Vraiment il semblerait que tu as trouvé ta voie et ta voix, tu es vraiment très habile pour raconter des contes et ton imagination débordante fait merveille. C’est d’autant plus génial cette idée de quartier que ça ressemble à notre société actuelle, repliée sur elle-même, ne souhaitant qu’être avec celles ou ceux qui lui ressemble, clanique… il y a là de la belle matière et une plume efficace pour faire de très belles choses…
C’est rock n’roll, j’aime beaucoup ! Le texte souligne qu’il faut faire des sacrifices pour se construire, travailler et savoir laisser de côté le divertissement, sauf si l’on arrive à faire de son travail un jeu (le paradis, que dire de plus ?). La mythologie montre qu’il faut se méfier des tentations, et rester concentré. D’autant plus que ces dernières ne sont pas recommandables quand on sait ce qu’incarne Bacchus. Je dirai même qu’elles sont "noiose" comme on dit en Italie, ennuyeuses pour les personnes en recherche de profondeur (dont je fais partie).
Confusion. Le temps a passé. Revenir sur mes textes est parfois compliqué. Mais je tiens à vous remercier. Merci pour votre temps et vos commentaires, encourageants et profonds. J’ai cette crainte souvent que le trop plein de propreté, comme dirait le fils de Louis, efface l’émotion. Alors merci encore. Belle soirée à tous :)
Sportive du dimanche, je suis restée scotchée devant ce périple moi aussi, me demandant ce qui pouvait motiver un grand sportif, sinon le dépassement de lui-même. On se met aisément à la place du coureur, on craint pour lui, on veut gagner. C'est réussi. Personnellement, je ne l'ai pas jugé toujours très raisonnable à pousser autant ses limites, mais oui, ça valait le coup. Merci de nous faire partager cet exploit. Faire du sport, c'est aussi garder son équilibre.
Merci beaucoup Lucie ! Tes mots me touchent profondément. Oui, accepter nos fêlures, c’est aussi s’affranchir du regard des autres et oser vivre pleinement, sans masque. La liberté naît souvent là, dans cette authenticité fragile mais vraie. Et c’est beau de voir que tu ressens cette force dans le poème. Belle journée à toi aussi, remplie de douceur et de lumière.
Nous portons tous des fêlures, visibles ou secrètes. Des éclats de vie, des blessures, des manques. Mais comme dans l’art du kintsugi, nous pouvons choisir de réparer nos brisures avec de l’or. De faire de nos cicatrices une œuvre. Car nos failles ne nous diminuent pas, elles racontent notre force, notre beauté, notre humanité. Bonne journée Valérie
Un livre choc, lu dans ma prime adolescence, dont je garde encore un souvenir fort et magnifique. Un livre qu'on n'oublie pas, et qui, à chaque instant de notre vie, résonne au fond de soi. Merci pour ce rappel Mich et cette belle critique, et merci à René Barjavel pour nous accompagner depuis aussi longtemps.
Merci du partage Michel, je l’ai ajouté directement dans ma pile à lire pour en faire une de mes lectures sans faute de 2026. Je te ferai un retour ici.
Yeahhhh ça décoiffe, c’est toi qui compose et qui interprète ? A l’écoute le débit est vraiment nickel et le message qui invite à devenir son propre créateur vraiment très inspirant. Il y a une force inouïe traduite et portée par la musique mais aussi beaucoup de travail et de patience (« Cisèle, martelle, burine, et ponce »). Une très belle réussite.
Ton repère c'est toi.
Sculpte ton âme comme une parnassienne dans le bloc froid des épreuves et des ruptures.
J'ai bien aimé la conclusion qui n'est pas une fin mais un pas vers l'avant :
"Tu as déjà prouvé mille fois que ton cœur sait se relever.
Et tu le feras encore."
Je trouve qu’il y a plus court comme « petit tour »… Bonsoir et bienvenue sur le peuple des mots Mathieu et merci pour ce texte rythmé et ce qui est incroyable absolument pas ennuyeux malgré la répétition des étapes. Tout d’abord parce que c’est écrit comme si nous prenions part à une caméra embarquée et l’on partage chaque foulée, chaque difficulté et plus l’exploit se déroule plus l’on a qu’une seule envie : partager cette ligne d’arrivée. Chaque étape est marquée d’une heure, d’un lieu, d’un état, de choix, de spontanéité aussi. La structure des phrases est tout e autant efficace, souvent courtes calées sur des virgules qui sont comme des foulées, nous permettant d’emboîter le pas. Ce qui est marquant, c’est qu’il n’y a pas de doute, juste une détermination. L’enjeu et la renommée de l’évènement sont des garanties suffisantes pour ne pas laisser le moral saboter ce rendez-vous unique. Il n’y a guère que la blessure que l’on craint, et cette cheville qui ne tienne pas sur la durée. Bravo pour l’exploit et bravo pour les mots qui les immortalisent. Merci pour ce très beau partage.
Je rejoins le même avis que Valérie, je ne crois pas du tout aux voyants mais j’avoue que ton témoignage est troublant. Merci pour le partage de ce texte qui te ressemble vraiment de tout ce que j’ai pu lire de toi : de la sincérité, de la douceur (jusque dans la rupture) ainsi qu’une belle sensibilité, des belles voitures, mythiques, des amours irréalistes mais surtout, surtout de magnifiques formules : "hésitant entre ce que j’étais et ce que je devais devenir. À cette époque, tout me semblait possible, mais rien n’avait encore trouvé sa place. » ou encore « L’air du Sud devait contenir quelque chose que Paris oublie parfois : l’accueil des possibles. », vraiment top.
Merci Valérie,
Et cette histoire tu voyant, c’est vraiment arrivé comme je l’ai raconté. J’aurai certainement d’autres histoires vraies et vécue que je posterai. Je n’ai pas d’explications et je ne cherche pas d’explications. C’est arrivé et je le raconte. Longtemps j’ai essayé de comprendre !
C’est juste quelque chose qui dépasse !
Merci encore
Michel
Je ne crois guère aux ruptures heureuses et pense qu'un couple qui se sépare en souffre des deux côtés. C'est parfois nécessaire. Connu une fois une relation très fusionnelle. C'était à la fois merveilleux et infernal. L'ai vécu comme une sorte d'enfermement aussi et ne le souhaite plus du tout. Trop de couples qui se forment pour combler des manques affectifs sans se connaître suffisamment peut-être. Bref, l'amour nous fera toujours rêver et ce n'est pas plus mal. Source de joies et de souffrances à la fois. Le ruptures sont parfois dues au manque de communication. C'est dommage.
Moi qui ne croit ni aux voyantes ni aux signes, je me suis laissée porter par cette rencontre amoureuse et par son aspect magique.
On ne fait pas des enfants pour soi. Le voisin d'un ami nous a dit une fois : "Je vais faire plein d'enfants pour qu'ils s'occupent de moi plus tard." J'ai trouvé ce calcul odieux et très égoïste. Bien aimé aussi la conclusion , ou l'art d'avancer et de ne retirer que du positif, même d'une rupture.
Cordialement,
L’amour peut s’apparenter à une forme d’addiction dans laquelle on plonge en s’oubliant totalement. Et plus on s’y abandonne et plus l’arrachement en cas de rupture se fait plus douloureux. Certains le vivent même comme une amputation lorsque la relation était fusionnelle. La rupture est toujours plus dimple lorsqu’elle est alimentée par des trahisons ou des manquements, cela justifie la rupture et permet de s’appuyer sur des éléments tangibles, raisonnés mais lorsqu’il s’agit d’une perte de sentiment cela s’avère plus compliqué. Ton texte partage avec beaucoup de sensibilité cette phase très délicate, cette épreuve qui ébranle et fait vaciller toutes les certitudes intimes. Merci, à plus tard.
Grand bravo Valérie car ce conte décalé entre absurdité et modernité est vraiment plaisant à lire. L’histoire de ce loup-garou hypocondriaque collé comme une huitre à son rocher est du jamais lu, foi de Leo. J’espère que ce qui entoure cet extrait donne une suite avec une quête à atteindre avec bien d’autres personnages sur la route. De faire de cette étonnante rencontre drolatique une histoire au long cours.