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Somnolence des mots
Publié le 10/11/2024
Le froid et la retraite semblent être les ultimes compagnons de route d'un parcours dans le renoncement et le déclin. Le désespoir s'impose en conciliabule avec les oiseaux de mauvais augures. Une grosse chape de tristesse terriblement bouleversante. Très ému.
Le Poison verbal
Publié le 10/11/2024
Texte poignant de vérité. Il y a encore beaucoup à écrire au sujet du harcèlement. Ce texte est la preuve qu'en tant qu'enseignant on n'exagère pas la portée des mots sur des ado que l'on peut retrouver tremblant devant sa porte de classe contrairement à ce que j'ai pu entendre par ailleurs. La question de savoir en quoi ce tribunal extérieur résonne avec un tribunal intérieur chez chacun demeure ouverte. Une chose est sûre: ces clameurs tuent. Quant à la question de finir "à l'asile", à "l'hôpital psychiatrique": elle heurterait n'importe qui travaillant de près ou de loin dans le secteur de la santé mentale. Ça dénote qu'il y a encore dans l'inconscient collectif, "les fous", "les faibles" et les autres qui seraient "forts" et "bien portants". Pourtant, être fort, ne veut pas dire être sain, il faudrait le crier. Écraser les autres de jugements est une preuve de force mais cette force là est toxique. Il faudrait parvenir à rendre le monde dans lequel nous vivons plus inclusif et un texte comme celui-ci peut y contribuer. Merci donc pour ce partage Lucie R.
Exutoire
Publié le 10/11/2024
Merci pour cette participation à l'atelier. Un bel exemple à suivre dans mes écrits si j'ai le temps de m'essayer. Cela montre comment intégrer parfaitement une figure de style à un ensemble poétique de façon tout à fait naturelle. La burle qui souffle est proche de "burle" d'autrefois. Il y a un brin de raillerie à assembler l'univers latin de démons, crédos et sermons avec les dieux nordiques. Il y a un brin d'ironie à achever ce tableau par une question dont tu connais la réponse. J'arrête les anaphores... À bientôt Perthro, au plaisir de te lire
J'inscris le rêve au Patrimoine de l'Être heureux, 4
Publié le 10/11/2024
Dans la précédente partie, il semble qu'il s'agit de deux mondes parallèles, presque irréels et dans cette partie la révélation de faits précis et bien ancrés aux douleurs et aux traumatismes du passé, ancre la narration dans le réel. Il y a de l'ordre de la lutte, de la survie par le refuge que peut incarner la religion, qui se juxtaposent et cohabitent ensemble pour se soustraire, faire face et contrer la violence des hommes. On est malmené par cette narration dont on ignore encore ce qui est de l'ordre du réel ou de l'irrationnel, mais surtout par la gravité du thème qui s'en dégage, et en cela, les mots agissent avec efficacité pour ne pas chasser d'un revers de main l'indicible.
J'inscris le rêve au Patrimoine de l'Être heureux, 3
Publié le 10/11/2024
Il y l'âme difforme dans sa lutte intérieure et il y a le corps presque inhabité, quasi simple véhicule comme le serait celui d'un zombi. Tout y est froid et mécanique et ce passage particulièrement efficace : "parce qu’il fallait crever l’abcès et que cette enflure dans sa tête et son âme - un mot qu’il exécrait – prenait des grosseurs pathologiques alarmantes." qui inquiète. Schizophrénique à souhait. A suivre avec intérêt.
Exutoire
Publié le 10/11/2024
Que dire très cher Perthro tant je suis à chaque fois surpris par ta dextérité à faire tiens les défis proposés que ce soit techniquement, dans la forme et le fond. Et le plus épatant c'est que comme cela s'additionne avec la complexité du sonnet qui pour toi n'est qu'une formalité. J'aime ta composition car elle mêle ce que tu affectionnes particulièrement avec la mythologie nordique et la puissance des mots, ceux qui font de l'humain l'expression de ses souffrances et faiblesses si dérisoires à hauteur de Dieux, mais qui pour nous lecteurs donnent de belles émotions à lire. Merci et encore bravo.
Vingt-trois heures de la vie d'une femme
Publié le 09/11/2024
Parfois dans le silence une main de satin Pose sur mon épaule un souvenir fugace Qu’un parfum de velours reflète dans la glace Qui brouille mon bonheur d’un bout de serpentin. Quelle belle sensibilité ! Il y a comme du ténu, de l'insaisissable ... J'aime.
HEY YOU_4
Publié le 09/11/2024
Ok, je te remercie pour le retour. Je prends note...Dans le prochain essai, HEY YOU_5, je garderai en tête l'idée du plan, de ce qui tient véritablement le texte et l'ancre dans l'attention du lecteur :) A plus tard
Marbres et bronzes
Publié le 09/11/2024
Un poème qui mériterait d'être affiché dans les galeries du Château de Versailles m'a-t-on dit lorsque je l'ai partagé. Et je confirme. Comme j'ai déjà eu l'occasion de te le dire, j'y entrevois souvent des toiles en lisant tes vers. J'aime beaucoup dans ton poème la description de ce géant de solitude à l'épreuve du temps. Merci du partage Francis Etienne.
Méphistophélès
Publié le 09/11/2024
Une cape déploie autour du personnage une dimension à la fois fantastique et sombre. Du noir sur rouge, deux couleurs qui se marient particulièrement bien à l’image de tes mots, pour écrire un drame entre raffinement et cruauté.
HEY YOU_4
Publié le 09/11/2024
Bonjour Engome, cela apporte effectivement plus d'informations sur le propos mais ça ne le contextualise pas. On ne sais pas ce qui s'est passé pour que cela conduise à cette situation et réflexion. A plus tard.
Fibres en flammes
Publié le 08/11/2024
Chère Lucie, votre commentaire sous ce texte très juste et très bien développé me touche beaucoup. L'univers du rêve comme celui de l'excentricité sont des univers parallèles dans lesquelles nous nous plongeons quelquefois quand nous rêvons, et qui quelquefois transforment nos vies en une étrange danse entre le vrai et le moins vrai, car je suis persuadé que dans le rêve, il y a quand même une partie de vérité, ne serait-ce que notre propre personnage avec ses propres sentiments. Vous dîtes que nous ne sommes que de pauvres humains, mais si je me peux me permettre, je dirais qu'au contraire nous sommes des êtres très riches qui avons la capacité de partager, de vivre dans le plaisir, et surtout de créer. C'est en cela que la poésie est pour moi un élément central de la vie. Bien sûr, les textes que je publie parfois peuvent paraître obscurs ou simplement désarticulés mais de fait ils sont extrêmement clairs et parfaitement construits, si on trouve la bonne clé pour se glisser dans leur costumes Et vous, vous l'avez manifestement trouvée, cette clef. Je vous en remercie encore de tout cœur et espère vous accueillir encore et encore sous mes textes. Cordialement FE
Dentelle d'acrobate
Publié le 08/11/2024
Chère Engome, Votre commentaire si juste me touche beaucoup et votre fidélité à lire et à commenter mes textes encore plus merci encore et à très bientôt
Le Poison verbal
Publié le 08/11/2024
Bonjour Engome, je suis très émue de savoir à quel point mon texte a pu vous toucher. Je suis tout à fait d'accord avec vous, nous avons tendance à oublier que nous sommes des êtres humains, notamment à cause de toutes les choses superficielles qui sont dans notre société. On en oublie l'essentiel, et c'est bien regrettable.... Heureusement, mettre des mots sur notre vécu nous rappelle qui nous sommes, en plus de faire un bien fou ! Encore merci pour votre commentaire, et au plaisir de vous lire.
Le Poison verbal
Publié le 08/11/2024
Bonjour Lucie, Ton texte entre en résonnance avec ce que je vis depuis 7 ans, à présent. Un harcèlement organisationnel (c'est la dimension supérieur du harcèlement, car il implique des communautés aguerries à ces pratiques) et surtout des institutions complices, en raison d'un niveau de corruption élevé. Comme toi, j'ai la chance de pouvoir transformer mes traumas en mots, et je suis très combattive...ce qui a toujours été un défaut, mais dans ce contexte, est une qualité. Il était important d' énoncer tout ça afin que tu comprennes pourquoi ce texte, d'une clarté lumineuse et d'une très grande délicatesse, me touche profondément. Car c'est la victoire de l'humanisme bienveillant sur le règne de la barbarie. C'est un manifeste nous rappelant notre mission première: être un être humain decent (a decent human being). Merci pour ces mots qui réparent! («Si vous ressentez de la douleur, vous êtes vivant. Si vous ressentez la douleur des autres, vous êtes humain» Leo Tolstoy)
Vingt-trois heures de la vie d'une femme
Publié le 08/11/2024
J'y vois l'absence habitée de certaines natures mortes picturales dont on a l'impression que les personnages viennent tout juste de quitter la toile. Vingt-trois heures....Ca laisse songeuse et donne envie de connaitre l'essence de la dernière heure.
Dentelle d'acrobate
Publié le 08/11/2024
Toutes les vies, même les plus fragiles et fugaces, sont remplis de grâce. Très beau poème.
Instinct et foi
Publié le 08/11/2024
Tes poèmes ont atteint une telle maitrise que je les étudie (versification, rythmique et figures de style). Ils font école, tant la justesse du trait rejoint la prouesse technique. Je me pose, je lis, et j'apprends. Merci pour cette leçon, toutes les précédentes et toutes les suivantes.
Confetti de lumière
Publié le 07/11/2024
Cher Léo, merci encore pour ce magnifique commentaire et pour la reconnaissance de la puissance de l'enfance à travers ce poème. Je reste persuadé que l'enfance est la période la plus importante de notre vie, et probablement la plus poétique de notre vie. Nous remplissons l'univers qui nous entoure de nos rêves ou plutôt de nos créations. Un caillou pour un enfant peut-être un éléphant ou un bateau, parce qu'il a la capacité poétique que l'adulte va perdre petit à petit à reconstruire un monde dans lequel il associe, comme je le fais dans mes sonnets, des bribes de réalité à des univers poétiques. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de méchant. L'ogre par exemple est un personnage essentiel de l'enfance, car il représente le danger mais aussi la renaissance lorsque l'enfant aura vaincu ce danger. L'enfant est maladroit dans la construction de son monde, mais il est très habile dans le jeu avec ce monde. Me souvenir de mon enfance c'est précisément et depuis toujours ce que je recherche dans la création poétique , ce qui explique qu'à mon âge je puisse me passionner à la lecture de Don Quichotte, ou que je me plonge avec délice dans les contes du chat perché. Je suis profondément persuadé que la poésie nait de notre enfance et de notre capacité à jouer avec les mots. Les dialogues d'une petite fille avec sa poupée sont une réalité qui va disparaître avec l'adolescence ; le morceau de bois qui vole comme un avion va disparaître au moment où notre corps va se transformer. J'essaye parfois à travers la poésie à retrouver ce regard d'enfant, simplement, mais uniquement avec les mots. Merci Léo pour ce joli commentaire qui me touche beaucoup et qui comme d'habitude va au fond de la lecture de ce texte. Je te dis à très bientôt et à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Sur le cheval de bois qui traverse l'enfance nous chevauchons le temps et sa longue romance.
Serpent à sonnet
Publié le 07/11/2024
On a l'impression de se faufiler dans le poème tel un serpent ! Le travail sur le rythme est incroyable. La sensation de mystère tout au long de la lecture est aussi intéressante, elle captive l'attention. Bravo !
Le Poison verbal
Publié le 07/11/2024
Bonjour Léo, je vous remercie pour ce joli, et pertinent commentaire. Après une nouvelle relecture votre suggestion m'a paru judicieuse, alors je l'ai appliqué. Merci beaucoup !
Voussure d'infinité
Publié le 06/11/2024
Cher Léo merci beaucoup pour ce commentaire qui encore une fois m'étone par la précision de la sensibilité que tu as. J'aime beaucoup l'image « la fragile flamme d'une bougie ». Car en effet, comme tu le dis si bien, la poésie peut traduire ce mouvement d'une flamme sous un souffle. D'ailleurs c'est le même souffle que la tradition applique à des bougies d'anniversaire sur un gâteau. C'est en effet le passage à la fois du temps, mais aussi à la mue d'une vie. Symboliquement les ans passent les uns après les autres mais effectivement on se retrouve pour souffler l'an passé sur un gâteau, et en même temps on définit l'année qui s'ouvre comme une année blanche sur laquelle nous allons écrire une autre page de vie. Cette tradition, qui se perpétue depuis toujours, exprime les signes de notre reconnaissance de l'avenir que nous peuplons déjà de nos rêves « est-ce un conte de fée ou le fruit d'un espoir. » Et l'on retrouve la puissance dans l'outil poétique : « un cierge qui fleurit comme un cœur qui bourgeonne » je ne saurais pas exprimer différemment ce rite du passage, ni les émotions qui vont avec. Là encore on retrouve un élément essentiel de la poésie : la libre possibilité d'associer des mots pour exprimer, peut-être d'une façon un peu voilée, une réalité que chacun de nous ressent et qui a besoin de la technique poétique pour être exprimée dans sa globalité et sa profondeur. Merci Léo d'avoir pris le temps de commenter ce texte et d'y avoir rajouté la touche très éclairée de ton commentaire. À très bientôt et à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Une vague d'écume à la mousse d'ivoire glisse sur le sable enrubanné d'un ciboire.
Féerie des images
Publié le 06/11/2024
Cher Léo merci beaucoup pour ton message et pour ce magnifique commentaire. Noël a toujours été pour moi un jour très particulier, un jour se prépare. D'ailleurs dans la liturgie de Noël il y a la période de l'Avent, période qui traduit à la fois la fièvre de l'attente du jour de Noël, mais aussi la purification de chacun d'entre nous par un effort continu de prière. Noël c'est aussi, et peut-être uniquement aujourd'hui cette féerie de lumière, cette abondance de symboles, comme les arbres de Noël, les chansons de Noël, toutes particulièrement présentes dans le monde anglo-saxon les fameuses Christmas songs, c'est aussi le sens du cadeau, non pas celui qu'on doit faire, mais celui que l'on veut faire. Pour moi depuis des années, je m'offre un livre, dont j'ai rêvé pendant longtemps, en général des livres choisis dans la collection de la Pléiade, et pour chacun des volumes que j'ai qui m'ont été offert à Noël, je retrouve le visage de la personne qui me l'ont offert, celui de ma mère, celui de mon frère, celui de Rick ou d'un ami qui m'a donné un bon d'achat. Ainsi Noël s'ancre dans l'âme depuis notre naissance. Il est bien regrettable qu'aujourd'hui on'en fasse une affaire d'État en réduisant ce jour à « la vacance d'hiver ». Je comprends que la naissance du Christ n'ait aucune signification pour beaucoup, mais je ne comprends pas que l'on veuille aujourd'hui faire de Noël, un jour comme les autres. Si on ne comprend pas l'importance de Noël, on ne comprend pas le monde dans lequel on vit. Aussi ce poème est-il, un des rares textes, clairement écrit pour Noël… Merci Léo encore et encore pour ce merveilleux dialogue que tu m'offres sous chacun de mes textes. Je te dis à très bientôt, à tout de suite. Cordialement, Francis Étienne. Sous une arche de vent la lumière d'un cœur Inonde le destin d'une douce liqueur.
HEY YOU_4
Publié le 06/11/2024
Bonjour Leo, je te remercie pour ton retour bienveillant, comme toujours (et c'est très agréable, dans un contexte d'adversité), mais surtout pointu, exigeant et précis. C' est tout à fait ce dont j'ai besoin pour progresser. J'ai donc apporté des modifications au texte que j'ai mises en violet :) Est ce que tu peux me dire si cela apporte de la clarté au propos? Merci beaucoup.
Le Poison verbal
Publié le 05/11/2024
Bonsoir Lucie et merci pour ton texte très émouvant, mais aussi très bien construit. Ton image d’entrer dans la tête jusque dans le ventre. Cette traversée du corps, transperçant la dignité et l’intime est très bien écrit. Et la touche d’espoir en toute fin, qui initie la reconstruction, nécessaire pour ne pas laisser la violence avoir le dernier mot. J’aurais mis les explications du contexte de ce texte en toute fin, après une ligne de séparation. Ton texte a un fort impact, et commencer par lui encore plus interpellant.
Vingt-trois heures de la vie d'une femme
Publié le 05/11/2024
Ton précédant poème, « Fibres en flammes » nous désorientait et celui-ci altère les souvenirs, à eux deux et avec une vive émotion, nous plonge dans les affres de la vieillesse. Cette altération du souvenir, renforce la sensation de l’éphémère et de la fragilité du décor qui pouvait sembler inaltérable. Vraiment très émouvant.
Fibres en flammes
Publié le 05/11/2024
Ton poème fait naître dans sa première strophe un choc thermique, le froid terrassant la fournaise, un froid engourdissant les sens et les images, altérant la réalité et probablement la vue. Comme sonné part ce temps court qui trouve la limite d’un précipice (la falaise). Ton dernier tercet souligne une dualité nouvelle, entre l’étrange et la raison. Lorsque le poète se joue de nos perceptions, porté par la force de ses évocations. Merci l’artiste.
HEY YOU_4
Publié le 05/11/2024
Bonsoir Engome, qu'il est bon de te lire en long et souligné par ailleurs une belle maitrise de la ponctuation. Les propos et le fond du texte pourraient se déverser comme un torrent emportant tout sur son passage et c'est l'effet inverse qui survient, et qui m'a surpris : c'est distribué au compte goutte, laissant ainsi le temps de s'approprier les images fortes et les métaphores habiles que l'on nomme de plus en plus couramment punchlines. Ce qui me manque juste sur ton texte, c'est le contexte : qu'est-ce qui a provoqué cette pensée, que se passait-il juste avant, que se passe t-il pendant. Tu as déjà très bien écrit l'extérieur, tu sais très bien écrire l'intérieur,, ne reste plus qu'à faire cohabiter les deux sur une trajectoire narrative que les auteurs détestent et qui pourtant est bien salutaire en écriture : le plan. Encore merci pour ton partage.
Au lecteur
Publié le 04/11/2024
Bonsoir Léo. Merci pour ces encouragements! En vérité, c'est devenu là aussi une chanson mais je ne l'ai jamais enregistré. Elle reste donc dans ma tête pour le moment.
Au lecteur
Publié le 04/11/2024
Bonjour Lucie, les alexandrins que j'ai écris riment à l'hémistiche ce qui ne se fait pas trop. Je me suis donc dit que c'était plutôt des hexasyllabes. Je les ai donc écrit avec des majuscules dans ce but. Je ne sais pas si cela est bien clair... Toujours est-il que je vous remercie pour votre commentaire, il est encourageant!