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Reviens
Publié le 10/02/2025
Bonjour Lucie, merci pour votre commentaire éclairé. Se laisser porter par le vent est un vœu pieu mais c'est tellement agréable. Mais se laisser porter contre vents et marées par une relation est encore plus fort.
Au-delà d'un songe
Publié le 10/02/2025
C'est un très beau poème ! Le poète transmet et traduit l'être humain qui est, à mon sens, un être d'ombre et de lumière, capable du meilleure comme du pire. C'est aussi, en plus du juste commentaire de Léo, ce que ce poème m'inspire. Merci Francis Etienne, au plaisir de vous lire une nouvelle fois !
Reviens
Publié le 10/02/2025
Vos mots nous invitent avec plaisir à considérer que comme le temps passe il faut en faire bon usage avec ce qui nous plaît car nous ne pouvons pas revenir en arrière. Cela consiste à se laisser porter par le vent avant qu'il ne balaie tout sur son passage, à se sonder pour connaître ce qui nous intéresser et se faire emmener par son ivresse. A la lecture j'ai prêté l'oreille et entendue le bruit des vagues poussées par le souffle du vent. C'est très agréable, merci !
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Merci merci beaucoup pour votre cri du cœur devant ce texte ! Et merci surtout pour le votre fidélité à lire mes poèmes. Cordialement Francis Étienne
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Cher Léo, tout le plaisir est partagé et je te prie de croire que je suis content d'être sorti de cette période où la grippe pendant sept semaine m'a tenu éloigner de la maison ! Cela a été une période où j'étais dans l'incapacité de gérer mes affaires et bien entendu de faire le moindre effort. La grippe a été tellement forte que j'ai été obligé d'aller dans une maison de convalescence pour une forme de résurrection ! Mais laissons là ma vie privée mais parlons bien sûr plutôt de l'écriture. Oui c'est un poème « d'ombre et de lumière » tu connais parfaitement mon style ou je ne laisse passer aucun détail angélique sur le monde qui m'entoure car je sais d'expérience que le monde est un mélange de biens et de mal. Il y a presque toujours dans la beauté qui nous entoure le doigt de Dieu rédempteur et le rire du diable séducteur. Le poète se doit de saisir cette beauté et de la traduire par des mots de façon à ce que le lecteur ait lui aussi accès à la vérité. De fait le poète est un médium et c'est à la perfection de son art qu'il doit constamment travailler en ne se souciant pas trop de vouloir dire quelque chose. Le poète traduit, le poète transmet, le poète donne mais il ne crée pas. Merci encore pour ta remarquable amitié et pour ton immense fidélité. Cordialement, Francis Étienne. Des rubans de ravins enroulent le destin Autour d'un soleil d'or comme un fruit de festin
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Que c'est beau ! Merci.
Un homme à la fenêtre
Publié le 09/02/2025
Merci pour votre accueil envers mon texte, j’apprécie lorsque je réalise que mon écrit rejoint la sensibilité et le cœur de l’autre. Ça me donne le goût de vous lire.
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Quel bonheur et plaisir de te retrouver, toi et tes mots somptueux. Un poème d’ombre et de lumière, de coeur et d’âme, qui se livre à une tragédie digne de nos plus grandes littératures. C’est avant tout cette ambiance du début à la fin que je salue car elle apporte sans discontinuer une intensité forte. Merci Francis Etienne !
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 08/02/2025
Certaines phrases sont un peu lourdes, mais j'aime bien l'idée et le découpage.
Reviens
Publié le 08/02/2025
Bonjour Léo, merci pour tes commentaires toujours positifs! Et oui, il faut parfois savoir s'arrêter et regarder, écouter, se laisser porter.
C'est le principe
Publié le 08/02/2025
Merci beaucoup Léo. Oui, c'est un autre extrait du roman que j'écris. Le long texte commencé ici i l y a quelques semaines, je le mets au frigo pour l'instant. Merci pour ton infatigable investissement dans ce site. Ce ne doit pas toujours être facile. Merci ! ;-)
C'est le principe
Publié le 08/02/2025
Ton précédent texte était dans cette lignée, rendre visible ce qui se tapie dans la lumière des écrans où se jouent des drames individuels et collectifs indicibles jusqu’à ce que des mots comme les tiens les exposent tels qu’ils sont. Tu as un fil à tirer si tu es toujours à la recherche d’un format long à écrire.
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 08/02/2025
Quel plaisir de te retrouver en mots Engome, un texte court mais comme toujours intense et nerveux, engagé et sans concession pour nos sociétés faites d’artifices et de faux semblants. Il y a l’invisibilité du décors dans le premier paragraphe, l’invisibilité contraintes par la géographie dans le second, l’invisibilité du réel dans l’avant dernier, et l’invisibilité de toute dignité en se livrant corps et âmes à la marchandisation. Tes mots m’avaient manqués, car ils empêchent immanquablement de tourner en ronds. Merci Engome, à plus tard.
À Gérald
Publié le 08/02/2025
Les mots sont à la fois les maux lorsqu’ils sont tus et contenus et à la fois le remède lorsqu’ils sont libérés et que l’on s’écoute enfin. J’ai été sensible au fait de boiter, qui montre la fragilité ou la souffrance des appuis et qui à chaque pas nous rappelle ce supplice de devoir avancer, même si l’on souffre. Les mots sont précieux, et ce n’est pas pour rien qu’ils alimentent bien Des formules magiques…
Un homme à la fenêtre
Publié le 08/02/2025
Bonjour, bienvenue et surtout merci pour ce texte d’une grande sensibilité. Vous décrivez parfaitement bien ce calme avant la tempête et ces instants où l’on se « parle à soi-même », en mots, en contemplations ou en convoquant le vide pour se soustraire au chaos remuant à venir. Je suis conquis par ce ton juste et je reviens sur ce mot contemplatif, qui fait énormément de bien, et puis la gratitude aussi. J’ai hâte de vous lire.
Reviens
Publié le 08/02/2025
Quel plaisir de retrouver tes mots après une semaine harassante, ils sont comme un baume de réconfort. Ils savent murmurer à l’oreille du poète des sentiments qui dans nos quotidiens contrariés sont sacrifiés sur l’autel « il Faut avancer ». Là on prend enfin le temps, on s’y retrouve et pareil à un miroir on prends le temps de ses sonder et de s’écouter. Une belle ode au vent, qui sait et peut tout emporter, c’est l’élément capable de faire voler nos âmes et de les emmener bien loin. merci Perthro, à plus tard.
Stylo sans perfusion
Publié le 08/02/2025
Hé hey… c’est celui-ci même que j’utilise au quotidien pour toutes les raisons évoquées dans votre texte. Pourvu qu’ils vous servent encore et encore pour bien des textes à écrire et partager. Bon week-end.
La Havane pour amoureux et lecteurs d’Hemingway…
Publié le 04/02/2025
Cuba mais aussi les chats "Le chat est d'une honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non." Ernest Hemingway.
Par les petites rues, 3
Publié le 03/02/2025
Merci Léo de votre retour. Peut-être que la démarche de l'interlocutrice a pour finalité d'encourager la parole de "l'homme à terre" ... Peut-être. Elle ne saurait être non étudiée. Quelquefois, même au plus bas de soi, s'exprimer, parler de soi, se mettre en avant, malgré toute la difficulté de la situation, a du bon. La parole est toujours libératrice. Amitiés.
Extrait d'un roman en cours. Je vous laisse le choix du titre.
Publié le 03/02/2025
Merci Léo. Ton avis m'importe. Au début quand je t'ai lu, je me suis souvenu de ma réaction trop véhémente suite à tes observations. Mais ensuite, je m'en suis nourri. N'hésite pas. ;-)
Par les petites rues, 3
Publié le 03/02/2025
Le poids et la pression des normes… je trouve le dialogue coupé en deux, avec d’un côté cet homme qui se livre avec franchise et authenticité et de l’autre des questions presque dénuées d’empathie, un brin orientées comme une injonction déguisée à bousculer pour aller de l’avant. Mais quelle temporalité et chronologie y a t il lorsqu’il semble qu’une personne se soit perdue à ce point, presque fuit elle-même, quelle vie peut se nommer ainsi lorsqu’elle ne semble jamais été sienne… d’où cet aveu de non construction. A suivre.
Extrait d'un roman en cours. Je vous laisse le choix du titre.
Publié le 03/02/2025
Une narration froide et presque distanciée, c’est étrange mais cela m’a immédiatement fait pensé à « C’est arrivé près de chez vous » de Belveau avec l’inénarrable Benoît Poelvoorde… peut-être parce que tu es belge ou que je sais que tu aimes cet acteur, peut-être les deux, en tout cas ton texte dérange comme il faut, sans filtre, âme et détresses mises à nues, il y a en commun la solitude. ça se lit que c’est travaillé et chaque mot sélectionné avec rigueur pour être le plus efficace possible. Ce n’est pas la première fois que tu explores le côté sombre de l’humain, mais c’est cette fois je trouve, très efficace. Quant aux titres ils se trouvent à la toute fin de l’écriture de mon point de vue, car ils doivent embrasser un ensemble. A plus tard Patrice.
Destin rouge
Publié le 03/02/2025
Le petit chaperon rouge est très probablement le conte qui a connu le plus de variantes, avec des versions qui permettent au chaperon rouge de s’en sortir, ce qui n’est pas le cas ici, c’est rapide et sans concession, merci du. partage.
Autour du Paris de nos écrans...
Publié le 03/02/2025
Quel plaisir de te lire sur les traces de grands artistes qui ont évolué à Paris, étant fan de cinéma également, je me suis régalé. A plus tard Gilbert.
Par les petites rues, 2
Publié le 02/02/2025
"Il prit son téléphone et s’y plongea. Je finis mon café, restai là un bon quart d’heure à travailler mentalement et pris congé. Nous résistions tous les deux à l’appât du mot, chacun à sa manière surjouée, dans un objectif sien." C'est aussi l'une de mes obsessions, pourquoi parler ? Qu'est-ce qui se cache derrière les mots ? J'ai beaucoup aimé ce texte parce qu'il est rempli d'humilité, de maturité et aussi et surtout parce que nous sommes dans la même équipe, vous et moi, celles de ceux qui éprouvent de l'empathie envers ceux en particulier qui ont à peu près tout perdu.
LÉGER
Publié le 02/02/2025
C'est chouette pour plein de raisons, notamment parce qu'on ne sent pas les contraintes de l'exercice. Une seule ligne m'a un peu gêné "Échapper à nos poids pour monter au soleil." parce qu'elle est redondante, selon moi. Je suis content aussi de te revoir. Je viens moins ici de ces temps-ci. ;-)
À Travers la Fenêtre, l'Ombre des Souvenirs
Publié le 01/02/2025
Je suis ravie que le texte vous ait plu. Concernant l’alternance des temps, elle s’est imposée d’elle-même, aussi trouble et fragmentée que les souvenirs qu’elle accompagne. Elle reflète la confusion entre mémoire et ressenti, entre ce qui a été et ce qui continue d’exister en moi. Je vous remercie encore pour votre regard attentif.
Autour du Paris de nos écrans...
Publié le 01/02/2025
Balade dans Paris bien plaisante à travers quelques (scènes de) films (déjà) classiques renvoyant à des atmosphères qui commencent à (nous) me manquer.