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Le désir de destruction : caractéristique innée ou construction sociale ?
Publié le 23/12/2025
Un grand plaisir à lire cette réflexion. Je pense que le sujet invite à une suite. Peut être sur comment maîtriser la violence ? Qui a intérêt à la violence? La violence peut elle être légitime et amener a la conquête de droits et a une forme de justice ? La violence en réponse à la violence est parfois la seule réponse possible. Quand cette violence est réfléchie, mesurée et limitée à un but clair n'est elle pas un moyen raisonnable d'arrêter une violence aveugle et illégitime ?
Le désir de destruction : caractéristique innée ou construction sociale ?
Publié le 22/12/2025
Merci infiniment Léo pour ce partage et votre soutien. Je trouve ce sujet passionnant et avec vos références je pense que l'on peut pousser la réflexion encore plus loin. Je pense qu’il serait intéressant d’élargir la problématique en prenant en compte tous ces éléments pour en faire une sorte de suite. La violence comme étant ni imparable ou inéluctable est vraiment un ajout considérable. Un grand merci pour ces commentaires !
Le désir de destruction : caractéristique innée ou construction sociale ?
Publié le 22/12/2025
Bonjour Mary, un grand merci pour cette réponse. Je trouve le point sur la rationalisation de la violence particulièrement pertinent puisqu'il mène à la notion de choix. La dernière phrase, c'est exactement ça... Très intéressant, merci.
Charon Crésus
Publié le 22/12/2025
Pour le amateur de MetallicA, la musique est ici : https://youtu.be/pxiz4KTJF-4?si=ncTRHZFd6jM5RmBJ
La Tirade du Vin
Publié le 22/12/2025
Un texte divin que Bacchus ferait sien sans nul doute. Le vin peut être le lien sacré entre la terre et les hommes. Et cette poésie contenue en un verre levé : à la santé de ton talent littéraire, car c’est vraiment très bien écrit. Pour certains la fête avec vin peut aussi être une fête gâchée, à boire avec modération donc. Et je suis d’accord avec «  Celui qui n’en boit pas crée un malaise étrange, », dans notre culture française il est difficile de comprendre et parfois même respecter celles et ceux qui ne boivent pas. Merci pour ce très beau partage.
Mission
Publié le 22/12/2025
L’écriture est vraiment un exercice qui apporte énormément de bienfaits, en voici un nouveau témoignage donné avec style.
Silence d'un regard
Publié le 22/12/2025
C’est vraiment doux et charmant, un peu de douceur dans ce monde de brutes…
Femme avant d'être un homme
Publié le 22/12/2025
Une projection d’éclats de blessures qui viennent se ficher dans la rétine et la conscience du lecteur. Le patriarcat n’est déjà plus en bien des domaines et situations, même si bien évidemment il y a encore beaucoup à faire. La question que je me pose en prenant en compte cette colère aussi dense qu’ont été les violences subies, c’est le temps qu’il faudra pour que la confiance se restaure et qu’une société apaisée puisse émerger. Je me demande même si on le connaîtra de notre vivant.
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 22/12/2025
Bravo pour ce magnifique texte dans lequel je me reconnais beaucoup. La fragilité n'est pas une faiblesse, c'est son caractère humain qui fait sa beauté. L'assumer n'est pas facile mais quand on y arrive on se sent mieux, et la santé c'est le plus important. Ce texte prouve également que Le Peuple des Mots est un endroit bienveillant, qui amène de la confiance, permet de se livrer sans craintes, et de renouer du lien avec l'autre. Si cette règle n'avait pas été respecté je ne serais pas encore là aujourd'hui. Je pense que nous sommes nombreux à penser la même chose. Alors pour ça je n'ai qu'un mot : MERCI.
Flânerie nocturne
Publié le 22/12/2025
Merci beaucoup Ioscrivo. Si l'émotion trouve sa juste place j'en suis ravie. C'est qu'elle est acceptée, et bien vécue. Ce qui donne, effectivement, une belle galerie d'art.
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 22/12/2025
Bien exprimé. La fragilité humaine, on en porte tous un bon sac. D’aller chercher de l’aide quand ca dérape, c’est la chose intelligente à faire. Ceux et celles qui ont eu à traverser une période où l’âme a eue très froid, sans aide, par orgueil ou fierté, ne s’en sont pas mieux sorti parce qu’ils n’ont pas demandé d’aide. Il n’y a pas de honte à vivre le coté sombre de l’expérience humaine. Et oui, l’écriture est un outil thérapeutique utile, je crois. Merci pour votre ouverture.
L’enfance sous les ruines.
Publié le 22/12/2025
Bravo Mary. Prose implacable. J'entends même des échos de M. Eric Vuillard...
Bougie
Publié le 22/12/2025
Merci Mary pour ta lecture et ton analyse en finesse.
Bougie
Publié le 22/12/2025
Merci beaucoup Léo. Je continue
La lettre oubliée
Publié le 22/12/2025
J'imagine qu'il en est ainsi. Certains écrits "résonnent". Je crois beaucoup à cette notion d'écho qui lient par-delà les mots des existences, intangible science qui opèrent de nos fils la danse. Comment sinon expliquer que sur votre texte je sois tombé, m'y sois arrêté, qu'il m'ait marqué et qu'en retour mon ressenti vous ait touchée... Vous êtes une belle plume, Mary.
Plus jamais
Publié le 22/12/2025
J'ai commencé sur Twitter, la limite de caractères aidant, j'ai du très vite apprendre à dire beaucoup en écrivant peu, je suis ravi que certains de mes écrits percutent ainsi, c'est le plus beau des compliments. Quant au thème, je suis souvent à fleur de mot, donc quand c'est doux c'est doux, quand c'est douloureux c'est douloureux..
Laissez les larmes couler
Publié le 22/12/2025
Je ne connaissais pas cette citation de Christian Bobin mais j'en mesure maintenant l'écho.. Merci du partage et du retour.
Laissez les larmes couler
Publié le 22/12/2025
Je l'ai compris à mesure d'écrire - et j'imagine qu'il ne serait y avoir d'auteurs pour me contredire - que quand les mots sur le papier on couche, de nos émotions on accouche. J'ai une relation assez compliquée avec mes propres larmes, mes écrits sont à leur encontre comme une thérapie... Quant aux roses et à leurs épines, j'ai un texte à l'avenant sur la féminité que je viendrai plus tard ici poster. Merci Mary pour votre beau retour.
Femme avant d'être un homme
Publié le 22/12/2025
Merci beaucoup pour tes mots. Je suis ému de voir que ce texte spontané te touche autant. Je ne peux plus me taire et nous sommes nombreuses et nombreux pour que la société change enfin de regard sur les femmes!
Femme avant d'être un homme
Publié le 22/12/2025
Ton texte brûle comme une aurore rouge sur un monde encore engourdi. Chaque vers éclate comme une étincelle dans la nuit, déchirant le voile des habitudes et des silences. On y entend le tonnerre des colères anciennes, mais aussi le chant clair d’une renaissance. Tu dresses la femme comme une montagne, libre et souveraine, face aux vents d’un patriarcat mourant. Tes mots sont des vagues qui frappent la falaise du vieux monde, des éclairs qui illuminent les visages de celles qui refusent de plier. Merci pour ce poème incandescent, pour cette offrande faite à toutes les femmes, celles qui marchent, qui tombent, qui se relèvent, et qui, par leur courage, rallument le feu du vivant.
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 22/12/2025
Il y a une forme de honte à prendre soin de sa santé mentale. Et bien souvent les élites remettent la faute sur les individus plutôt que sur les dysfonctionnements systémiques. Ton texte nous rappelle la brutalité du monde, des autres et aussi qu'il nous parfois quelqu'un pour nous rappeler notre beauté, notre intelligence, notre sensibilité, notre force. La société détruit les plus faibles, les plus fragiles dans une pseudo compétition. Qui tend encore la main plutôt que de se regarder et s'enfermer ? La recherche permanente d'un équilibre, d'une normalité, d'être comme tout le monde est dangereuse. Soyons tous fier de qui nous sommes, apprenons de nos échecs, ne retenons pas nos émotions et soyons humains. Merci pour ce texte qui sera utile a quelqu'un pour franchir le pas et comme tu le dis si bien ne pas fuir.
Message égaré
Publié le 21/12/2025
Merci Allegoria J’ai lu ce texte comme on traverse un rêve : avec des images fortes, une ambiance très présente, mais aussi des zones de flou qui m’ont accompagné jusqu’à la fin. Ce flou m’a laissé un sentiment un peu ouvert, comme une vibration plus qu’un récit fermé, et c’est une sensation intéressante à éprouver en lecture. Merci beaucoup pour ton texte Mich
Écarlate
Publié le 21/12/2025
Merci Léo, je suis très touchée que ma chronique t’ait plu. Ta lecture en miroir, nourrie de Schopenhauer et de Nietzsche, apporte une profondeur qui me réjouit. Tu as raison : les épreuves, comme le suggère Nietzsche, sont souvent le terreau d’une transformation intérieure, d’un élan créatif que la facilité ne provoque pas. Et permets-moi de te le dire : tu te sous-estimes. Ton écriture est à la fois sensible, claire et habitée. Elle traduit une pensée fine et une émotion vraie, ce qui est rare et précieux. Si ma chronique a pu, ne serait-ce qu’un peu, « apporter de l’eau à ton moulin philosophique », alors elle a pleinement trouvé son sens. Tes mots rappellent combien la lecture peut devenir un dialogue vivant entre les pensées, les sensibilités et les expériences.
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 21/12/2025
Je comprends mieux ton intention maintenant. Ce que tu voulais dire, c’est que bien souvent, ceux qui souffrent sont ceux qui prennent la responsabilité d’aller chercher de l’aide, alors que ceux qui ont causé la blessure continuent sans jamais se remettre en question. C’est une réalité profondément injuste, presque ironique : les plus conscients sont ceux qui portent le poids du soin, pendant que d’autres se dérobent à toute introspection. Ton texte ne cherchait donc pas à juger, mais à rétablir une vérité émotionnelle : celle du déséquilibre entre la douleur vécue et la responsabilité assumée. Ce n’est pas un reproche, c’est une observation lucide sur la manière dont certains affrontent la vie et d’autres la fuient. Ce que tu dis touche juste : aller consulter, ce n’est pas une faiblesse, c’est une forme de courage tranquille. Et si parfois le ton semble ferme, c’est sans doute parce qu’il vient d’un endroit blessé, mais lucide, celui de quelqu’un qui a compris que la réparation, même injuste, reste une manière de se libérer.
Le Protocole Deep Blue
Publié le 21/12/2025
Une découverte pour moi, à commencer par l’auteur, merci du partage !
Écarlate
Publié le 21/12/2025
Je trouve ta chronique excellente car elle énumère bien des thèmes sans livrer une bribe de l’histoire. J’ai tendance à écrire mes chroniques comme une note à moi-même pour ne pas oublier l’essentiel de ce qu’il y a dedans mais en exposant probablement trop de contenu au lecteur… Ce livre et cette auteure que je ne connaissais pas m’interpellent et semblent faire écho à ce que j’écoutais hier concernant l’approche de Schopenhauer qui écrivait « La souffrance est inséparable de la vie, elle ne vient pas de l’extérieur, elle est ancrée en nous, chacun porte en lui une source intarissable de douleur », et Nietzsche provocateur mais qui explique que lorsque tout va bien, on ne ressent aucun besoin de changer, et que ce sont les épreuves qui peuvent conduire à des remises en question, un acte de création intérieur. Merci de cette recommandation Mary qui pourrait continuer d’apporter de l’eau à mon moulin philosophique.
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 21/12/2025
Les marches se gravissent les unes après les autres, oui, c’est comme ça, et c’est déjà beaucoup…
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 21/12/2025
Merci Leo 🩷... Je crois que je me suis perdue en écrivant et je ne suis pas allée assez loin... Mais bon c'est comme ça...
La santé mentale n’est pas une faiblesse
Publié le 21/12/2025
Chapeau pour ce texte Iel de Mots et respect, car non seulement ce n’est pas une faiblesse, mais c’est il me semble la démonstration d’une belle force intérieure. Et de passer le cap, et de pouvoir l’exprimer et le revendiquer comme tu le fais est très positif car cette précieuse aide peut effectivement s’avérer salvatrice et sauver même des vies. Nous sommes dans des sociétés accélérées où le temps qui vient toujours à manquer et les impératifs de productions, de rentabilités, de concurrences, de jugements, accablent et poussent dans les derniers retranchements, dans la culpabilité et la honte de ne jamais être assez bien pour les standards et les normes. Ton texte est à lire et à partager au plus grand nombre.
Message égaré
Publié le 21/12/2025
Une très belle participation qui nous plonge immédiatement dans une ambiance où les frontières cohabitent avec pesanteur comme peut l’être la chaleur de l’été. Je ne sais si ce récit est réel ou imaginé mais je trouve que la radio est un outil à travers les ondes, propices aux messages de toutes sortes, de toutes personnes ou entités, de tous lieux (jusque parfois des signaux prélevés de l’espace). L’humain a toujours voulu dépasser les frontières et repousser les limites, croire en autre chose qu’une fin inutile. Ton texte rempli haut la main les exigences de l’atelier, merci pour cette lecture Allegoria.