J’ai ressenti toute la force d’une lutte pour préserver les lumières salvatrices avant que la force du coup du sort n’emporte tout sur son passage… l’intrusion du bruit dans le second quatrain semble annonciatrice du déclin à venir, dont les cendres que je n’ai pu m’empêcher de penser au prophétique « poussière, tu redeviendras poussière » qui n’est autre qu’inéluctable. Mais comme l’on dit ce n’est pas la finalité qui compte, mais le chemin parcouru et ses apprentissages. A plus tard Francis-Etienne.
Je l'ai lu, il est bouleversant. Il raconte comment l'homme tue un être de son espèce en l'empoisonnant mentalement et physiquement, mais aussi comment renaître après une expérience aussi terrible. Je conseille vraiment la lecture !
C'est un très beau poème Ioscrivo, tu arrives bien à évoquer l'espoir auquel on s'accroche lorsqu'on est face à une difficulté dont on ne voulait pas. C'est touchant, les mots sont bien choisis. C'est courageux d'arriver à exprimer tout cela ! Bravo !
Grand Bravo loscrivo, je trouve ton poème très réussi, touchant sans en faire trop, sans jeu de mot inutile qui desservirait le propos. Un poème authentique avec un gros faible pour la dernière partie.
"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles. » disait Oscar Wilde, et ton poème perché tout en haut dans un havre de paix et de quiétude transcende les idéaux.
Un tendre onirisme pour dire que l'amour fait avancer ensemble. Avec "Avec toi sur mon dos" je vois aussi un cheval ou un âne s'adresser avec tendresse à son humain. C'est que j'ai une imagination galopante ! (Rires)
Les mots, et leurs auteurs trouvent toujours un nouveau support pour exister. C'est leur manière de résister à la censure. Ces livres brûlés me rappellent Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, où le totalitarisme les élimine dans un grand feu, condamnant la culture à ne suivre qu'une seule direction : celle du pouvoir. Ce qui entraîne une prise de conscience : écrire pour continuer de faire vivre le langage. Merci pour ce texte !
Un amour sensible, les larmes de joie quand on réalise qu'on a trouvé la bonne personne. Enfin, saisir l'éphémère entre les mots pour le graver à jamais. Très touchant !
La ponctuation donne du relief au rythme qui, lui-même, donne du sens à ce temps trop rapide qui consume l'amour qui n'a pas le temps d'être vécu. Le temps, on aimerait l'arrêter mais c'est impossible. Il faut profiter au maximum des moments qui nous sont offerts.
Bonsoir et merci Valérie de votre participation au défi d’écriture spontanée. Une liste peu réjouissante et pourtant bien réelle. La conclusion de votre texte laisse la place aux possibles et finit sur une belle bouffée d’air frais qu’il nous faudrait collectivement parvenir à instaurer. Pour faire participer votre texte à l’atelier, cliquez sur l’onglet « L’atelier d’écriture et ouvrez la page de l’atelier en cliquant sur « voir la suite », pis cliquez sur le bouton violet « Sélectionner un texte » et sélectionner le titre de ce texte en cliquant sur « participer avec ce texte » et le tour est joué, tous les autres participants sauront notifiés de votre participation. A plus tard.
Merci de votre commentaire. Je viens aussi de ce monde et c'est en regardant le tableau qui illustre le texte que l'inspiration m'est venue. Tableau dont j'ignore l'auteur
Prise par l'atmosphère, souvenirs de fins de vie qui remontent, je ne sais pas vraiment "critiquer" un texte, me fiant au ressenti. J'y vois la vieillesse, la tristesse, l' amertume collant au paysage. C'est bien rendu.
Très bien décrit. Je les vois ces ouvriers et cette oeuvre gigantesque. Je les imagine.
Native d'un village ouvrier, j'ai toujours eu du respect pour les bâtisseurs.
Je fais les choses pour moi, mais aussi pour les autres. Témoigner permet à ceux qui n'y arrivent pas de trouver le courage de se lancer. Briser le silence n'est pas facile sauf quand il apparaît nécessaire. C'est ce qui m'a aidé à composer ce texte. Ce dernier t'apportes peut-être des réponses concernant le texte "Personne". Quant aux questions je me les pose parce que, certes, se dévoiler comme cela montre une grande confiance de l'autrice à ses lecteurs/lectrices, mais il ne faut pas toujours trop en dire sinon les ennuis débarquent. J'essaie à chaque fois de trouver un juste milieu.
Tout est affaire de temps, en toute chose le temps nous gouverne dans son royaume totalitaire… Bernard Fontenelle écrivait : “Ne prenez pas la vie au sérieux ; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant.”.
Un texte touchant ou chaque mot soigneusement sélectionné est empli d’une grande émotion face au drame qui se déroule. Pour toutes les questions j’ai envie de dire que l’on doit faire les choses pour soi et lorsque l’on souffre les choses qui nous permettent de mieux aller, et de pouvoir aussi se reconstruire dans un second temps, phase qui nécessite bien plus de temps, ce qui est bien normal. Se recentrer sur soi pour être à sa propre écoute est souvent salutaire dans les moments les plus pénibles. Bon courage Lucie.
Je vois le courage plus que la fuite. Je vois la force plus que la fragilité. Je vois le sourire à travers les larmes. Je vois la sincérité face à la bêtise des autres. Je vois la résilience et la renaissance.
Je me reconnais beaucoup dans ton texte. J'espère pouvoir raconter cette nuit d'été aussi bien un jour.
Juste merci, ce texte est la meilleure des thérapies.
Ode à la liberté et à l’amour pour un doux poèmes sur l’émancipation. Ma seule remarque que j’espère constructive se porte sur "Peau de fusain, regard de coton » qui sont très doux et plutôt positifs, coincés entre « nuit destructrice » et « des souvenirs, contre toi » qui évoquent un état tout autre. L’ensemble m’a paru ambivalent. A plus tard loscrivo.