Un bien joli conte qui mêle nature et un des sujets les plus difficiles à appréhender : l’addiction aux écrans. Et si les parents donnaient aux enfants le pouvoir de l’imagination et du faire-ensemble. Jouer ensemble c’est apprendre à vivre ensemble par le biais d’un magnifique levier: merci Mary pour ton texte très inspirant. A plus tard.
Très beau texte, très touchant. La disparition des grands parents sont des drames absolus. De la fierté et de leur amour donné, de l’histoire et de la connaissance passée qu’ils distillent en toute sagesse. Des guides, des repères sui disparaissent et qui laissent un énorme vide. Merci du partage.
Ton texte est bouleversant. Il dégage une émotion sincère, presque palpable, qui touche profondément. On ressent la fragilité derrière la force, la tendresse derrière la douleur. Chaque mot semble choisi avec soin, comme une façon de retenir ce qui s’échappe.
C’est un hommage vibrant, empreint d’amour et de respect. On y perçoit la lutte entre le manque et la volonté d’avancer, entre la peine et la gratitude. Ce mélange rend ton écriture humaine, vraie, et d’une beauté rare.
Un périple mythique aux confins du visible et de l’invisible ! On y perçoit la présence du destin, la tension du tragique, mais aussi la puissance d’une parole qui résiste. Cette poésie unit l’héritage des mythes à une voix d’aujourd’hui, vibrante, intense et habitée. Une incantation qui captive et bouleverse. Merci Lucie pour ce partage ✨️
De l’ombre à la lumière chaleureuse d’Hélios, une renaissance communicative qui célèbre à merveille toute la richesse mythologique qui sont autant de sources d’enrichissement. Merci Lucie, à plus tard.
Ce résumé attise l’envie d’en connaître plus. Vous pouvez si vous le souhaitez, publier tous les chapitres sur ce site en procédant ainsi : https://lepeupledesmots.com/faq/comment-publier-un-texte-necessitant-plusieurs-parties--37 , merci et bienvenue.
Il y a bien des thèmes très intéressants abordés dans ton texte mais je dois dire que ton titre « Union des abîmés » est vraiment très puissant. Merci de ce nouveau beau partage.
Le championnats du monde du "pas bouger » est très disputé. Ton texte montre bien la peur d’avoir moins et d’être totalement déclassé. Je viens de finir « Discours de la servitude volontaire » d’Etienne de la Boétie, qui tente d’expliquer l’incompréhensible et donne plusieurs clés de compréhension. A plus tard.
Merci pour vos commentaires très instructifs sur la manière dont vous percevez le contenu du dernier Hastag #50. Il y en a 49 autres (près de 2000 pages en accès gratuit sur le site www.bookiner.com) qui font l'état des lieux critique et raisonné de nos sociétés actuelles. Il y a forcément du bon et du mauvais. L'intelligence humaine doit d'abord en prendre véritable conscience et non pas seulement comprendre ce qui va et ne va pas. La démarche du livre L'Esprit du Societhon est de sensibiliser sur les fondamentaux dépassés, obsolètes, trop conformistes et conservateurs qui structurent, à la racine, le développement de l'ensemble de notre environnement social, économique, politique, citoyen et individuel. Je vous invite donc à vous plonger dans la "culture sociétale mère" qu'essaie d'éclairer l'Esprit de Sociéthon, afin d'en prendre bien conscience. Les 10 prochains Hastags seront consacrés à des synthèses "avancées" portant sur des solutions possibles, prenant en compte l'existant tel qu'il est. N'hésitez pas à partager la réflexion autour de vous. En vous souhaitant d'excellentes fêtes de fin d'année. Monthome
J'y trouve à réfléchir aussi. Actuellement, c'est bien le "riche méritant" qu'on voudrait nous vendre et discriminer les plus pauvres. ça fait peur quand - même. Le système éducatif n' est-il pas resté trop élitiste ? Les formations sont-elles vraiment adaptées non seulement aux besoins mais aux personnes ? Comment peux s'en sortir quelqu'un qui n'a pas les moyens de se payer une partie d'une formation , Etc. Alors oui, on peut travailler sur son sentiment d'échec, ce qui ne résoudra pas tout.
Beau texte sur l'accompagnement à mourir. Je m'étais promis de garder ma main dans celle de ma mère pour sa fin. Mes sœurs et moi, on nous a éloignées pour l'euthanasie que le médecin ne souhaitait pourtant pas, mais que nous avions demandée, notre mère aussi, et vu son état, il a changé d'avis.
(Allez donc au café du village vous reposer, nous vous préviendrons). On est revenu nous chercher après. Je m'en suis plainte. On m'a dit : "vous teniez vraiment à voir les derniers soubresauts ? ". J'ai trouvé ça stupide. Votre texte me rappelle tout ça mais montre qu'il peut s'agir aussi de moments très apaisés.
Nous avons pu au moins lui témoigner de notre amour et c'est important. Merci.
Ce poème est d'une sensualité exquise, où chaque strophe caresse les mots comme les lèvres qu’elle évoque. L’élégance des images, la délicatesse du rythme et la musicalité des vers en font une déclaration à la fois charnelle et raffinée. Un vrai plaisir de lecture, à la frontière du rêve et du désir.
Quel voyage mythologique aux frontières de l’ombre et de la lumière ! On sent dans chaque vers le poids du destin, le souffle du tragique, mais aussi la puissance de la parole poétique comme dernier rempart. Une poésie qui tisse les fils de la mythologie avec une voix contemporaine, à la fois sombre et lumineuse. Bravo pour cette incantation envoûtante.
Une réflexion percutante sur les racines invisibles du mal-être social. L’idée que notre système éducatif et professionnel façonne, parfois malgré lui, un "esprit du perdant" mérite d’être méditée. Et surtout, j’aime cette note d’espoir : on peut toujours choisir de renverser la tendance, et redevenir acteur de sa vie.
Merci infiniment pour tes mots pleins de force et de sincérité. Oui, parfois il faut oser bousculer les choses, même si ce n’est pas toujours facile. L’espoir, les doutes, les larmes… tout fait partie du chemin. Et avoir quelqu’un qui écoute, ça change tout. Merci pour les good vibes, je les reçois avec gratitude. À très bientôt Mary 🩷
Merci infiniment pour ce retour si lumineux et plein de justesse. Oui, l’espoir nous propulse, même dans les passages les plus sombres. C’est une vraie force intérieure, et vos mots le traduisent merveilleusement bien. Heureux que ce texte vous ait parlé. À très bientôt sur nos chemins d’écriture !
Tes vers m’ont emporté dans un souffle d’émotion.
On y sent la chaleur d’un amour vibrant, presque sacré, où chaque mot semble frôler la peau.
Les images sont si précises qu’on croit voir, sentir, goûter ce souvenir.
C’est un poème qui parle au cœur autant qu’aux sens, un murmure d’éternité posé sur un instant fragile.🙏Merci pour le partage.
J'y lis un amour rendu impossible à cause de peurs qui prennent en otage le bonheur, de douleurs qui chassent le plaisir qui veut pourtant exister. La tension entre la peur et le plaisir est puissante. J'aime bien l'idée.
Le rythme aide à percevoir l'hésitation, le doute qui, ici, ronge peut-être plus qu'il ne conseille. Le doute a deux visages : celui de réfléchir, au bon moment, avant d'agir, ce qui en fait un salvateur, et celui issue d'une crainte qui cause bien des souffrances. La décision n'est pas facile à prendre. A la lecture on sent cette peur de, peut-être, passer à côté de quelque chose. Merci du partage Ioscrivo.
C'est plutôt un système économique défaillant qui n'a jamais été satisfaisant: le libéralisme. Je vois dans ce texte une critique de l'Etat mais sans État pas d'entreprise, pas d'infrastructure, pas de personnel qualifié, pas de système de santé, pas de financement....
Je ne vois aucun gagnant, c'est une fable consumériste qui ne mène nulle part. Arrêtons avec ce matérialisme et la glorification des élites. Accumuler des richesses, du pouvoir et une position sociale n'est pas souhaitable et ne doit pas être un idéal à diffuser!