Tes poèmes ont atteint une telle maitrise que je les étudie (versification, rythmique et figures de style). Ils font école, tant la justesse du trait rejoint la prouesse technique. Je me pose, je lis, et j'apprends. Merci pour cette leçon, toutes les précédentes et toutes les suivantes.
Cher Léo, merci encore pour ce magnifique commentaire et pour la reconnaissance de la puissance de l'enfance à travers ce poème. Je reste persuadé que l'enfance est la période la plus importante de notre vie, et probablement la plus poétique de notre vie. Nous remplissons l'univers qui nous entoure de nos rêves ou plutôt de nos créations. Un caillou pour un enfant peut-être un éléphant ou un bateau, parce qu'il a la capacité poétique que l'adulte va perdre petit à petit à reconstruire un monde dans lequel il associe, comme je le fais dans mes sonnets, des bribes de réalité à des univers poétiques. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de méchant. L'ogre par exemple est un personnage essentiel de l'enfance, car il représente le danger mais aussi la renaissance lorsque l'enfant aura vaincu ce danger. L'enfant est maladroit dans la construction de son monde, mais il est très habile dans le jeu avec ce monde. Me souvenir de mon enfance c'est précisément et depuis toujours ce que je recherche dans la création poétique , ce qui explique qu'à mon âge je puisse me passionner à la lecture de Don Quichotte, ou que je me plonge avec délice dans les contes du chat perché. Je suis profondément persuadé que la poésie nait de notre enfance et de notre capacité à jouer avec les mots. Les dialogues d'une petite fille avec sa poupée sont une réalité qui va disparaître avec l'adolescence ; le morceau de bois qui vole comme un avion va disparaître au moment où notre corps va se transformer. J'essaye parfois à travers la poésie à retrouver ce regard d'enfant, simplement, mais uniquement avec les mots. Merci Léo pour ce joli commentaire qui me touche beaucoup et qui comme d'habitude va au fond de la lecture de ce texte. Je te dis à très bientôt et à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Sur le cheval de bois qui traverse l'enfance nous chevauchons le temps et sa longue romance.
On a l'impression de se faufiler dans le poème tel un serpent ! Le travail sur le rythme est incroyable. La sensation de mystère tout au long de la lecture est aussi intéressante, elle captive l'attention. Bravo !
Bonjour Léo, je vous remercie pour ce joli, et pertinent commentaire. Après une nouvelle relecture votre suggestion m'a paru judicieuse, alors je l'ai appliqué. Merci beaucoup !
Cher Léo merci beaucoup pour ce commentaire qui encore une fois m'étone par la précision de la sensibilité que tu as. J'aime beaucoup l'image « la fragile flamme d'une bougie ». Car en effet, comme tu le dis si bien, la poésie peut traduire ce mouvement d'une flamme sous un souffle. D'ailleurs c'est le même souffle que la tradition applique à des bougies d'anniversaire sur un gâteau. C'est en effet le passage à la fois du temps, mais aussi à la mue d'une vie. Symboliquement les ans passent les uns après les autres mais effectivement on se retrouve pour souffler l'an passé sur un gâteau, et en même temps on définit l'année qui s'ouvre comme une année blanche sur laquelle nous allons écrire une autre page de vie. Cette tradition, qui se perpétue depuis toujours, exprime les signes de notre reconnaissance de l'avenir que nous peuplons déjà de nos rêves « est-ce un conte de fée ou le fruit d'un espoir. » Et l'on retrouve la puissance dans l'outil poétique : « un cierge qui fleurit comme un cœur qui bourgeonne » je ne saurais pas exprimer différemment ce rite du passage, ni les émotions qui vont avec. Là encore on retrouve un élément essentiel de la poésie : la libre possibilité d'associer des mots pour exprimer, peut-être d'une façon un peu voilée, une réalité que chacun de nous ressent et qui a besoin de la technique poétique pour être exprimée dans sa globalité et sa profondeur. Merci Léo d'avoir pris le temps de commenter ce texte et d'y avoir rajouté la touche très éclairée de ton commentaire. À très bientôt et à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Une vague d'écume à la mousse d'ivoire glisse sur le sable enrubanné d'un ciboire.
Cher Léo merci beaucoup pour ton message et pour ce magnifique commentaire. Noël a toujours été pour moi un jour très particulier, un jour se prépare. D'ailleurs dans la liturgie de Noël il y a la période de l'Avent, période qui traduit à la fois la fièvre de l'attente du jour de Noël, mais aussi la purification de chacun d'entre nous par un effort continu de prière. Noël c'est aussi, et peut-être uniquement aujourd'hui cette féerie de lumière, cette abondance de symboles, comme les arbres de Noël, les chansons de Noël, toutes particulièrement présentes dans le monde anglo-saxon les fameuses Christmas songs, c'est aussi le sens du cadeau, non pas celui qu'on doit faire, mais celui que l'on veut faire. Pour moi depuis des années, je m'offre un livre, dont j'ai rêvé pendant longtemps, en général des livres choisis dans la collection de la Pléiade, et pour chacun des volumes que j'ai qui m'ont été offert à Noël, je retrouve le visage de la personne qui me l'ont offert, celui de ma mère, celui de mon frère, celui de Rick ou d'un ami qui m'a donné un bon d'achat. Ainsi Noël s'ancre dans l'âme depuis notre naissance. Il est bien regrettable qu'aujourd'hui on'en fasse une affaire d'État en réduisant ce jour à « la vacance d'hiver ». Je comprends que la naissance du Christ n'ait aucune signification pour beaucoup, mais je ne comprends pas que l'on veuille aujourd'hui faire de Noël, un jour comme les autres. Si on ne comprend pas l'importance de Noël, on ne comprend pas le monde dans lequel on vit. Aussi ce poème est-il, un des rares textes, clairement écrit pour Noël… Merci Léo encore et encore pour ce merveilleux dialogue que tu m'offres sous chacun de mes textes. Je te dis à très bientôt, à tout de suite. Cordialement, Francis Étienne. Sous une arche de vent la lumière d'un cœur Inonde le destin d'une douce liqueur.
Bonjour Leo,
je te remercie pour ton retour bienveillant, comme toujours (et c'est très agréable, dans un contexte d'adversité),
mais surtout pointu, exigeant et précis. C' est tout à fait ce dont j'ai besoin pour progresser.
J'ai donc apporté des modifications au texte que j'ai mises en violet :)
Est ce que tu peux me dire si cela apporte de la clarté au propos? Merci beaucoup.
Bonsoir Lucie et merci pour ton texte très émouvant, mais aussi très bien construit. Ton image d’entrer dans la tête jusque dans le ventre. Cette traversée du corps, transperçant la dignité et l’intime est très bien écrit. Et la touche d’espoir en toute fin, qui initie la reconstruction, nécessaire pour ne pas laisser la violence avoir le dernier mot. J’aurais mis les explications du contexte de ce texte en toute fin, après une ligne de séparation. Ton texte a un fort impact, et commencer par lui encore plus interpellant.
Ton précédant poème, « Fibres en flammes » nous désorientait et celui-ci altère les souvenirs, à eux deux et avec une vive émotion, nous plonge dans les affres de la vieillesse. Cette altération du souvenir, renforce la sensation de l’éphémère et de la fragilité du décor qui pouvait sembler inaltérable. Vraiment très émouvant.
Ton poème fait naître dans sa première strophe un choc thermique, le froid terrassant la fournaise, un froid engourdissant les sens et les images, altérant la réalité et probablement la vue. Comme sonné part ce temps court qui trouve la limite d’un précipice (la falaise). Ton dernier tercet souligne une dualité nouvelle, entre l’étrange et la raison. Lorsque le poète se joue de nos perceptions, porté par la force de ses évocations. Merci l’artiste.
Bonsoir Engome, qu'il est bon de te lire en long et souligné par ailleurs une belle maitrise de la ponctuation. Les propos et le fond du texte pourraient se déverser comme un torrent emportant tout sur son passage et c'est l'effet inverse qui survient, et qui m'a surpris : c'est distribué au compte goutte, laissant ainsi le temps de s'approprier les images fortes et les métaphores habiles que l'on nomme de plus en plus couramment punchlines. Ce qui me manque juste sur ton texte, c'est le contexte : qu'est-ce qui a provoqué cette pensée, que se passait-il juste avant, que se passe t-il pendant. Tu as déjà très bien écrit l'extérieur, tu sais très bien écrire l'intérieur,, ne reste plus qu'à faire cohabiter les deux sur une trajectoire narrative que les auteurs détestent et qui pourtant est bien salutaire en écriture : le plan. Encore merci pour ton partage.
Bonsoir Léo. Merci pour ces encouragements! En vérité, c'est devenu là aussi une chanson mais je ne l'ai jamais enregistré. Elle reste donc dans ma tête pour le moment.
Bonjour Lucie, les alexandrins que j'ai écris riment à l'hémistiche ce qui ne se fait pas trop. Je me suis donc dit que c'était plutôt des hexasyllabes. Je les ai donc écrit avec des majuscules dans ce but. Je ne sais pas si cela est bien clair... Toujours est-il que je vous remercie pour votre commentaire, il est encourageant!
En lisant ce poème on se plonge dans ce monde inquiétant, onirique, et sensoriel qui réveille notre imagination. Il est vrai que nos rêves sont mystérieux, et ils nous mettent à rude épreuve : nous qui voulons tout comprendre nous sommes face à une énigme, cet inconnu source de la peur. Enfin, avec eux la réalité nous déçoit car elle nous rappelle que nous ne sommes rien d'autres que des êtres humains. J'aime bien l'univers onirique, cela me fait penser à A rebours de Huysmans où l'excentricité de Jean des Esseintes ne nous permet plus de distinguer le rêve de la réalité, ce qui en fait un personnage aussi déroutant qu'original. Je vous remercie pour le partage de ce texte, il est très inspirant ! Au plaisir de vous lire à nouveau.
Bonjour Perthro ! votre poème donne envie de vous découvrir, c'est une belle invitation. Les majuscules au milieu des vers m'ont surprise mais peut-être que cela est fait exprès, conformément à la forme que vous avez choisi. Enfin, sachez que votre esprit n'est pas le seul à être douloureux, ce qui fait que votre sensibilité me touche. Merci pour le partage !
Bonjour Un fils de Louis ! Je vous excuse pour votre faute de frappe (c'est Lucie !). Je comprends l'impression de lourdeur que vous évoquez, celle-ci je pourrai la corriger plus facilement que celle que j'évoquais plus haut, à laquelle je réfléchis ardemment. Merci pour votre commentaire, et au plaisir de vous lire aussi !
J’aime bien commenter également par la fin ; et si tout partait de la fragilité des êtres qui n’ont pour seuls équipements qu’un assemblage de mots. Un alliage salutaire.ayant permis de déposer les (L)armes. Déserrer les poings et l’orgueil dans l’espoir d’un jour permettant le renouveau. J’aime beaucoup, merci Perthro, c’est encore emprunt d’une grande sensibilité.
Il y a comme une ode à l’enfance, emprunte de fantaisie et d’imagination, propice aux plus grandes aventure. Comme toutes les histoires que l’on se raconte comme pour défier la monotonie de l’ennuie. Ces mots qui entrent dans une ronde autour de la lune, couronne l’audace des anges qui ont su de leur rire, border les rêves d’une humanité assoupie. Ce n’est pas rien, et je t’en remercie très cher Francis Etienne.
Entre ombres et lumière, sacré et profane ton poème oscille comme le ferait la fragile flamme d’une bougie soumise à la variation des courants d’air. Comme un léger souffle mystique qui accorde une (dernière ?) danse à une âme faisant une halte entre deux mondes, les scellant à tout jamais. À plus tard Francis Etienne.
Noël qui approche et son esprit qui semble vouloir embrasser l’humanité dans un sursaut d’orgueil. On y lit dans ton poème comme un baume de bienveillance pénétrant l’âme qui s’en remet à la ferveur céleste. Merci très cher Francis Etienne de ton poème qui initie comme une trève dans les malheurs du monde.
La religion est ici évoquée davantage à travers les objets plutôt que la doctrine, en quelque chose d’immobile et vain. Le texte illustre très bien le choix de l’image pour ne pas dire l’inverse) : l’humain est d’une complexité incroyable dont chaque clé n’ouvre qu’une frêle part du mystère qui guide chaque destinée. Votre texte est à la fois mystique dans la quête d’apaisement, et incroyablement dur et pragmatique pour ce qui est de la souffrance qui habite que très régulièrement l’humain. A suivre.
Bonsoir, bienvenue et merci de partager avec nous votre texte. Une belle description et surtout introspection. Il y a de la solitude qui se mêle au doute, de la souffrance à de l’éphémère apaisement qu’apporte la grande bleue. On perçoit une quête spirituelle déjà lancée et qui promet de sincères réflexions. À plus tard.
Excellentes Idées dont j'espère suivre bientôt le fil au bout de ma plume. Merci pour ces informations et pour la qualité de ton travail sur ce site qui s'enrichit de jour en jour de magnifiques fonctions. Je me soumettrai avec grand plaisir à la forge et comme Wotan devant les flammes, je laisserai mes vers se plier aux coups de marteau des lecteurs mes orfèvres !Merci Léo et à très bientôt. Cordialement Francis Étienne
Bien au contraire, tu as largement de la marge: les critiques sont toujours constructives, quand elles sont fondées. Tu peux y aller sans crainte: j'ai le cuir solide, tanné par l'éducation de feu mon père, prof de lettres, qui criblait au stylo rouge toutes mes copies de remarques aussi drôles qu'assassines. Je suis ici pour progresser et apprendre :)
Je suis content que ce soit la bienveillance de ma réponse qui t'es apparu. C'était bien mon objectif. Même si ça fait un peu mal, forcément, le but ici, il me semble, est d'avancer ensemble. N'hésite d'ailleurs surtout pas pour exprimer les choses qui te sembleraient incohérentes ou insuffisamment claires dans mes textes. Je t'embrasse, Engome. ;-)
Je peux te faire aussi une confidence Un fils de Louis, chaque page noircie en vaut la peine si elle est remplie avec authenticité. Je crois que c'est ton cas.
En ce qui me concerne, j'essaie à travers l'écriture de démocratiser des concepts inconnus de la doxa: le terrorisme d'état et l'émergence des NBIC (convergence des Neurosciences, biotechnologies, Informatique quantique (Interface Cerveau machine) et Sciences Cognitives.
Nos futures générations doivent être préparées à ce monde, mais tu sais ce que c'est : l'Information est la chose la moins bien partagée. Nous vivons dans un monde bruyant qui a érigé la communication en dogme, en enterrant l'information et le savoir qu'il devrait véhiculer.
C' est pourquoi j'ai rendu libre l' accès de mes livres publiés (Droits protégés) sur mon site auteure:
****https://edoplumes.fr/2014/12/15/des-apprenantes-ravies/****
Je suis très plagiée (la faute à ChatGPT diront-ils pour se justifier, comme s'ils étaient dénués de conscience et de sens moral),
mais je préfère prendre ce risque plutôt que celui de taire ce que j'ai eu la chance d'apprendre, et qu'il me parait urgent de transmettre.
N.B: les textes y sont plus longs, et plus aboutis, même si j'y ai multiplié les coquilles.
Merci pour ce retour Myriam: Tu as vu juste concernant "l'alliance sacrée du Dancefloor". J'ai longtemps hésité entre les deux adjectifs...et puis, j'ai juxtaposé les deux, comme si le "trop" était moins risqué que le "pas assez".
Il est probable que certaines parenthèses ne soient pas non plus nécessaire. Malheureusement, le texte restera court et lapidaire.
"On ne peut pas tout dire, mais ce qu'on dit, il faut bien le dire", je vais garder ce conseil en tête lors de la réécriture. Merci pour les mots d'encouragements :)
Un fils de Louis, je te remercie pour ton retour: je vais corriger la première phrase: "les livres de développement personnel...", en reprenant mot pour mot ta suggestion. Merci beaucoup.
Pour le reste, c'est un style qui plait ou pas, et ça ne me dérange pas de déplaire.
Le cheminement de pensée n'a pas besoin d'être linéaire, comme s'il s'agissait d'une dissertation qui suivrait une dialectique précise.
C'est une déambulation dans mon fil de pensée, avec mes errements, mes doutes et probablement mes erreurs. Mais voilà, ce sont les miennes et je n'y toucherai pas. Je souhaite que ces failures apparaissent, tout comme le côté un peu sec et saccadé de cette non-fiction.
Il manque probablement des informations, dans la temporalité. Tu fais bien de le souligner. Je vais modifier ça, également.
L'expression outrée des tantines "Ils vont caler dans leur mariage...." traduit leur émotion, non la mienne. Dans un livre audio, il y aurait eu l'accent: la francophonie est un vaste espace, et la façon dont le français est parlé ici, n'est pas la même qu'au Québec ou en Afrique. Il y'a une rythmique, un lexique, qui leur sont propre. C' est ce que j'ai essayé de transmettre, et que tu as reçu comme un trop plein d'émotion, là où il y'a spontanéité.
Je vais le retravailler, sur les quelques aspects que tu as relevé et que je juge pertinents. Je t'en remercie. C'est plutôt agréable de voir une personne se soucier assez de mon texte pour en souligner les faiblesses et m'inciter à le retravailler. C'est constructif. Merci beaucoup.
Hey you, je trouve que tu possèdes décidément un sens de la formule tout à fait remarquable. Ton style, c'est le "feu dans le caillou". À ce stade tu tiens de l'or en fusion qu'il t'appartient de forger à ta guise. Je crois que tu as matière à de nombreux HEY YOU dans des textes plus prometteurs les uns après les autres. C'est une chance d'avoir un style, c'est rare et c'est précieux. À ce stade de conception, les comparaisons peuvent entraîner la lectrice que je suis vers d'autres voies de lecture (et peut-être l'auteure que tu es vers l'écriture d'autres HEY YOU): tant mieux. Je crois qu'à partir du moment où tu mets une phrase entre parenthèse (et j'ai cette tendance donc je la vois chez les autres, toujours une histoire de paille et de poutre, d'où ma parenthèse ici-même), tu risques de diluer ton feu. Parfois, nous hésitons entre plusieurs entre plusieurs formulations lors de la conception. Si tu procèdes comme moi par conduite d'approche et je rejoins ce que Fils de Louis dit plus haut "Tous les livres...". Si tu veux améliorer encore ton texte, peut-être qu'il faudra choisir la formule qui chantera le mieux ta pensée car on ne peut pas tout dire mais ce que l'on dit on essaye de bien le dire. Il reste des traces d'autres conduites d'approche comme dans la "sainte alliance sacrée du dance floor". Est-ce que ton texte chante mieux dans une version comme " la sainte alliance du dance floor" ou "l'alliance sacrée du dance floor? Aucune réponse car tout dépendra de la forme définitive de ton témoignage. Je note l'utilisation très redoutable des parenthèses pour catégoriser d'un trait le (Makassa old school). Tu parles des 5h00 du matin, de mon côté, je suis curieuse du déroulé de ce mariage tradi et surtout j'aimerais savoir comment le culot du divorce a été annoncé, commenté et repris. À bientôt de te lire.