Bonjour Mich et grand merci pour cette narration festive qui exprime bien le vivre-ensemble et le partage. Et je trouve l’usage de l’expression « cérémonie de Noël » très juste, au sens propre comme littéraire. Bonnes fêtes de fin d’année !
Cher Léo,
Tes mots portent cette bienveillance rare, cette attention sincère à l’autre qui fait du peuple des mots un lieu d’humanité et de partage.
Merci pour ta présence lumineuse, tu incarnes cette belle harmonie entre la précision du mot juste et la chaleur du lien humain. Tu sais donner une âme à la communication, transformer un message en rencontre, un échange en sourire. Ton sens de l’écoute et ta bienveillance font de chaque interaction un moment d’attention sincère.
J’aime ta manière d’apaiser, de relier, de valoriser les autres sans jamais chercher à te mettre en avant. Tu rappelles que la communication, lorsqu’elle est portée par le cœur, devient un véritable art de vivre.
🙏MERCI pour tout cela.
Joyeux Noël Mary et à tous les membres du peuple des mots qui liront ce commentaire, et merci infiniment pour ton texte, et toute la bienveillance et l’altruisme qui te caractérise, pour tes mots au grand coeur et propice à la réflexion.
Bonjour très cher Perthro, ton texte posté en ce jour de Noël prend la forme d’un magnifique cadeau à se faire. À soi-même, pour soi-même ce qui profitera ensuite à autrui. Changer le monde, c’est déjà se changer soi-même. Merci pour ce magnifique partage, osons et accueillons l’inconnu.
J'aime cette analogie de rencontre, de rassemblement dont vous parlez, à la simple écriture et lecture d'un texte. Humains de lettres, graphèmes de l'être, floue est la lisière quand in fine l'écrit la ligature opère..
C’est une très belle chronique qui rend hommage au livre, à l’auteur et à cet étudiant qui a fait le nécessaire pour que cette pépite ne reste pas dans l’oubli, merci de perpétuer ce souvenir et d’en donner aussi bien l’envie de le lire.
Les lettres et ses ponts d’humains à humains, sur le sillage des amitiés et parfois de l’amour. La plume qui rassemble et rend moins seuls… merci pour ce nouveau texte une nouvelle fois très sensible.
Le dieu argent s’est imposé sur le trône de l’Olympe et ne se laissera pas destituer… Le fleuve tumultueux a toujours de beaux jours devant lui. Merci du partage et à plus tard Plutus.
Fumito Ueda, célèbre créateur de jeux vidéo, qualifie son approche de design par soustraction. L'idée étant de ne garder que l'essence même de l'oeuvre, et pour cela s'autoriser à enlever des systèmes, des mécaniques, des couches qui n'apportent rien. Une expérience minimale et donc forcément intense. On est tenté lorsque l'on écrit d'ajouter des mots, d'expliciter quelque fois, d'alourdir parfois, et le message original peut s'en retrouver noyer.. ici j'ai choisi de n'en garder que l'essentiel, opposant littéralement inutile verbiage et logorrhée là où seul suffit l'éternité d'un silence.
Merci d'apprécier et pour vos retours réguliers, Léo.
L'utilisation du mot "croisière" au début de la dernière strophe m'a fait rire, car la traversée n'est pas de tout repos dans les Enfers ! (rires) Le bateau avance dans une eau sombre remplie de cadavres (pas très vendeur). Cela tranche avec la dureté des lieux, mais ce n'est pas suffisant pour les rendre sympathiques... Bref, je suis contente de retrouver le latin, l'origine de notre français, que j'ai côtoyé pendant dix ans, et qui est une belle clôture à ce poème. Merci Plutus !
Un grand plaisir à lire cette réflexion. Je pense que le sujet invite à une suite. Peut être sur comment maîtriser la violence ? Qui a intérêt à la violence? La violence peut elle être légitime et amener a la conquête de droits et a une forme de justice ?
La violence en réponse à la violence est parfois la seule réponse possible. Quand cette violence est réfléchie, mesurée et limitée à un but clair n'est elle pas un moyen raisonnable d'arrêter une violence aveugle et illégitime ?
Merci infiniment Léo pour ce partage et votre soutien. Je trouve ce sujet passionnant et avec vos références je pense que l'on peut pousser la réflexion encore plus loin. Je pense qu’il serait intéressant d’élargir la problématique en prenant en compte tous ces éléments pour en faire une sorte de suite.
Un grand merci pour ces commentaires !
Bonjour Mary, un grand merci pour cette réponse. Je trouve le point sur la rationalisation de la violence particulièrement pertinent puisqu'il mène à la notion de choix. La dernière phrase, c'est exactement ça... Très intéressant, merci.
Un texte divin que Bacchus ferait sien sans nul doute. Le vin peut être le lien sacré entre la terre et les hommes. Et cette poésie contenue en un verre levé : à la santé de ton talent littéraire, car c’est vraiment très bien écrit. Pour certains la fête avec vin peut aussi être une fête gâchée, à boire avec modération donc. Et je suis d’accord avec « Celui qui n’en boit pas crée un malaise étrange, », dans notre culture française il est difficile de comprendre et parfois même respecter celles et ceux qui ne boivent pas. Merci pour ce très beau partage.
Une projection d’éclats de blessures qui viennent se ficher dans la rétine et la conscience du lecteur. Le patriarcat n’est déjà plus en bien des domaines et situations, même si bien évidemment il y a encore beaucoup à faire. La question que je me pose en prenant en compte cette colère aussi dense qu’ont été les violences subies, c’est le temps qu’il faudra pour que la confiance se restaure et qu’une société apaisée puisse émerger. Je me demande même si on le connaîtra de notre vivant.
Bravo pour ce magnifique texte dans lequel je me reconnais beaucoup. La fragilité n'est pas une faiblesse, c'est son caractère humain qui fait sa beauté. L'assumer n'est pas facile mais quand on y arrive on se sent mieux, et la santé c'est le plus important. Ce texte prouve également que Le Peuple des Mots est un endroit bienveillant, qui amène de la confiance, permet de se livrer sans craintes, et de renouer du lien avec l'autre. Si cette règle n'avait pas été respecté je ne serais pas encore là aujourd'hui. Je pense que nous sommes nombreux à penser la même chose. Alors pour ça je n'ai qu'un mot : MERCI.
Merci beaucoup Ioscrivo. Si l'émotion trouve sa juste place j'en suis ravie. C'est qu'elle est acceptée, et bien vécue. Ce qui donne, effectivement, une belle galerie d'art.