Ce qui est intéressant avec ce que tu dis c’est que tu considères comme poésie un texte qui n’est pas en vers. Cela pose la question de cette notion. Qu’est-ce qu’on considère comme de la poésie ? Cela pourrait être un excellent sujet de débat ! Quant à la mise en musique je dis pourquoi pas, et puis ça me fera un beau cadeau (mardi ce sera mon anniversaire). Je suis curieuse d’entendre ce que ça peut donner...
Je suis content que ça t'ai plut. Je ne sais pas si c'est possible de faire de son travail un jeu. Il y a toujours un moment ou cela devient rébarbatif. C'est a ce moment qu'il faut rappeler la valeur de l'assiduité, et du travail.
J'ai vu que tu a publiée de bon poème. Si tu veut que j'en mettes en musique ça peut se faire :). J'avais bien aimé "Ma maitresse" :)
Merci infiniment, j'écrit juste le texte. La musique et l'image son faite avec l'IA. Les concept de travail et d'assiduités sont important pour moi. J'essaie de développer un style "néo-parnassien". J'ai vu que tu a de bon poème aussi. Si tu veut que j'en mettes en musique ça peut se faire :)
Merci.
ça finit mal, dans le sens ou le héros va avoir un accident, mais c'est la vie qui reprendra ses droits. Ecrit après le décès accidentel d'un jeune adolescent.
Bien aimé cette fable style la Fontaine. Pas pu m'empêcher de m'y voir parfois et l'un de mes frères "d'adoption", ce qui m'a fait bien rire. En extrapolant... De là à me voir volant et m'alimentant dans les poubelles. ça existe pourtant. Les rimes ici ne m'ont pas embarrassée. Fluide, léger, marrant. Poème qui nous conte toute une histoire.
J'y ai vu comme les deux faces d'un être humain. Qu'importe la couleur ! C'est triste ce qui se passe en ce moment avec les pires qui veulent criminaliser "tout étranger". Résister !
Je n'ai pas du tout lu ici une histoire de violence conjugale mais un encouragement à être soi-même, à affronter les peurs et les échecs, " à danser sur les toits" quoiqu'il arrive, violence de l'existence comprise. Je pense que chacun interprète le même texte en fonction de ses appris et de son vécu, comme en poésie, et c'est humain. Ou que chacun y prend ce qui lui parle le plus.
Il n'est pas question de violences conjugales mais davantage de quête de sens, d'absence et de confiance en soi.Pour l'expression ''Un cou à serrer", il est question d'abandon et non du sens premier.
Et l'amour insincère, insensé blesse.
Je ne sais plus qui disait « la vie est une maladie mortelle, est un autre que c’est pour cette raison qu’il ne fallait pas la prendre au sérieux. Sauf si j’ai mal compris il y est question de violences conjugales (coup au coeur, coup de poing, cou à serrer) et il me semble que la coercition exercée par exemple par des hommes violents se nourrit de ce que les victimes peuvent livrer et qui peuvent malheureusement servir à la mise en place de ce contrôle et l’exercice renforcé de ce pouvoir visé ; et qu’à des personnes malveillantes il n’est aucune raison que de devoir livrer ce qu’il y a en soi et qui pourrait servir à mal. De même que l’amour est un sentiment : et à ce titre il n’est doté d’aucune intention propre , ce sont les personnes qui expriment un sentiment qui lui confèrent une singularité, une intention etc… et si la personne est malveillante, je ne vois pas l’intérêt de devoir lui montrer « tout ce qu’il y a en toi » pour non pas que « l’amour ne blesse pas » mais pour que la personne qui exprime son amour ne blesse pas. Si la personne pour exercer son amour a besoin de tout ce qu’il y a en l’autre est-ce vraiment de l’amour ? Mes autres remarques en annotations. De façon plus philosophique, à cette même question que la vie a-t-elle un sens ? Je crois que l’amour blesse presqu’inéluctablement, puisque même les amours les plus purs et respectueux sont cruellement blessés par la séparation imposée par la mort… la boucle est tristement bouclée. MAIS l’idée de danser pieds nus sur un toit pour que la pluie ne cesse pas est une perspective qui semble enthousiasmante.. merci.
J’adore ce conte ! Tu racontes d’une façon très imagée l’histoire de Max, ce petit garçon qui ne se sent pas vraiment à sa place dans le monde des adultes. Alors, il s’invente un univers où tout le monde s’aime. Bravo, c’est réussi !
Moi, je choisis d’habiter au quartier des Foldingues 😋😁
Merci pour ce voyage enchanté — on croirait presque un conte de Noël.
Bonne journée, Valérie !
Bonjour et bienvenue, et merci pour pour ce premier partage. Je crois que se contentant de ce qu’elle a, cette mouette est vraiment libre, tout en restant lucide sur le temps qui passe et qui contraint à certains aménagements. Probablement nous enseigne-t-elle qu’il faut vivre pleinement pour partir sans regrets. Merci du partage.
J'ai des manuscrits corrigés. Sans me l'avouer, je dois chercher ici un dernier encouragement pour me décider à les envoyer. Je voulais tous les terminer avant. Avec le recul, c' était présomptueux. Surtout quand écrire fait écrire encore. Pour ce qui est de la publication, autant essayer. Ecrire et être lu aussi, ça reste une belle expérience.
Dans ce conte, il s'agit d'un petit garçon qui a tout matériellement et n'est pas heureux. Il veut comprendre pourquoi. Il fera des rencontres décisives. Il a un rêve, conduire sa propre "astrobulle", moyen de transport le plus utilisé dans son pays qui se veut un pays modèle. Je m'y trouve encore trop bavarde. On verra bien. Merci pour le retour.
Vraiment il semblerait que tu as trouvé ta voie et ta voix, tu es vraiment très habile pour raconter des contes et ton imagination débordante fait merveille. C’est d’autant plus génial cette idée de quartier que ça ressemble à notre société actuelle, repliée sur elle-même, ne souhaitant qu’être avec celles ou ceux qui lui ressemble, clanique… il y a là de la belle matière et une plume efficace pour faire de très belles choses…
C’est rock n’roll, j’aime beaucoup ! Le texte souligne qu’il faut faire des sacrifices pour se construire, travailler et savoir laisser de côté le divertissement, sauf si l’on arrive à faire de son travail un jeu (le paradis, que dire de plus ?). La mythologie montre qu’il faut se méfier des tentations, et rester concentré. D’autant plus que ces dernières ne sont pas recommandables quand on sait ce qu’incarne Bacchus. Je dirai même qu’elles sont "noiose" comme on dit en Italie, ennuyeuses pour les personnes en recherche de profondeur (dont je fais partie).
Confusion. Le temps a passé. Revenir sur mes textes est parfois compliqué. Mais je tiens à vous remercier. Merci pour votre temps et vos commentaires, encourageants et profonds. J’ai cette crainte souvent que le trop plein de propreté, comme dirait le fils de Louis, efface l’émotion. Alors merci encore. Belle soirée à tous :)
Sportive du dimanche, je suis restée scotchée devant ce périple moi aussi, me demandant ce qui pouvait motiver un grand sportif, sinon le dépassement de lui-même. On se met aisément à la place du coureur, on craint pour lui, on veut gagner. C'est réussi. Personnellement, je ne l'ai pas jugé toujours très raisonnable à pousser autant ses limites, mais oui, ça valait le coup. Merci de nous faire partager cet exploit. Faire du sport, c'est aussi garder son équilibre.