Ah j’aime, j’adore ces 2 saisons l’automne, l’hiver et le printemps aussi.
L’été est terrible pour moi. Les canicules dans le sud sont devenues trop destructrices et anxiogènes pour nos corps !
Merci Léo
Merci beaucoup, Leo. Je m'inspire beaucoup du visuel et du sensuel, du vécu. Cela représente les 2/3 de mon écriture pour 1/3 de fiction, globalement. Merci pour cette lecture et oui, je pense revenir ici. :)
Ce texte est d’une grande douceur, Lucie. Il déploie une atmosphère à la fois mélancolique et réconfortante, où la lumière devient le fil conducteur entre le froid du dehors et la chaleur du dedans. On y sent une sensibilité très fine à la fois visuelle et émotionnelle : les images sont précises, presque picturales, et la cadence du texte épouse le rythme calme de la contemplation.
Les passages comme « Chaque fenêtre est une étoile » ou « Une rose prise à l’intérieur de la glace » sont particulièrement poétiques ; ils traduisent bien cette tension entre la vie et l’immobilité, entre le froid et la chaleur humaine.
L’ensemble évoque un moment suspendu, une transition entre la nuit et le lendemain, entre solitude et espoir. C’est une très belle méditation sur la lumière, la présence et le passage du temps. Merci, excellente soirée à toi
Merci pour ce poème plein de douceur et de justesse.
Il saisit avec délicatesse l’âme de Limoges, entre lumière et mémoire, entre pierre et rivière.
Chaque vers semble respirer la ville, et j’aime la façon dont vous lui prêtez une voix, presque un souffle.
Votre regard poétique lui rend un hommage sincère et vibrant , merci pour ce beau partage.
Ce texte respire la sincérité et la connexion à la nature.
On y sent une âme qui parle au monde, sans artifice, avec respect et émerveillement.
La pluie et le froid ne sont plus des phénomènes, mais des présences, presque des amis.
Chaque mot semble une offrande, chaque phrase une respiration.
C’est une poésie du quotidien, humble et lumineuse, qui rappelle que la beauté se cache dans ce que l’on croit ordinaire. Merci ! 🌿✨️
Merci Léo pour ce commentaire élogieux et subtil lui aussi. J'espère que les lecteurs vont ressentir ce que j'ai voulu faire passer dans ce sonnet. Un conseil : le lire à voix haute. Merci encore
Tous les textes du soir sont reliés à l’hiver et au temps ralenti, presque suspendu, et pourquoi pas même endormi comme le font si bien nos amis les ours… quelle est longue et pénible cette saison qui s’étire inlassablement.
J’ai beaucoup aimé "Chaque fenêtre est une étoile qui brille pour celles que les nuages voilent. ». Ces lueurs tenaces qui arrachent à l’hiver le droit de réchauffer un peu les coeurs qui doivent être bien patients avant que ne survienne l’hiver. Merci pour ce doux partage Lucie.
Merci infiniment pour votre message si attentif et bienveillant. Vos mots me touchent profondément. Savoir que mon texte a pu résonner ainsi et susciter une émotion aussi vraie est un immense cadeau. C’est pour ces partages-là que j’aime écrire, pour ces instants où les mots deviennent rencontre.
Je vous souhaite une soirée douce et inspirante.
Je ne suis pas écrivaine, simplement une amatrice qui aime poser sur le papier ce qu’elle ressent, en laissant parler ses émotions et son imaginaire. Écrire m’aide à comprendre, à apaiser parfois, à partager aussi un peu de ce que je perçois du monde et des autres.
■Vous touchez à ce que beaucoup ressentent sans toujours parvenir à l’exprimer : ce poids du silence transmis, ces blessures invisibles qui traversent les générations. Les guerres laissent des traces bien au-delà des champs de bataille .
Vous avez raison : les enfants en sont souvent les témoins impuissants, puis les porteurs involontaires. Leur regard, leur manière d’apprendre à aimer ou à craindre, s’en trouvent marqués. C’est pourquoi votre réflexion sur la transmission — celle de la haine comme celle de la paix — est essentielle. L’éducation, la parole, la mémoire partagée peuvent devenir des remparts contre la répétition.
Vos mots résonnent comme un appel à la vigilance et à la tendresse, à ne pas laisser le non-dit devenir héritage. C’est une belle manière d’honorer ceux qui ont vécu ces épreuves, tout en refusant qu’elles dictent l’avenir.
Vos paroles me rappellent combien il est important de continuer à dire, à transmettre, à refuser le silence quand il enferme. Merci encore pour votre bienveillance et la profondeur de votre message.
PS: Je dois avouer que je suis un peu partagée… Je ne sais pas trop si je dois vous vouvoyer ou te tutoyer. J’ai peur de me tromper et surtout, je ne voudrais pas paraître irrespectueuse. Alors, pardonnez-moi si je navigue un peu entre les deux, le temps de trouver le ton juste.
J’ai pris ton texte comme une prière et j’ai joints les mots intérieurs pour m’y recueillir, lmerci Dame Nature à qui nous rendons très mal ses bienfaits.
Bonsoir et bienvenue sur le peuple des mots Claude. Une écriture pareille à une carte postale qui rendent hommage à la Terre et à toute l’humilité qui peut nous assaillir dans la contemplation. A vous relire j’espère, à plus tard.
Je ne connais pas suffisamment bien Limoges dans laquelle je me suis rendu une unique fois sans prendre le temps de m’y attarder. Tes mots donnent l’envie d’y revenir pour ouvrir plus grand les yeux et être plus curieux encore. Merci du partage Valérie.
Il y a beaucoup d’intensité dans ton texte et l’on est, lecteur, plongé au coeur du tumulte, de toute cette débâcle intérieure dans laquelle il est difficile de se soustraire tant les courants sortis de leurs lits emportent tout sur leur passage. Heureusement, les mots, toujours, sont cette bouée qui empêche toutes les noyades.
Merci Lucie. Je sais pas si c'est une révolution mais un changement profond, une volonté de s'affranchir, de s'épanouir enfin. C'est si dur de revenir sur ce passé mais en même temps ça fait du bien, ça libère. C'est inspirant, ça donne de la matière.
Parfois on enrobe la réalité d'un peu de poésie, de fiction et de rêve pour la rendre plus jolie, plus supportable. Merci de parler d'équilibre et d'apaisement. Il en est fortement question dans ce texte.
Limoges sous toutes les couleurs ! C'est original, et un bel hommage à cette ville qui est la tienne peut-être ? Chaque couleur a une signification, ça m'évoque la peinture, toujours très codifiée. Merci pour ce beau partage.
Belle légèreté ; elle force la lecture dès les premiers vers parcourus. Le tout est magnifié par les verbes au passé qui donnent à l'ensemble le souffle du regret. J'aime.
Murakami, sa langueur (ses longueurs ?), son attention scrupuleuse aux détails anodins. J’aime l’auteur et son style, mais je trouve qu’ici il a trop dilué son produit. Mon intérêt a fluctué au fil des bouquins. Il a fait mieux que cette série. Si j’avais à le présenter à un lecteur qui ne l’a jamais lu, je proposerais bien avant les deux livres Le meurtre du Commandeur.
Merci Valérie,
Ne vous inquiétez pas, ce n’est juste qu’un texte qui atterri comme ça sans prévenir…
Je suis bien là et merci pour votre commentaire.
Mich
J'ai toujours admiré la capacité des écrivains à se mettre à la place des autres. Il faut dire, imaginer, sentir, faire ressentir comme vous le faites si bien. Nos générations sont restées hantées par les guerres que nos parents et grands-parents ont connues et qu'ils nous ont parfois si peu racontées. ça restait de l'ordre du tabou, du non-dit, du silence. On sentait bien la peur pourtant, l'angoisse, et on entendait aussi des ressentiments ou haines accumulées, des pardons impossibles.
Vous parlez surtout des enfants, victimes, et qui sait, oui, ce qu'ils deviendront. Il y a ceux qui défendent les guerres, qui voudraient convaincre qu'elles sont utiles. C'est triste d'en être encore là. La haine peut être éducative et se transmettre. Il faut lutter contre ça. Mes amitiés.
"Je tombe dans le vide". ça peut être comme je lâche prise et accepte ce qui en sortira.
Restez avec nous quand même.
Jeune, j'ai "flirté" avec mes envies suicidaires, du haut d'une falaise. Heureusement que l'élan de la vie, "le vouloir - vivre" est souvent le plus fort. Je n' ai plus peur du vide mais du saut à l'élastique. C'est juste physique, quand le corps s'use, du moins, je suppose. Qui sait ? Si j'en ai l'occasion. J'aime bien cette idée de rebondir.