire face. La symbolique est forte (sous terre, ravin, être à nu….) pour exprimer la chute, le renoncement puis la réappropriation de sa conscience et de sa dignité, des mots, des sentiments, de la confiance à nouveau en soi grâce au regard de l’autre et au vertige du plus grand que soi… Merci du partage.
Je les aime beaucoup ces "vieilles folles", elles en ont rien à foutre du "quand dira t’on"...Merci pour ce récit imagé. Au plaisir de vous lire de nouveau. Ouais, Carpe Diem
Bienvenue Stéphane. Je pense que parfois il faut donner un coup de pieds dans la porte ( je veux dire qu’il faut forcer le destin) parfois ça marche, d’autres fois non et soudain le destin vient à toi. Par-dessus tout garder l’espoir, ça sera difficile, il y aura certainement des larmes, ect... Surtout avoir une oreille attentive qui sache t’écouter. Avoir des doutes est humain mais à un moment donné : il faut vouloir ! Je t’envoie plein de good vibes, du courage et un 🩷 . A bientôt
J’aime beaucoup ce carrefour de la vie et des inspirations, la découverte de nouveaux lieux pour se renouveler tant en expériences qu’en rencontres…. ce temps qui passe et ce bel enjeu que de l’accepter et l’aimer, d’en rire. Carpe Diem…
Merci du partage très cher Stéphane, cette description soignée nous incite vraiment à lire ce livre comme un devoir de mémoire sur ce génocide qui ne doit pas être oublié. Un génocide qui passait sur les écrans alors que des années plus tôt avec la shoah tout le monde s’était élevé d’une seule et même voix pour dire plus jamais ça. Les pires drames peuvent se reconduire, encore et encore, nul ne doit l’oublier. Il est aussi possible de partager cette présentation de livre en vous rendant lorsque vous êtes connecté à votre compte dans bibliothèque puis « livres chroniqués » et en cliquant sur « Ajouter un livre ».
L’espoir est un magnifique moteur pour surmonter les chemins chaotiques déformés par les épreuves de la vie. Et il est effectivement important de ne pas attendre mais de provoquer la destinée en allant de l’avant. Merci du partage Stéphane.