Merci Léo encore une fois pour ce commentaire et pour ta louange de mon efficacité ! La poésie en effet ne laisse aucune place au superflu. Quand je parle de poésie bien entendu je veux parler du sonnet. Le choix de chaque mot, de chaque image, de chaque son, est pesé, car le sonnet ne supporte pas le moindre vide, ni d'ailleurs les fluctuations de l'attention que l'on porte au texte, en lisant. Il n'y a aucun passage qui soit du remplissage, comme cela peut l'être dans le roman. Chaque mot pèse mais aussi chaque mot brille. La difficulté de la composition reste bien d'orienter l'outil d'écriture vers un monde particulier, ici c'est le désespoir l'inquiétude, ailleurs ce sera la beauté, le souvenir, l'instant, ou tout autre perception de la réalité visible et invisible. L'expression n'est pas le but de l'écriture, car ce qui compte c'est le moyen d'expression au travers duquel va s'exprimer un sentiment fort, comprimé, presque condensé, qui va ce décompresser dans l'esprit du lecteur. Je pense que c'est cela qui constitue le poids d'un texte. Merci encore Léo pour ton commentaire et à plus tard. Une plume qui tisse à l'encre d'un sourire des mots remplis de temps touche au poison d'écrire.
Merci Lucie pour votre magnifique commentaire philosophique et l'appréciation bien entendu de ce poème. La mort est présente dans la vie et lorsqu'elle paraît inévitable son image se définit. Dans ces quelques lignes vous avez mis en valeur le lien qui peut exister entre naufrage et la mort, lien qui est sous-jacent bien entendu à la composition de ce texte. Votre exemple du Comte de Monte-Cristo est un magnifique exemple de la renaissance à travers la cérémonie de la mort, car il s'agit bien d'une cérémonie, qu'elle soit au cœur même d'une église, au à bord d'un vaisseau, ou comme vous le citez au château d'IF. La poésie est parfaitement destinée à l'expression de la mort, parce qu'elle utilise les mots sous lesquels nous glissons tous notre perception de la vie est bien sûr de la mort. Merci beaucoup encore Lucie pour votre excellent commentaire et j'espère à très bientôt. Cordialement, Francis Étienne.
J’ai lu ton poème comme on lirait un vieux grimoire plein de formules magiques pour réenchanter la vie. Un chaudron poétique qui mijote et bouillonne à feu doux, et c’est toute la magie qui opère… merci Francis-Etienne.
Comme Francis-Etienne, j’ai énormément apprécié la musicalité (et ta sublime interprétation) sur un texte à double sens , habilement construit et admirablement bien écrit. La surprise et l’enchantement sont au rendez-vous, à écouter et réécouter. Merci Perthro.
Tout semble être de mauvais présage, et c’est ce qui m’interpelle et me plait dans ton poème, où tout semble ne tenir qu’à un fil ténu avant que tout ne bascule, sur le dernier vers mortifère. Du début à la fin tu réussis à créer une ambiance inquiétante. Efficace !
Avant toute chose, parce que je suis un vieux con attaché à la rigueur et à la clarté, je dirai que le texte démarre sur une grosse faute. "Les mots tuent. Mais ça ils ne le savaient pas..." Le pronom personnel ne peut qu'être mis pour le nom le précédant, surtout s'il est du même genre. Bien sûr on comprend que tu parles des auteurs de ces mots. Mais cette anomalie m'a contrarié et contrarie, je crois, tout lecteur. Je comprends que tu souhaites jamais ne les nommer de près ou de loin, les malfaisants qui assassinent à travers leurs remarques. Ton "ils" correspond bien à ces personnages diffus qui sont tous et personne. Mais c'est aussi l'intérêt d'écrire, je trouve, devant un dilemne comme celui-ci, comment tourner les mots sans jamais remettre en question ni la clarté ni l"honnêteté du texte ?
"(...) son ventre se tordait de douleurs qui venaient enflammer sa poitrine, percer son coeur, puis remonter dans ses joues avant de sortir dans les larmes qui coulaient sur elles." J'ai ressenti ici toute l'intensité du mal-être des victimes pour qui tu as une vraie empathie.
Bref, tu es touchée par ce dont tu parles et tu pourrais toucher davantage encore en retravaillant ce texte qui mérite de l'être.
;-)
Merci Lucie. Vous confirmez ce que je pense. Il faut pouvoir se projeter sur le personnage du film, du spectacle de théâtre ou de danse ou du roman pour pouvoir se faire embarquer. Merci pour votre lecture et votre petit mot aimable. ;-)
Merci beaucoup Léo. Je crois que tu comprends assez bien mon cheminement. C'est compliqué de rester sincère et intense à travers son écriture. Je serai retraité dans 14 mois. Il me faudra bien cet intervalle de temps pour me remettre d'Ambre Gris. Mais entretemps, comme je l'ai fait jadis, je rédigerai de petits textes de la vie. ;-)
Bonjour Un fils de Louis ! J'aime beaucoup ce texte qui capture un moment de vie avec la réalisation de cette envie, de la part du personnage, d'avoir son arbre préféré à ses côtés. Il assume ce qu'il est en faisant cela et c'est plaisant à voir. De plus, rendre cet arbre humain sert la proximité affective qui se noue avec le personnage, c'est très bien pensé. Enfin, en lisant ce texte je ne pouvais pas ne pas penser à mon grand-père qui adorait le saule pleureur qui est le témoignage d'une poésie dont l'autrice est la nature.
Bonjour Sam ! Cette fuite en avant dont vous faîtes part est très puissante, les tourments qui la composent sont touchants et font réfléchir sur notre rapport avec le monde qui nous entoure. Je suis ravie de vous découvrir et j'espère avoir l'occasion de vous lire à nouveau !
Ce poème donne à voir des images très fortes, il fixe la puissance de la mort dans ses lignes. Nous pensons à la mort parce qu'elle nous fait peur avec son caractère inévitable, nous parvenons difficilement à l'accepter, elle nous apparaît comme une épée de Damoclès au dessus de la tête. Son lien avec le vocabulaire maritime me rappelle que la mer était un cercueil pour les prisonniers du Château d'If, dont les cadavres, attachés à un boulet, finissaient dans les fonds abyssaux (comme Dumas nous le rapporte dans l'excellent Comte de Monte-Cristo). Ce poème est superbe techniquement car il fige une image marquante pour le lecteur.
Magnifique poème, dans lequel vous réussissez aussi bien que dans l'alexandrin à insuffler un rythme, en l'occurrence ici, celui de la vague, avec une musicalité particulièrement soignée et un humour très légèrement voilé. C'est une très belle réussite félicitations. Cordialement Francis Étienne. Une question est-ce vous qui chantez ?
Merci pour ce commentaire, cela me plaît de lire que mon texte est musical et sonore puisque je l'ai lui aussi mis en musique mais pas enregistré malheureusement... Bientôt peut-être?
Bonjour Léo et merci encore une fois pour ces jolis mots. Ils entourent mon poème d'une dentelle de pensées, et fonde dans le clair-obscur de ces quelques vers un lingot d'or. Oui les symboles sont importants, et comme les dieux dont je parlais dans un commentaire précédent, ils nous sont nécessaires pour reconnaître les réalités du monde, comme si nous avions besoin de voir des mots s'incarner dans des figures. Je suis comme beaucoup d'entre nous fasciné par les hiéroglyphes, dont on découvre petit à petit l'usage. Les hiéroglyphes représentent non seulement un dessin significatif d'une réalité, mais aussi un son, ou tout simplement une action. Cette extrême confusion brouille notre entendement et je comprends fort bien que les hiéroglyphes étaient réservés à une catégorie de lettrés, pour ne pas dire de prêtres, qui seuls avaient le privilège d'entrer en contact avec la divinité selon des rituels particuliers, secrets, pour les seuls initiés. Tout cela confirme l'idée que tout symbole rassemble plusieurs éléments dont seul les initiés peuvent déchiffrer la signification. Curieusement, de nos jours, les symboles envahissent nos vies, ce sont des pictogrammes, ce sont des lettres, ce sont parfois de simples couleurs, mais ils portent un pouvoir que nous avons accepté. Le vitrail du Moyen Âge, parfois, nous présente de merveilleux symboles, comme celui par exemple le cercle qui entoure la tête des saints par un cercle de lumière, ou bien par des clés qui peuvent représenter l'ouverture ou la fermeture d'un passage. Nous sommes pétris de symboles merci encore Léo pour cette magnifique réflexion et à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Sous les arches de pierre où s'endort le soleil Des abeilles de cendre éventent le sommeil.
Merci Léo pour ce commentaire si généreux ! Le monde dans lequel nous nous endormons, celui des rêves mais aussi celui des cauchemars nous apprend beaucoup de notre redoutable besoin de connaître la mort. Je me souviens de cette nouvelle d'Edgar Poe, qui raconte l'histoire d'un bateau aspiré par un immense courant dans les profondeurs de la mer. Est-ce une imagerie que l'on retrouve dans celle des trous noirs, que les hommes de science considèrent comme des portes de passage dans d'autres univers ? Est-ce tout simplement notre embellissement de la mort ? Est-ce encore ce besoin de voir, comme si la cécité excluait l'humanité tout entière de son destin ? Alors, les mots, toujours les mots, nous apportent ces milliards d'images dont nous avons besoin pour exprimer ces notions si profondes, dont nous sommes la plupart du temps peu conscients. Mais le poète, lui, brasse ces mots, comme les confettis d'une éternelle fête de la joie que nous ressentons devant le don inexplicable du langage. En plongeant dans la poésie, nous entrons dans le laboratoire de la parole, et comme des alchimistes, les poètes créent des bulles de mondes dans lesquels nous reconnaissons parfois des bribes de nos vies, mais qui souvent nous entrouvrent des univers insoupçonnés. Merci encore une fois Léo pour ta grande fidélité et surtout pour ta générosité à me proposer d'innombrables réflexions autour de la littérature. À plus tard Léo, cordialement, Francis Étienne. Sous un masque de pluie une ombre se faufile Entre les fils nacrés d'un verset de Virgile.
Cher Léo, merci encore pour ton commentaire. La question des dieux est très importante parce qu'elle engendre la question de l'humanité. Les dieux nous sont nécessaires car il remplissent en nous des espaces où fomente la peur. Ils nous sont nécessaires, car ils dirigent nos pensées, et ainsi font disparaître de nos vies, le vide de l'inconnu. Mais les dieux sont aussi des tyrans, que nous abattons un à un, lorsque nous découvrons, une à une les vérités du monde. Lorsque les dieux disparaissent, ils nourrissent en nous ces images d'une mythologie magnifique dont nous nourrissons nos poèmes, et souvent nos pensées . Lorsque je pense aux dieux, c'est bien sûr à ceux de la Grèce de la Rome antique ou de l'Égypte, qui pour les occidentaux que nous sommes ont peuplé notre culture. Or je pense très souvent et j'écoute souvent la tétralogie de Wagner, qui magistralement, à illustré musicalement la chute des dieux, leurs chamailleries bien sûr, leurs amours, leurs jalousies, et au fond leurs faiblesses. La mythologie quelle qu'elle soit est bien une image de nos peurs, et la poésie en est particulièrement friande, parce qu'elle est aussi l'expression de notre peur du monde. Et de fait, nous avons besoin de la mythologie, parce qu'elle nous protège du vide, dont, comme tu le dis si bien « la nature a horreur ». Merci Léo pour ton exploration autour de la mythologie des dieux à travers ce poème. C'est une profonde réflexion qui m'a beaucoup touché. Cordialement, Francis Étienne. Une flamme de vent dévore de sa haine les palais chatoyants que le désir enchaîne.
« Luce n’est pas du genre à s’emballer à la moindre de mes initiatives. Patiemment elle les subit. », j’ai trouvé admirable cette ouverture car son pragmatisme laisse envisager une remise en question à venir. Et pourtant « Puisque je n’y connais rien, j’ai demandé à la spécialiste sur place de choisir pour moi. » tu creuses en toute connaissance de cause dans l’idée jusqu’à réalisation personnelle… ou dans le cas précis, par procuration. C’est intéressant comment le jardin, qui était du simple descriptif, devient un personnage à part entière. Attention, cette transition est violente « aller m’en chercher un autre plus loin. Au cours de mes études », on passe de l’humour de situation bien ancrée au présent (et efficace), à un retour en arrière auquel on ne s’attendait pas à ce moment : la rupture est sévère.cela fait plaisir de te voir travailler de nouveau avec assiduité et avec efficacité dans la perspective d’un nouvel opus.
Woaw, ce poème est d’une efficacité redoutable. Les évocations sont lourdes (enclume, poison, tison bitume etc…) et ponctuent chaque vers, jusqu’à clouer à l’image des clous le cercueil. Techniquement et poétiquement c’est très fort.
« Dont les anges de Dieu répandent la beauté
Sur les tombes de marbre et la fosse commune.«
Entre l’éclat de lumière et le funeste on est d’emblée plongé dans la complexité des figures et symboles et la réalité terrestre, froide et pragmatique. Et la vie prend le dessus, des branches d’olivier à l’espérance qui inonde le chemin : d’un clair-obscur naît de belles perspectives.
Cher Léo, merci, merci encore pour ton commentaire, qui ouvre une nouvelle dimension de l'écriture. Oui il y a une forme d'inertie dans la lutte comme dans la réalité et donc dans la poésie aussi. L'ombre des mots est aussi redoutable que le mot lui-même. La poésie est l'art de jouer entre l'ombre et le soleil, entre le savoir et l'ignorance, entre la splendeur de la vue et la cécité, entre le plaisir et l'image de la chair. Le plus important dans la poésie c'est de ciseler les mots dans la matière du monde. Personne ne comprend ce qui se passera après la mort, mais personne ne sait ce que est la mort, si ce n'est le poète, celui qui creuse en permanence le magma en fusion, dont seuls les mots nous rapportent la réalité. « C'est une alternance de lutte et d'existence » qui nous guide à travers l'obscure vérité de nos vies. Ainsi, prenant entre les doigts le fil de nos destins, nous tissons la toile de l'humanité. Oui, le décorum envahit nos vies, les aveuglent comme des prismes définissant les sept couleurs de de l'arc-en-ciel, oui, le poète est celui qui traverse le temps, ces couches de mémoire, et son profond danger. Le poète n'écrit pas par plaisir, il écrit comme un messager, sans savoir ce que contient le message. C'est là le cœur même de la poésie. C'est ainsi en tout cas, que moi, égoïstement, je le vis. Merci Lao pour les efforts inconsidérables que tu fais pour faire progresser non seulement le site, mais l'écriture, la mienne y compris. A plus tard, Léo .Cordialement, Francis Étienne. On ne fuit 'le temps en vidant la mémoire, car on trouve souvent de l'or dans une armoire.
Un petit texte qui sort sans doute d'une idée fugace, un flash. J'aime bien les mots lancés comme ça, rapidement, sur le papier. Si tu permets, j'en fais une transposition, ton idée et mon style. J'espère que ça t'amusera : « Pourquoi je suis dévêtue derrière le maire, exposée aux regards de l'assemblée, à poil dans cette salle froide, dans cette chambre froide où, au scalpel , ils découpent des tranches d'âge, de la population, de l'état civil et même de l'amour. Mon marbre est plus chaleureux que leurs règlements et, bien qu'opaline, j'ai plus de couleurs que l'écharpe de l'élu, là, qui dodeline pour séduire, pour appâter l’électeur possible. Pourquoi suis-je derrière ce fonctionnaire péteux ? Mes seins sont bien plus droits, fiers et aimables que lui.
Mais comme d'habitude, je parle trop vite. Je n'avais pas remarqué le marié si mignon. Viens donc mon petit voyou réchauffer mes tétons. Des brutes m'ont posé sur cette cheminée sans feu. Viens s'il te plaît rallumer la flamme toujours ardente dans tout mon corps. Caresse-moi ! Glisse ta main chaude sur ma nuque et je rallumerai ce que tu as oublié, enfoui sous ton esprit, ton espoir, ta volonté et ta passion pour vivre une vraie vie d'amour, de fraternité, d'égalité et de liberté ! »
Non c’est très bien, le résumé vient de m’apporter mon chaînon manquant, la prosopopée que je ne connaissait pas. C’est donc tout bon pour moi, je l’ajouterai à la déjà très fournie liste des figures de style.
La chute des rois jusqu’au dieux ne laissant derrière eux qu’une opulence vaine qui rognent les souvenirs et le temps révolu. Mais comme la nature a horreur du vide et les territoires d’âmes à tourmenter dans un cycle dont l’histoire ne serait qu’un éternel recommencement… la vantardise en est l’une des explications. À plus tard Francis Etienne.
Il y’a une première percée de cris et de joie avant le passage de la fée. Le gris et l’opaque semblaient avoir la main mise sur le décorum, jusqu’aux oiseaux immobilisés par la société… avant que la vie ne s’en mêle et juste avant que la nuit ait le dernier mot. C’est une alternance de luttes et d’existences qui se succèdent et se combinent, où toutefois tout semble difficile à bouger. Le sentiment prédominant dans ma lecture et mon ressenti est l’inertie. Merci du partage Francis Etienne qui me donne toujours autant de grain (et de bon grain) à moudre.
Tout en musicalité et en sonorités, pour un texte tout en douleur jusque là libération . Il est émouvant ton poème parce que l’on porte le fardeau en même temps que le narrateur, on lutte dans ses pas et le souffle qui renaît confine à une forme de rédemption. Merci de ce nouveau très beau partage Perthro.
Bonsoir Myriam, certaines références me manquent de toute évidence. Concernant résumé, lorsque tu cliques sur Textes, il y a tous les textes avec le titre, et en dessous quelques lignes qui par défaut reprennent les premières lignes de ton texte. A présent, tu peux personnaliser ces lignes.
Bonsoir Léo et merci surtout de ton commentaire ou je peux lire à quel point tu ressens la plénitude et le bien-être de ce poème. Je suis ravi que tu découvres le seringat qui est un très bel arbustes qui plus est en très bon. Comme tu le sais je suis très sensible au parfum et d'ailleurs j'y trouve la lignée d'une histoire, car ils ont été tous créés à la suite d'une histoire. Le parfum que je porte s'appelle, (on ne s'en étonnera pas !) « L'heure bleue » créé par Guerlain. Curieusement je porte ce parfum depuis plus de cinquante ans et chose étrange j'ai eu la chance dans ma vie de rencontrer le prince de Baroda, un fils de maharaja qui avait quitté l'Inde au moment de l'indépendance. Ce parfum a été créé par Guerlain lui-même pour son arrière grand-père exclusivement ! Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai appris ce détail ! J'ai même eu la joie de voir les flacons originaux créés pour ce maharaja, une merveille en cristal de roche, que son petit-fils possédait encore. J'ai été très proche du prince de Baroda, humainement, et pour célébrer notre amitié j'ai même écrit un livre, que je suis en train de réécrire et qui s'intitule : l'heure bleue du prince Arabod « anagramme de Baroda ». Il s'agit d'un écrit assez semblable à celui du voyage bleu. Il y a toujours dans mon écriture cette recherche du prince, de l'être exceptionnel, qui, de fait, habite en moi. Mais refermons cet épisode de ma vie personnelle. Peut-être qu'un jour j'écrirai les mémoires d'une vie qui a été remplie de rencontres exceptionnelles, peut-être...Merci encore, cher Léo, pour ton attention à ce que j'écris et surtout pour ta grande amitié. Cordialement, Francis Étienne. La langueur d'une étoile allongée au levant Lamine l'univers à sa laine de vent.
Merci pour ta lecture. Qu’est-ce qui est attendu dans résumé au fait? L’intention de communication? Ici très courte contribution… avec pour remettre en contexte un extrait d’hallucination de l’ornithologue « Prof ». Le reste se trouve dans la forge et l’ensemble en fusion. A bientôt de te lire.