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Somnolence des mots
Publié le 10/05/2025
Bon courage dans la phase administrative qui t’attends désormais, à plus tard Francis Etienne.
Aujourd’hui, j’ai tué un gecko
Publié le 10/05/2025
J’aime énormément ta conclusion qui synthétise des passages de nos vies, des humeurs et des sentiments de l’instant dans ce qui se succèdent, bon ou mal gré, à travers nos phobies ou nos doutes comme dans ton texte. Merci du partage Sam. Pour en revenir à ta conclusion la formule « les repères géographiques qui se bousculaient » que j’ai beaucoup aimé, cela m’a mis en tête la tectonique des plaques et la dérive des continents, immensités mouvantes et nous, infiniment petits et parfois seuls, c’est vertigineux.
Joe, Maurice et la tempête du siècle.
Publié le 10/05/2025
C’est sur un texte comme le tien que l’on mesure les différences géographiques et culturelles qui séparent parfois l’éducation et les souvenirs d’antan à travers les différents pays du monde. C’est tout le bonheur de réunir et lire des auteurs du monde entier. Aller à l’école peut s’avérer être tout un périple selon les coins du globe et surtout les saisons. En France, peu de souvenirs de ce genre à déplorer, c’est encore plus ordinaire qu’ordinaire. Ce qui est chouette dans ton texte, c’est toute la solidarité humaine et même animale qui se met en oeuvre pour ramener chaque enfant dans son foyer. Merci Daniel pour ce très beau texte.
Fausse flanelle
Publié le 10/05/2025
Le titre de ton poème suggère un semblant d’apparence et "devant la cour figée" à un jugement populaire. Et partout où il y a tribunal, en son sein se joue des drames et de terribles sentiments de douleur et de brûlures comme il est si bien écrit. Il y a le papier de soie où se joue l’idéal et le torchon où se finit toutes les désillusions. Derrière la légèreté poétique, le poids des âmes coupables. Merci Francis Etienne.
Somnolence des mots
Publié le 09/05/2025
Cher Léo, tes mots comme des feuilles d'arbre m'ont tellement réjoui. Tu sais lire et transcrire les plus subtiles nuances. Oui la poésie utilise aussi la laideur et c'est un registre unique comme celui d'un clavier d'orgue. La laideur en poésie demande de l'élégance dans le phrasé, de la lumière dans l'obscurité, du parfum sous la l'odeur d'ail, elle demande aussi de la platitude. Ce poème est un bon exemple de ça. On y trouve des choses simples "un drap de misère ", de la lassitude "fatigué comme un épouvantail "mais surtout de la laideur "où s'ébroue un ivrogne". On recherche de la nuance, du touché, de la caresse. C'est un peu ma spécialité. Beaucoup de mes textes traduisent cette relation avec le fugace, la mort et l'envie, et je dois avouer que le rapprochement avec Jerôme Bosh m'a flatté et m'a aussi ouvert la grille d'une lecture autre. Merci en tout cas pour être aussi sincère. J'aurais aimé poursuivre notre conversation mais comme tu le sais peut-être, j'ai vendu mon appartement il y a deux jours et maintenant les choses sérieuses commencent avec son lot de documents à fournir, a photocopier ou à scanner. J'ai déjà repli un formulaire envoyé par le notaire, formulaire de 6 pages....je suis donc à mon bureau ! Merci Léo encore une fois merci grandement. Cordialement, Francis Etienne. Sous son jupon de sel la vague balbutie Des mots au goût de pluie en pleine acrobatie.
L'orage et la marguerite
Publié le 09/05/2025
Merci beaucoup pour votre commentaire. Ce texte s’accorde effectivement à votre belle sensibilité. A plus tard.
L'orage et la marguerite
Publié le 09/05/2025
Merci pour ce beau conte qui touche au profond de notre être. Voilà une source d'inspiration, un élan vers la lumière qui s'adresse à chacun et conduit à méditer sur l'essentiel . Merci
L'envolée
Publié le 09/05/2025
Bonjour et bienvenue Clara. Et grand bravo pour votre participation plus que réussie. Votre description de la métamorphose est précise et les ressentis physiques nous aident de façon empathique à prendre place dans le récit et à être plus proche de votre personnage au quotidien banal mais dont ce qui lui arrive, lui ne l’est pas et capte toute notre attention. En très peu de lignes vous parvenez également à immédiatement vous projeter sur les conséquences pratico-pratiques de cette métamorphose comme l’appartement devenu exiguë. Et enfin, la conclusion de votre récit finit de nous emmener entre deux mondes, celui du réel et du fantastique, de bien belle manière. Grand bravo et merci.
Marbres et bronzes
Publié le 08/05/2025
Cher Léo merci beaucoup pour ce commentaire autour du château de Versailles et de mon poème. Tu me connais le 17e siècle c’est l’univers que je connais un peu et que j'admire beaucoup. En tournant autour de Louis XIV on peut s'étonner qu'il y ait eu pendant ce siècle les plus grands en tout les Mansard les Le Nôtre les la Fontaine les Bossuet les Lully et on peut aussi en rendre grâce à Dieu. Donc lorsqu'on traverse le château de Versailles on reste très étonné par la magnitude de la beauté. Hélas aujourd'hui en effet on peut plus le faire qu’avec une horde de touristes caché derrière leur smart phone (pas si smart que ça leur phone). Mais s'il en a de la chance traverser Versailles on a non seulement une entrée direct dans la grandeur mais aussi dans l'apprentissage de ce que l'on voit. Versailles comme Venise m’ont toujours fasciné parce qu’elles sont de magnifiques exemples de l’art au service de la puissance et de l'intelligence. Ce qu'autrefois on a appelé la cour par opposition à la ville est une preuve de la réalité de cette puissance. Je ne peux pas imaginer qu’habiter le palais Foscari ou la Villa Médicis puisse ne pas influencer la vie et la destinée de ceux qui habitent ces palaces. Depuis la Révolution française il est de bon ton de ne pas le croire. Ainsi nous en arrivons à l'absurdité suivante : nous considérons que l'ancien régime est un ogre qui dévore l'humanité dans des assiettes en or. Apprenons d'abord à regarder Versailles et nous verrons alors briller la flamme de la splendeur. Merci Léo pour ce magnifique commentaire dont la richesse comme d'habitude vient pétiller au-dessus de moi. Merci Léo et à plus tard et à tout de suite. Cordialement, Francis Etienne. L'odeur de vétiver plonge la boiserie Dans un état d'extase et de grivoiserie
Le Grand Voyage
Publié le 08/05/2025
Merci d’avoir pris le temps de la réponse, quand je parle d’histoire j’avais en tête les sectes qui ont conduit à des suicides collectifs on a le drame de Jonestown avec 900 morts dont 300 enfants et bébés ; Waco au Texas 79 morts ; Heavens Gate (littéralement les portes du ciel justement) qui a fait 39 morts : leurs âmes libérées devaient s’élever vers un vaisseau spatial voyageant dans le sillage de la comète Hale-Bopp , qui passait à ce moment-là devant la Terre, et qui les emmènerait vers leur nouvelle demeure dans l’espace… mon cerveau coince sur ces faits dramatiques dans lesquels des personnes vulnérables ont péries en pensant trouver la quiétude. Merci pour le lien vers la grande librairie que je vais écouter.
Le Grand Voyage
Publié le 08/05/2025
Merci pour votre lecture sensible que traduit ce commentaire éclairé ... et méfiant. Signe des temps où la peur s'étend ... dès qu'on s'adresse à l'être, le je perd ses repères et se cabre ! Il a besoin d'avoir pour y voir "clair" : avoir la référence à l'habituel, nommé "réalité" : apprise, pratiquée, contrôlée, (du moins nous le font croire nos conditionnements éducatifs et sociaux ). Votre réserve et votre inquiétude, bien compréhensibles, peuvent peut-être se dissiper en approfondissant le sujet c'est à dire en tentant un lâcher-prise intellectuel. Ceci demeure pratiquement impossible à la lecture d'un texte car l'activité mentale s'y mobilise à plein. Cependant, même dans cet exercice, (et c'est bien là la magie de l'écriture qui nous fascine et parfois nous transporte et nous comble), un lien à l'être parvient à s'établir, créant un trouble qui "fait du bien" car nous sommes touchés précisément dans la dimension de nous-mêmes qui cherche à s'épanouir et qui nous pousse, entre-autre ... à lire. L'expérience intérieure proposée par "le grand voyage"n'a rien de fou ou d'illuminé, mais il est certain que l'homme "moderne" s'en trouve fort éloigné et que cela peut faire peur ou induire le malaise. Les écrits, (puisque vous faites référence à l'Histoire) concernant les peuples premiers témoignent d'un lien de conscience naturel, organique, constitutif de l'espèce avec le réel. Cette humanité n'a aucun mal à se sentir faire partie du tout et communique sans peine avec ce qui est, qu'elle habite et qui l'habite. Ce lien s'est distendu, puis rompu à partir du mésolithique en raison d'une progressive sédentarisation entraînant l'effervescence et la prévalence des fonctions mentales dites "supérieures", indispensables à l'artificialisation de l'environnement, (agriculture, élevage, urbanisme etc.). Cette démarche aboutit à la situation actuelle où, traversant ces effarantes "réalités" artificielles et nocives que nous créons, nous sentons bien avoir perdu quelque chose de fondamental : le lien au réel. Les "énoncés du changement" et le site qui leur est consacré auquel il est fait référence sur "Bluesky", (où nous nous suivons mutuellement), tentent de sensibiliser à cette problématique où l'humain s'égare et se noie, pour contribuer, si c'est encore possible, à susciter un désir et des pistes de changement afin de retrouver ce lien Quant à "changement" il s'efforce de s'appliquer à lui-même cette démarche. (Vous êtes évidemment bienvenu sur le site, (non commercial !), des "énoncés du changement" où vos contributions seraient très appréciées. Plusieurs articles et rubriques peuvent certainement vous intéresser ...) Encore merci pour votre lecture et votre accueil sur "Le peuple des mots". Très cordialement. P.S. : Voici le lien de l'émission "La grande librairie" d'hier, où il était précisément question de tout cela, comme par hasard ... : https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/saison-17/7119143-emission-du-mercredi-7-mai-2025.html
Somnolence des mots
Publié le 08/05/2025
Le vieillard habillé du temps qui passe de façon inéluctable progresse dans le froid et le voile de l’incertitude imposée par le silence. Tout semble laid dans cette lutte vouée à l’échec, où seule la nuit aura le dernier mot. Ton poème est sacrément puissant comme peuvent l’être les tableaux de Jérôme Bosch. A plus tard Francis Etienne
Marbres et bronzes
Publié le 08/05/2025
Il y a un bel univers qui se déclenche à la nuit tombée et sur le théâtre de lieux époustouflants comme peut l’être Versailles. On aime à penser que les lieux baignés d’arts et d’histoire comme peuvent l’être les musées également, puissent avoir une double vie à la nuit tombée, dans laquelle chahutent les plus grandes idées et destinées, les plus grandes influences, et la représentation de ce que l’on peut y trouver de plus beau. Merci Francis Etienne de ce nouveau partage.
Le Grand Voyage
Publié le 08/05/2025
Tout d’abord bienvenue, et grand merci pour votre participation très inspirante à cet atelier d’écriture. D’emblée j’ai pensé à une secte rassemblée pour un grand voyage dont il n’y aurait aucun retour possible. Dans cette idéologie du bien-être absolue dont rêve tant de personnes bafouées et malmenées par la vie, se soustraire à sa condition humaine (telle que tristement narrée dans votre texte concernant la petite planète bleue), est vraiment tentante. Et de la même façon que pour les dérives sectaires, c’est tout le travail de persuasion que le « je » est bien inutile et éloigne de l’harmonie commune (et que probablement ce « je » est à l’origine de tous les fléaux terrestres) qui fait son oeuvre. Se dépouiller de tout pour n’être plus qu’âme allégée du fardeau qu’est l'humain, jusqu’à devenir âme commune éclairée et consciente, gage d’un nouvel équilibre harmonieux. Ce texte fait du bien à lire et à la fois m'inquiète : comment peux-t-on critiquer la perfection ? Sachant que cette perfection est le renoncement au "je » (est-ce pour cette raison que vous vous êtes inscrit sous le pseudonyme changement plutôt qu’un nom ou prénom plus attendu ?) et à ses idées propres qui nuisent au commun. Cependant combien de fous et d’illuminés dans l’Histoire de l’humanité se sont servis des souffrances et des mal-être des autres pour leur vendre des promesses qui les conduiraient à leur perte ? Tous avaient en commun cette idée qu’il fallait renoncer au « je » pour épouser quelque chose de plus grand et d’utile. Merci pour ce texte qui invite à la réflexion et à l’éveil, et pour ma part à la réserve.
exemple de description : Marc
Publié le 08/05/2025
Merci Léo ! C'est lorsque je suis un peu méchant que mes descriptions me convainquent le plus. ;-)
exemple de description : Marc
Publié le 08/05/2025
Un passage très bien écrit qui va sans nul doute aller renforcer la version longue. Très bien écrit car très bien décrit pour nous immergé dans la scène avec les protagonistes, on en a plein les oreilles, on s’agace également de l’absence de dialogue possible pour avoir la réponse que l’on attends et lorsque tout est possible, l’inquiétude puis la tristesse de l’issue de l’investigation. Bravo Patrice.
Monsieur Sera
Publié le 08/05/2025
Bonjour et merci Lucie pour cette intense participation. J’ai cru dans un premier temps qu’il s’agissait de la liste des patients avant de comprendre que les mots étaient au coeur de l’intrigue et du mystère qui s’y dégage sous forme de jeu de piste qui n’en est pas tout à fait un. Le patient questionne sur la capacité d’écoute et de compréhension de celles et ceux qui s’estiment le mieux placé pour comprendre et guérir (psychiatrie). Ecoute-t-on vraiment les histoires, les souffrances ? Percevons nous chaque mot, chaque sens et surtout chaque singularité dans leur usage selon les personnes qui le prodigues, car un mot vit très différemment d’un humain à l’autre. Ton texte donne à voir l’indicible et le caché en les projetant à l’oeil nu quitte à les faire se déverser sur les murs et tout supports qui nous entourent, de l’enveloppe physique à l’espace intime dans une chambre mais toutefois ouverte aux soignants. Porte après portes, cloisons après cloisons, peut-être que ces mots seront en mesure de rejoindre l’espace public un jour et dire ce qui mérite de l’être. Merci Lucie pour cette belle participation.
Méphistophélès
Publié le 08/05/2025
Le démon se nourrissant de la pureté et de l’innocence pour répandre sa malveillance y est très bien rendue. Le goût du sang et la propagation de la terreur pille tous les équilibres et tout ce qui semblait pourtant être sanctuarisé. Cela fait froid dans le dos et rappelle toute la fragilité des équilibres lorsque la folie destructrice s’en mêle. Merci du partage Francis Etienne.
Instinct et foi
Publié le 08/05/2025
Le vivant et plus encore les insectes qui viennent à disparaître de façon très inquiétantes, est illustré comme étant un bijou d’une grande préciosité, protégé par les livre et habité par la foi. Mais tous les bijoux de la nature sont exposés dans une nature sans partage et souvent brute, pour ne pas dire sauvage, animé de l’instinct de survie. C’est ce que démontre avec beaucoup de justesse ton poème, et c’est aussi parce que tout est si fragile ne tenant qu’à un fil, que tout y est précieux. Merci Francis Etienne.
Vingt-trois heures de la vie d'une femme
Publié le 06/05/2025
Cher Léo, encore merci pour ton commentaire si juste. La sensation que la grande richesse cache une pauvreté ne m'est pas étrangère. Comme tu le sais j'ai été très proche de la famille K***dont le dernier descendant a fini sa vie comme sur une scène d'opéra. Proche aussi de la belle Madame, j'ai vu la misère de ces âmes solitaires, leurs sèches douleurs, leurs mensonge de platine ou leurs regards d'aristocrates jaloux. Ma poésie en a parfois trop parlé. Je confesse qu'ils m'ont marqué au fer rouge. Par contre je ne suis pas touché dans ma fleur de chair. Grace au cœur, je continue à vivre et à séduire. Merci Léo pour ton immense soutien, ton infaillible regard et ton juvénile rire. A plus tard ou a tout de suite. Cordialement, Francis Etienne. Poussé par le soleil un caillou d'émeraude éclabousse la nuit en épousant Hérode.
Dentelle d'acrobate
Publié le 06/05/2025
Cher Léo, Comme j’aimerais te persuader du contraire ! Cette facette inconnue de toi de mon écriture, c’est l’extrême souffrance de les froisser, de les salir, de les casser. Parfois, comme dans ce commentaire, je perds la force et je les accuse, parce qu’ils me hantent et me délecte. Combien voudrais-je que tu me pardonnes ce moment de reproches ? Merci, Léo, (j’écoute la messe en si diffusée sur France Musique) Bonne nuit. Cordialement Francis Etienne
A rebours
Publié le 06/05/2025
Oui, puisque Des Esseintes est un esthète, et je dirai même un curieux esthète...
Dentelle d'acrobate
Publié le 05/05/2025
Je découvre une nouvelle facette de ton rapport à l’écriture, je ne pensais pas qu’ils n’avaient plus grâce à tes yeux, heureusement ils en trouvent à nos yeux.
A rebours
Publié le 05/05/2025
Merci pour trait d’esprit qui m’a fait sourire.
A rebours
Publié le 05/05/2025
Tu as raison, référent résonne différemment selon chacune et chacun d’entre nous. Et ce qui l’est pour les uns ne l’est pas forcément pour les autres.
A rebours
Publié le 05/05/2025
Merci Lucie pour ton retour très intéressant. Je ne l’avais pas souligné dans ma chronique mais c’est vrai que l’art tient une part primordiale dans le livre.
A rebours
Publié le 05/05/2025
J'ai étudié ce livre qui, d'un point de vue littéraire, est effectivement très intéressant. Quant à l'histoire elle peut ennuyer le lecteur car il ne se passe pas grand chose de trépidant. En revanche elle pose beaucoup de questions sur le rapport entre l'être social et l'être marginalisé, sur le rapport du personnage à l'art, qui amènent une réflexion riche. Cette richesse est relevée par ce côté "à rebours" de Des Esseintes qui est à contre sens de la vie autour de lui, ce qui conduit à la question suivante : Est-ce pertinent d'être à rebours ? L'œuvre donne matière à réfléchir mais je peux comprendre que le lecteur se lasse, et soit dérangé par la pensée du XIXe siècle bien qu'elle soit utile pour nous rappeler comment nous avons évolué, notamment au sujet des femmes (et de passer d'une mentalité à une autre à de quoi muscler le cerveau, et j'adore cela pour ma part).