Tes vers m’ont emporté dans un souffle d’émotion.
On y sent la chaleur d’un amour vibrant, presque sacré, où chaque mot semble frôler la peau.
Les images sont si précises qu’on croit voir, sentir, goûter ce souvenir.
C’est un poème qui parle au cœur autant qu’aux sens, un murmure d’éternité posé sur un instant fragile.🙏Merci pour le partage.
J'y lis un amour rendu impossible à cause de peurs qui prennent en otage le bonheur, de douleurs qui chassent le plaisir qui veut pourtant exister. La tension entre la peur et le plaisir est puissante. J'aime bien l'idée.
Le rythme aide à percevoir l'hésitation, le doute qui, ici, ronge peut-être plus qu'il ne conseille. Le doute a deux visages : celui de réfléchir, au bon moment, avant d'agir, ce qui en fait un salvateur, et celui issue d'une crainte qui cause bien des souffrances. La décision n'est pas facile à prendre. A la lecture on sent cette peur de, peut-être, passer à côté de quelque chose. Merci du partage Ioscrivo.
C'est plutôt un système économique défaillant qui n'a jamais été satisfaisant: le libéralisme. Je vois dans ce texte une critique de l'Etat mais sans État pas d'entreprise, pas d'infrastructure, pas de personnel qualifié, pas de système de santé, pas de financement....
Je ne vois aucun gagnant, c'est une fable consumériste qui ne mène nulle part. Arrêtons avec ce matérialisme et la glorification des élites. Accumuler des richesses, du pouvoir et une position sociale n'est pas souhaitable et ne doit pas être un idéal à diffuser!
Bonjour Mary, j'ai adapté ton texte dans le style de Etta James. J'espère que cela te plaira. Ca donne un son mi "life coach" mi gospel 😊 J'aime beaucoup le résultats. La vidéos sera disponible demain à 16h30.
https://youtu.be/Wlo_AX8L7Gg
Joyeux Anniversaire 😊🎂. Je suis content que cela t'ai plut. Je ne suis pas sûr de vouloir comprendre les oiseaux au printemps. C'est pas tous des poètes 😂.
Cela me ferai très plaisir si tu laissais un commentaire sur la vidéo Youtube. Ca donne du crédit quand l'auteur valide la musique.
Les images sont puissantes : « brume âcre, issue de vallées sans âme » évoque une suffocation lente, tandis que « les âmes englouties par les immondices » donne une dimension humaine et tragique à la scène. On sent une critique implicite, peut-être écologique ou spirituelle, sur la perte d’harmonie entre l’humain et la nature.Bravo pour ce texte plein de sensibilité et de profondeur ! Il témoigne d’un vrai talent pour peindre les émotions et les paysages avec des mots justes et puissants.
Merci infiniment, Lucie. Tes mots me touchent beaucoup. Je suis heureuse que cette poésie t’ait emportée dans cet univers doux et mystérieux. Bonne soirée
Bonsoir Léo, la fable voudrait faire passer le message que tout exil, provoqué ou volontaire, laisse toujours une pointe de nostalgie tant à celui qui s'en va, qu'à celui qui reste.
C'est un sujet récurrent et plus que jamais actuel.
Je pense que la poésie est libre dans sa forme contrairement à ce qu’on peut penser. Merci pour le cadeau, ça me fait très plaisir ! Le jazz donne plus de caractère au texte, et surtout à Sora. Comme on dit il ne manque que la parole aux animaux !
Je comprends ton impression quant aux superlatifs. Ils peuvent être un peu lourds mais c'est récurrent pour quelqu'un qui a une sensibilité plus élevée que la moyenne de les utiliser. Cela crée un décalage avec les sensibilités moins fortes, ce qui explique peut-être aussi la gêne. Je dois m'y attendre de la part de mes lecteurs. Je respecte ce ressenti. Enfin, c'est vrai qu'"impression du cerveau" peut constituer un pléonasme. Merci pour ces retours instructifs.
On est sur un pressentiment assez flou dans le sens où Julien perçoit à l'avance qu'il y a quelque chose mais il ne sait pas quoi. Il est possible que j'ai trop voulu aller dans l'originalité, et que je me sois perdue.
Merci de votre retour, je dois vous avouer que je ne suis qu’au début de l’exploration philosophique, je pars de très loin mais je suis persuadé qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre. A plus tard.
Lorsque les cieux ne sont que le miroir du désespoir, et du trouble caractérisé à travers la brume, siège de tous les doutes et de tous les égarements. L’espoir a cela de terrible qu’il fonde tout possible en s’en remettant aux autres ou en des circonstances bien hasardeuses. Bienvenue et merci pour ce premier très beau partage qui je l’espère en appelleront d’autres.
Lorsque la sensualité et la délicatesse rendent le souvenir impérissable. On est d’emblée convié au champ de la tentation avec la pomme et le fruit défendu avant que le souffle amoureux ne ravisse tout, jusqu’à mené au nirvana. Merci pour ce second partage de belle qualité.
Une chose m'a un peu gêné, les superlatifs. Leur utilisation, en général, et c'est paradoxal, amenuise l'intensité d'un texte. Par exemple "Son ventre se soulève frénétiquement." Mais c'est un chouette texte.
Le mystère est complet et la tension est à son paroxysme avant que la raison de cette angoisse soit levée. On navigue bien sur le fil ténu du réel et de ce qui aurait pu être surnaturel. En revanche on n’est pas dans le pressentiment dans le sens où Julien ne sait pas ou ne pressent pas à l’avance ce qui va se produire. Merci pour ta participation Lucie.
Mon non plus, je n'utilise pas beaucoup le point virgule. En fait jamais. Je l'ai essayé ici suite à une discussion d'il y a quelques semaines. Merci pour votre lecture et vos lumières. ;-)