Bonjour et bienvenue, et merci pour pour ce premier partage. Je crois que se contentant de ce qu’elle a, cette mouette est vraiment libre, tout en restant lucide sur le temps qui passe et qui contraint à certains aménagements. Probablement nous enseigne-t-elle qu’il faut vivre pleinement pour partir sans regrets. Merci du partage.
J'ai des manuscrits corrigés. Sans me l'avouer, je dois chercher ici un dernier encouragement pour me décider à les envoyer. Je voulais tous les terminer avant. Avec le recul, c' était présomptueux. Surtout quand écrire fait écrire encore. Pour ce qui est de la publication, autant essayer. Ecrire et être lu aussi, ça reste une belle expérience.
Dans ce conte, il s'agit d'un petit garçon qui a tout matériellement et n'est pas heureux. Il veut comprendre pourquoi. Il fera des rencontres décisives. Il a un rêve, conduire sa propre "astrobulle", moyen de transport le plus utilisé dans son pays qui se veut un pays modèle. Je m'y trouve encore trop bavarde. On verra bien. Merci pour le retour.
Vraiment il semblerait que tu as trouvé ta voie et ta voix, tu es vraiment très habile pour raconter des contes et ton imagination débordante fait merveille. C’est d’autant plus génial cette idée de quartier que ça ressemble à notre société actuelle, repliée sur elle-même, ne souhaitant qu’être avec celles ou ceux qui lui ressemble, clanique… il y a là de la belle matière et une plume efficace pour faire de très belles choses…
C’est rock n’roll, j’aime beaucoup ! Le texte souligne qu’il faut faire des sacrifices pour se construire, travailler et savoir laisser de côté le divertissement, sauf si l’on arrive à faire de son travail un jeu (le paradis, que dire de plus ?). La mythologie montre qu’il faut se méfier des tentations, et rester concentré. D’autant plus que ces dernières ne sont pas recommandables quand on sait ce qu’incarne Bacchus. Je dirai même qu’elles sont "noiose" comme on dit en Italie, ennuyeuses pour les personnes en recherche de profondeur (dont je fais partie).
Confusion. Le temps a passé. Revenir sur mes textes est parfois compliqué. Mais je tiens à vous remercier. Merci pour votre temps et vos commentaires, encourageants et profonds. J’ai cette crainte souvent que le trop plein de propreté, comme dirait le fils de Louis, efface l’émotion. Alors merci encore. Belle soirée à tous :)
Sportive du dimanche, je suis restée scotchée devant ce périple moi aussi, me demandant ce qui pouvait motiver un grand sportif, sinon le dépassement de lui-même. On se met aisément à la place du coureur, on craint pour lui, on veut gagner. C'est réussi. Personnellement, je ne l'ai pas jugé toujours très raisonnable à pousser autant ses limites, mais oui, ça valait le coup. Merci de nous faire partager cet exploit. Faire du sport, c'est aussi garder son équilibre.
Merci beaucoup Lucie ! Tes mots me touchent profondément. Oui, accepter nos fêlures, c’est aussi s’affranchir du regard des autres et oser vivre pleinement, sans masque. La liberté naît souvent là, dans cette authenticité fragile mais vraie. Et c’est beau de voir que tu ressens cette force dans le poème. Belle journée à toi aussi, remplie de douceur et de lumière.
Nous portons tous des fêlures, visibles ou secrètes. Des éclats de vie, des blessures, des manques. Mais comme dans l’art du kintsugi, nous pouvons choisir de réparer nos brisures avec de l’or. De faire de nos cicatrices une œuvre. Car nos failles ne nous diminuent pas, elles racontent notre force, notre beauté, notre humanité. Bonne journée Valérie
Un livre choc, lu dans ma prime adolescence, dont je garde encore un souvenir fort et magnifique. Un livre qu'on n'oublie pas, et qui, à chaque instant de notre vie, résonne au fond de soi. Merci pour ce rappel Mich et cette belle critique, et merci à René Barjavel pour nous accompagner depuis aussi longtemps.
Merci du partage Michel, je l’ai ajouté directement dans ma pile à lire pour en faire une de mes lectures sans faute de 2026. Je te ferai un retour ici.
Yeahhhh ça décoiffe, c’est toi qui compose et qui interprète ? A l’écoute le débit est vraiment nickel et le message qui invite à devenir son propre créateur vraiment très inspirant. Il y a une force inouïe traduite et portée par la musique mais aussi beaucoup de travail et de patience (« Cisèle, martelle, burine, et ponce »). Une très belle réussite.
Ton repère c'est toi.
Sculpte ton âme comme une parnassienne dans le bloc froid des épreuves et des ruptures.
J'ai bien aimé la conclusion qui n'est pas une fin mais un pas vers l'avant :
"Tu as déjà prouvé mille fois que ton cœur sait se relever.
Et tu le feras encore."
Je trouve qu’il y a plus court comme « petit tour »… Bonsoir et bienvenue sur le peuple des mots Mathieu et merci pour ce texte rythmé et ce qui est incroyable absolument pas ennuyeux malgré la répétition des étapes. Tout d’abord parce que c’est écrit comme si nous prenions part à une caméra embarquée et l’on partage chaque foulée, chaque difficulté et plus l’exploit se déroule plus l’on a qu’une seule envie : partager cette ligne d’arrivée. Chaque étape est marquée d’une heure, d’un lieu, d’un état, de choix, de spontanéité aussi. La structure des phrases est tout e autant efficace, souvent courtes calées sur des virgules qui sont comme des foulées, nous permettant d’emboîter le pas. Ce qui est marquant, c’est qu’il n’y a pas de doute, juste une détermination. L’enjeu et la renommée de l’évènement sont des garanties suffisantes pour ne pas laisser le moral saboter ce rendez-vous unique. Il n’y a guère que la blessure que l’on craint, et cette cheville qui ne tienne pas sur la durée. Bravo pour l’exploit et bravo pour les mots qui les immortalisent. Merci pour ce très beau partage.
Je rejoins le même avis que Valérie, je ne crois pas du tout aux voyants mais j’avoue que ton témoignage est troublant. Merci pour le partage de ce texte qui te ressemble vraiment de tout ce que j’ai pu lire de toi : de la sincérité, de la douceur (jusque dans la rupture) ainsi qu’une belle sensibilité, des belles voitures, mythiques, des amours irréalistes mais surtout, surtout de magnifiques formules : "hésitant entre ce que j’étais et ce que je devais devenir. À cette époque, tout me semblait possible, mais rien n’avait encore trouvé sa place. » ou encore « L’air du Sud devait contenir quelque chose que Paris oublie parfois : l’accueil des possibles. », vraiment top.
Merci Valérie,
Et cette histoire tu voyant, c’est vraiment arrivé comme je l’ai raconté. J’aurai certainement d’autres histoires vraies et vécue que je posterai. Je n’ai pas d’explications et je ne cherche pas d’explications. C’est arrivé et je le raconte. Longtemps j’ai essayé de comprendre !
C’est juste quelque chose qui dépasse !
Merci encore
Michel