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Verre brisé
Publié le 16/02/2022
Tu as le don de percuter en tout - ou presque tout ;)
Verre brisé
Publié le 16/02/2022
J'aime "l'amante religieuse" :)
C'est pas la peine d'être gentil parce que c'est pas la gentillesse qui rend aimable.
Publié le 16/02/2022
Opération d'écriture réussie : que c'est dur à lire ! Aimer sans retour et souffrir de la disparition de cet amour.
Verre brisé
Publié le 16/02/2022
Oui un exercice - séduction fatale - qui m'envoie bien loin de mon ciel. Mais c'est clair : je préfère le bris de miroir au pic à glace :)
LA RUPTURE
Publié le 16/02/2022
Dans une relation, une amitié, un amour, chacun connait ses efforts, ses renoncements, mais personne ne sait à quel point l'autre sort de ses habitudes. Le sentiment d'une relation à sens unique, d'une injustice peut faire craquer les carapaces. Celui qui paraissait le plus faible a eu le courage de partir, celui qui semblait le plus fort s'est laissé pleurer. Douleur pour une meilleure renaissance, chacun de son côté. Très bien écrit, Vickie.
Verre brisé
Publié le 16/02/2022
Oui, dsl pour la ponctuation, tu as pu voir dans tous mes textes, je joue beaucoup avec elle ! Je regrette si cela m'éloigne un peu de vous, je vais travailler là-dessus :)
Verre brisé
Publié le 16/02/2022
Les flashs de la boule qui tourne. Je vois, je vois plus. Je vois rouge, je vois bleu... Les flashs du verre en trop. Comme des bribes de souvenirs. Tentative de maintenir coûte que coûte la distance, pas d'attachement. T'es là, t'es plus là. Boum. Merveilleux respect de la chute. J'ai aimé le double point de vue, celui de la fille, puis celui du gars. Bravo Allegoria.
LA RUPTURE
Publié le 16/02/2022
La pression sociale contraint tout le monde, d'une manière ou d'une autre. Pour s'en départir le plus possible il faut consentir des efforts, incommensurables pour la plupart. Et pour les quelques uns qui résistent, le chemin est rude. Mais c'est le prix d'une certaine liberté. C'est ce que votre texte démontre. Merci.
C'est pas la peine d'être gentil parce que c'est pas la gentillesse qui rend aimable.
Publié le 16/02/2022
On va se fâcher là : on acquiert pas un chat ! Mais bon, sinon je comprends : l'un ne peut jamais remplacer l'autre et ça fait mal. C'est plus que bien ! - que les mots marquent leurs empreintes sur ces choses qui font nos vies. Merci fils de Louis - est-ce que je peux t'appeler autrement - parce ce que pour le coup c'est pas simple :)
L'été indien le 8 octobre 2017 à Saint Ouen (Défi : Les paroles)
Publié le 16/02/2022
Merci pour ce commentaire et aussi pour l'enrichissement de mon vocabulaire par ce joli mot "dichotomie" déjà entendu mais jamais précisément compris jusqu'à aujourd'hui ! ;-)
LA RUPTURE
Publié le 16/02/2022
Tu viens de pointer le doigt sur un homme avec un homme. Et il est chouette de le chanter fort :)
L'été indien le 8 octobre 2017 à Saint Ouen (Défi : Les paroles)
Publié le 16/02/2022
J'aime cette pagination, ces 2 colonnes, un face à face lourd de sens.. Merci :)
Sur les rebords du monde (Extrait 2)
Publié le 16/02/2022
Puissance délicate et sensible. Je pense bizarrement à Shakespeare : "Tout esclave a en main / Le pouvoir de briser sa servitude."
LA RUPTURE
Publié le 16/02/2022
Y'a que ça ! Ce texte est une sorte de fable très moderne qui le rappelle. Jolie fable ! Merci ! ;-)
L'été indien le 8 octobre 2017 à Saint Ouen (Défi : Les paroles)
Publié le 16/02/2022
En réalité je n'ai pas écrit un seul mot. J'ai juste croisé les paroles de "l'été indien" avec des extraits d'un procès de viol que j'ai sélectionnés. Merci pour ton commentaire. J'avais un doute sur l'efficacité du contraste. Je n'en ai plus. Merci ! ;-)
Verre brisé
Publié le 16/02/2022
Bravo Allegoria, la chute est inattendue et la citation de Mark Twain finit de tout exploser. J’ai trouvé l’amorce avec la “rage room” et la sortie entre collègues très porteuse et originale. On comprends d’autant avec la fin que cette rage est souvent bien enfouie. Et puis toujours ce style incisif et efficace qui révèle des personnages aux failles bien réelles. Merci, c’est super.
L'été indien le 8 octobre 2017 à Saint Ouen (Défi : Les paroles)
Publié le 16/02/2022
Bravo pour cette participation qui déménage. Cette opposition entre romance et violence est très habile car elles montrent bien le docteur et Jeckill et mister Hyde qui cohabitent chez les auteurs de violences conjugales. Vos mots sont durs mais ils sont nécessaires pour bien appréhender la rage qui sévit comme jamais. De plus d’hommes en plus d’hommes se mobilisent (le mois prochains sera d’ailleurs consacré à la thématique du droit des femmes), et c’est essentiel. À plus tard.
L'été indien le 8 octobre 2017 à Saint Ouen (Défi : Les paroles)
Publié le 16/02/2022
Voici une belle opposition entre les paroles de Joe Dassin dédiées à l'amour avec un grand A, et ce croisé violent, âpre. L'opposition fonctionne très bien et le contraste en ressort d'autant plus. Bravo!
Victime de la mode
Publié le 15/02/2022
J'adore entrer dans le monde des femmes, habituellement interdit, mystérieux. Ici, dans ton texte, A.E.Myriam, on y est jusqu'au cou si j'ose dire. C'est ce que j'ai aimé. Même en Chantilly, Alexandra est on ne peut plus femme. « Quoi, ne dis pas que je te choque, quand même ? » c'est du suprême de femme. Un délice ! ;-)
Verre brisé
Publié le 15/02/2022
La menthe religieuse ici transformée en l'amante religieuse. Je ne m'attendais pas du tout à cette fin tu m'as surprise mais j'adore. Cette jeune fille timide, effacée que l'on n'imagine pas une seconde capable d'un tel geste! Joli rythme joli travail Bravo ally!
Verre brisé
Publié le 15/02/2022
Eh bien, ma chère Allegoria, quel texte troublant, avec ce rythme qui est le tien, cette patte qui s'accapare des mots, leur tord souvent le cou. Il y a beaucoup de choses dans ce texte, les deux versants d'abord, la sensualité, le désir, l'amour, la folie et la mort. Des bris de miroir à la place du pic à glace :). Le basic instinct de notre Allegoria.
Verre brisé
Publié le 14/02/2022
J'ai été tout de suite happé par le récit, puis, j'ai souri lorsque tu parviens à déjouer ce que j'ai voulu aussi éviter mais différemment. Je m'étais mis à la place du "séduit" pour ne pas être détestable. Ici, la séductrice parvient à être avec nous parce qu'elle se trouve piégée comme on l'est tous. Alors, j'ai adoré la photo d'entreprise ! Tout va très très vite. Le rythme est soutenu mais il m'a paru toujours parfaitement adapté. La ponctuation, souvent singulière ou absente, m'a parfois un peu gêné durant le slalom. j'ai occasionnellement aussi un peu galéré pour saisir le sens de certaines phrases. Mais cette confusion est sans doute recherchée et participe à l'ambiance de chaos général très à propos ici. Bizarrement la finale ne m'a pas éloigné de "la fille timide". C'est peut-être même le contraire qui s'est produit. Défi super bien relevé selon moi. Bravo !
PERSONN-AGE
Publié le 14/02/2022
Problème de connexion - véridique ! - rétablie. Raiponce. Version courte. Ni escalier ni porte. Seule une fenêtre, ou un bonhomme pour un ciel ouvert. Kyrielle de sourires à tous vos imaginaires en plein de dedans. Pas fini de vous embêter ! Merci ;)
PERSONN-AGE
Publié le 14/02/2022
Ou tout simplement ce qui nous interpelle et fait le fondement de ce texte est cette part de nous que l'on y retrouve dans nos égarements.
la métamorphose
Publié le 13/02/2022
Merci pour cette très belle critique
Un Noël pas comme les autres
Publié le 13/02/2022
entre la tristesse et la joie. Noël. J'ai été touché par ce texte et les évocations des détails que chacun ressent. Souvenirs de mes proches maintenant loin me sont revenus. Beaucoup de bienveillance dans ton texte, Allegoria, celle précisément dont je regrette de ne pas avoir fait preuve. Mais c'est irrattrapable. J'aurais du lire ton texte plus tôt mais je ne l'aurais pas compris.
la métamorphose
Publié le 13/02/2022
Oui, j'ai vraiment aimé ! Au début, je me suis dit "encore un bidule fantastique..." mais très vite l'extravagance est étayée : le jumeau. C'est léger mais c'est suffisant parce qu'on a envie d'être convaincu. On veut y croire. Et puis, il y a eu des détails drôles, excitants, réjouissants, comme la lettre où en effet, comme l'ont relevés les autres lecteurs, le frère semble être le bon génie qui va aider Katia. Fini les médocs et la déprime ! Youpie ! Merci la vie ! On se demande quand même où tu vas aller. Le savais-tu toit-même dès le début ? Peu importe, on te suit. Parfois tu cours alors on peine un peu. Oui, Dans l'avion et à l'arrivée à Las Vegas j'aurais aimé que tu prennes le temps de préciser le climat et d'approfondir la relation entre les jumeaux. Mais en même temps, comme toi, on a envie de savoir alors on ne fait quand même pas trop la gueule en sprintant sur tes talons. Tu dois être quelqu'un de généreux qui veux donner tout de suite ce que l'autre attend. Moi aussi. Mais on a tort. ;-) Puis tout va très (trop ?) vite vers le choc final qui est complètement inattendu mais qui pourrait aussi ne pas être la fin. Merci pour ce délice !!! ;-)
Sur les rebords du monde (Extrait 2)
Publié le 13/02/2022
Un texte vraiment magnifique. Une manière émouvante et intelligente de nous conter ces mains qui sont la terminaison et à l'origine de tous nos actes. La symbiose narrative des mains et des touches de piano exutoires et de très belle facture. Votre texte sensible, nous propose une réflexion quasi métaphysique. Vraiment et sincèrement bravo.
l'ombre du grenier
Publié le 13/02/2022
Merci beaucoup je suis très touchée