1304
Textes
4858
Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
La Table des Listes en Liesse
Publié le 28/10/2025
Waouh, merci pour ces mots ! Ça met la barre haute pour la suite et les prochaines listes. J’aurais peut-être dû te préparer un peu et t’avertir des majuscules et des points d’exclamation à gogo. Je crois me souvenir que ce n’est pas trop ton truc ;-)
Peur
Publié le 28/10/2025
J'aime l'accentuation comme un écho de la peur. L'idée d'un recommencement. La phonème principale s'étire au rythme de la peur et en souligner la longueur, l'emprise. On peut également relire le poème en insérant le mot peur a chaque vers ,en ajoutant parfois ''de''. La peur alors ne nous quitte plus. C'est d'une remarquable justesse notamment ''s'oublier pour un autre''.
Extrait : Texte aux phrases courtes (C'est normal, elles sont dites par un ivrogne).
Publié le 28/10/2025
;-) C'est toujours une bonne question à se poser : est-ce que ça apporte quelque chose à l’histoire ? Une histoire, n'importe laquelle, on peut la raconter en 10 lignes. Pourquoi Madame Bovary prend 150 pages ? Qu'apporte ce qui n'est pas "essentiel", ce qui "n'apporte rien à l'histoire", sinon un approfondissement des personnages, une épaisseur au récit, une familiarité entre l'auteur et le lecteur ? Mais tu as raison. Il faut se poser cette question. Toutefois, c'est seulement lors des relectures postérieures qu'on pourra voir si ce passage aura ou pas sa place dans le roman. En attendant, ici, celui-ci montre comment les circonstances arrosées d'une rencontre ont permis à un groupe de naître : "Et mes amies et moi, on n’a pas l’alcool mauvais, ça, j’le jure. On est sur la même longueur d’onde tous les cinq. Je sais pas comment j’le sais, mais j’le sais et je sais aussi qu’on est des gentils."
Le vent qui pleure
Publié le 27/10/2025
Merci Léo pour ton commentaire très positif. C'est toujours encourageant! C'est une vieille chanson écrite il y a plus de dix ans que j'ai retrouvé au fond d'un vieux dossier. Mais aujourd'hui, à la vue du temps qu'il fait, elle est de circonstance, en effet.
Peur
Publié le 27/10/2025
Court et impactant et non court mais impactant, tu as raison, le format (court) sert le fond qui est impactant.
Juste un tueur
Publié le 27/10/2025
Oui il y a cette notion de performance, de résilience quoi qu'il en coûte, de devoir quelquechose. Reconnaître sa faiblesse pour être plus humain et en accord avec soi-même. Recueillir la souffrance de l'autre.
Délicieusement sel rose de l’Himalaya
Publié le 27/10/2025
Woaawww c’est tout ce dont nous avons besoin en ce moment. Se faire du bien et ne penser à rien. Merci pour ce doux partage Evelyne.
Juste un tueur
Publié le 27/10/2025
J'essaye d'être lucide et de regarder en face la situation. Une forme d'acceptation. Je crois profondément que ce médicament sera bientôt un lointain souvenir. Il faut juste trouver le moment d'arrêter et de plonger dans l'inconnu.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Vive ce genre de textes inutiles et que l’on s’y perde à tout jamais. Disparaître dans ce bouillonnement imaginaire et s’y prélasser. Merci pour cette magnifique participation qui m’a fait retrouver l’enfant enfouit en mou qui avait oublier à quel point on peut vivre toutes les vies que l’on veut à partir du moment où l’on cesse de se prendre trop au sérieux. C’était top Allegoria.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
On aimerait tous avoir croiser tout cela dans nos vies bien mornes. La citation de Jules Renard est aux petits oignons.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Ils font la triple paires pour nous enchanter et ne jamais nous ennuyer. Un énorme bravissimo à leur créativité débordante.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Après l’apoèticaire, penser à recruter un accessoiriste (note à moi-même pour ne pas oublier de le faire).
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
La poésie, ce dont nos sociétés manquent le plus. Pas étonnant que nous assistions à une dépression généralisée. Je crois qu’il est temps d’inventer une profession pleine de bon sens : l’ Apoèticaire ou comment prescrire de la poésie matin, midi et soir, ordonnance il va de soi, tacitement reconductible.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Tes listes m’enlèvent et m’emmènent dans bien des univers parallèles. Cette gois j’ai penser au lapin d’Alice au pays des merveilles. Tes personnages sont plus que sympathiques et ont bien de la chance de se compléter et de former une belle bande d’amis.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
De tout cet imaginaire souvent sucré, je n’ai pu m’empêcher de penser à Monsieur Wonka.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Que de souvenirs, d’autant plus ancrés du fait que certains s’appuient sur des sens. Cette liste donne l’envie de s’en créer de nouveaux et de ne pas tarir dé créativité pour en faire des plus beaux encore.
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
On ne peut que valider cette liste festive qui encensent nos sens. Et à part les klaxons de voitures, tout y est joie et enchantement.
Dracula
Publié le 27/10/2025
Ah je te jure, Antoine qui a fait cette comédie musicale a une mine d’or entre les mains. Il a fait les textes, la musique et est sur scène et jouant du piano. Il est aussi le celui qui raconte l'histoire quelques fois pour les changements de scènes. Une pépite
La Table des Listes en Liesse
Publié le 27/10/2025
Quelle entrée en la matière ! Ces listes en liesses me plaisent déjà, quelle créativité. Je ne m’ennuierais définitivement jamais à te lire.
Dracula
Publié le 27/10/2025
Quel bel hommage tu leur rend. Et ce faisant de souligner si bien comme tu leur fait, tout le travail nécessaire à nos alis artistes pour sublimer ce su’ils proposent et en faire des souvenirs inoubliables. Merci Mich.
Le vent qui pleure
Publié le 27/10/2025
En plein automne je vais garder en tête ta douce mélodie pour faire de la pluie de saison une musicalité digne de ta création. Avec le spleen de circonstances qui va bien et ta belle poésie qui confère au vent une mélancolique destinée, c’est un magnifique moment de lecture et d’écoute que je viens de passer. Merci Perthro.
Juste un tueur
Publié le 27/10/2025
Le commentaire de Lucie est important et j’ajoute à cela le « juste » qui minimise toute chose car il faut être fort à tout prix, dans une société qui s’endurcit de jour en jours…
Extrait : Texte aux phrases courtes (C'est normal, elles sont dites par un ivrogne).
Publié le 27/10/2025
Bonjour Patrice. A lire dans son contexte : est-ce que ça apporte quelque chose à l’histoire ? Si ça n’apporte rien c’est inutile sauf faire du remplissage.
Juste un tueur
Publié le 27/10/2025
Le "secret mal gardé" m'évoque les non-dits qui sont destructeurs pour les liens humains, ils entraînent avec eux leur disparition. Si on se parle on peut découvrir beaucoup de choses, briser les jugements préconçus, les tabous. Si on ne le fait pas on reste seul avec ses peurs, ses lourds secrets et on s'enfonce inexorablement dans la souffrance. On casse l'amour dont on a tant rêvé, comme ton texte le dit bien. C'est dur de parler mais il ne faut pas perdre espoir et s'en donner les moyens. Un jour tout ce travail paiera.
Peur
Publié le 27/10/2025
Cela m'intéresse : en quoi l'usage du "mais" te semble inapproprié ?
Les fiancés
Publié le 27/10/2025
Je suis ravie que le clin d’œil à Camus vous ait parlé. Pour ce qui est des phrases qui commencent par “Avec”, merci d’avoir remarqué ce petit twist ! Ça fait plaisir de savoir que mes choix résonnent. Merci encore pour vos retours motivants. Au plaisir de vous lire :))
Le lutin du lac de vassiviére,
Publié le 26/10/2025
C'est marrant, ce texte qui sort maintenant, au moment où Léo et moi avons une explication autour de F. Cavanna qui ne partage pas du tout ton point de vue, Valérie. J'en profite donc pour rediffuser ici ses arguments si bien dits. "Lecteur, avant tout, je te dois un aveu. Le titre de ce livre est un attrape-couillon. Cette “lettre ouverte” ne s’adresse pas aux culs-bénits. […] Les culs-bénits sont imperméables, inoxydables, inexpugnables, murés une fois pour toutes dans ce qu’il est convenu d’appeler leur “foi”. Arguments ou sarcasmes, rien ne les atteint, ils ont rencontré Dieu, il l’ont touché du doigt. Amen. Jetons-les aux lions, ils aiment ça. Ce n’est donc pas à eux, brebis bêlantes ou sombres fanatiques, que je m’adresse ici, mais bien à vous, mes chers mécréants, si dénigrés, si méprisés en cette merdeuse fin de siècle où le groin de l’imbécillité triomphante envahit tout, où la curaille universelle, quelle que soit sa couleur, quels que soient les salamalecs de son rituel, revient en force partout dans le monde. […] Ô vous, les mécréants, les athées, les impies, les libres penseurs, vous les sceptiques sereins qu’écœure l’épaisse ragougnasse de toutes les prêtrailles, vous qui n’avez besoin ni de petit Jésus, ni de père Noël, ni d’Allah au blanc turban, ni de Yahvé au noir sourcil, ni de dalaï-lama si touchant dans son torchon jaune, ni de grotte de Lourdes, ni de messe en rock, vous qui ricanez de l’astrologie crapuleuse comme des sectes “fraternellement” esclavagistes, vous qui savez que le progrès peut exister, qu’il est dans l’usage de notre raison et nulle part ailleurs, vous, mes frères en incroyance fertile, ne soyez pas aussi discrets, aussi timides, aussi résignés! Ne soyez pas là, bras ballants, navrés mais sans ressort, à contempler la hideuse résurrection des monstres du vieux marécage qu’on avait bien cru en train de crever de leur belle mort. Vous qui savez que la question de l’existence d’un dieu et celle de notre raison d’être ici-bas ne sont que les reflets de notre peur de mourir, du refus de notre insignifiance, et ne peuvent susciter que des réponses illusoires, tour à tour consolatrices et terrifiantes, Vous qui n’admettez pas que des gourous tiarés ou enturbannés imposent leurs conceptions délirantes et, dès qu’ils le peuvent, leur intransigeance tyrannique à des foules fanatisées ou résignées, Vous qui voyez la laïcité et donc la démocratie reculer d’année en année, victimes tout autant de l’indifférence des foules que du dynamisme conquérant des culs-bénits, […] À l’heure où fleurit l’obscurantisme né de l’insuffisance ou de la timidité de l’école publique, empêtrée dans une conception trop timorée de la laïcité, Sachons au moins nous reconnaître entre nous, ne nous laissons pas submerger, écrivons, “causons dans le poste”, éduquons nos gosses, saisissons toutes les occasions de sauver de la bêtise et du conformisme ceux qui peuvent être sauvés! […] Simplement, en cette veille d’un siècle que les ressasseurs de mots d’auteur pour salons et vernissages se plaisent à prédire “mystique”, je m’adresse à vous, incroyants, et surtout à vous, enfants d’incroyants élevés à l’écart de ces mômeries et qui ne soupçonnez pas ce que peuvent être le frisson religieux, la tentation de la réponse automatique à tout, le délicieux abandon du doute inconfortable pour la certitude assénée, et, par-dessus tout, le rassurant conformisme. Dieu est à la mode. Raison de plus pour le laisser aux abrutis qui la suivent. […] Un climat d’intolérance, de fanatisme, de dictature théocratique s’installe et fait tache d’huile. L’intégrisme musulman a donné le “la”, mais d’autres extrémismes religieux piaffent et brûlent de suivre son exemple. Demain, catholiques, orthodoxes et autres variétés chrétiennes instaureront la terreur pieuse partout où ils dominent. Les Juifs en feront autant en Israël. Il suffit pour cela que des groupes ultra-nationalistes, et donc s’appuyant sur les ultra-croyants, accèdent au pouvoir. Ce qui n’est nullement improbable, étant donné l’état de déliquescence accélérée des démocraties. Le vingt et unième siècle sera un siècle de persécutions et de bûchers. […]" Bise, Valérie. ;-)
Le lutin du lac de vassiviére,
Publié le 26/10/2025
Il a écrit, je crois : "Douter, c'est commencer à penser". Merci pour les retours. Oui, croire en des êtres humains.