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Commentaires
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J'inscris le rêve au Patrimoine de l'Être heureux, Fin
Publié le 24/11/2024
Bonsoir Léo, merci de votre retour. J'aime ces interactions littéraires et critiques. Encore merci.
Bonsoir ma Soeur, 2
Publié le 24/11/2024
De nouveau beaucoup de questions et quelques infimes réponses. C’est puissant et mystique à la fois. Et j’en profite pour souligner le choix des illustration qui apportent aussi beaucoup tant en terme d’expression mais aussi de support émotionnel dans ce que les visuels traduisent. A suivre.
Bonsoir ma Soeur
Publié le 24/11/2024
Dès l’entame on est assaillis de questions qui nous échappe et dont je ne sais que faire en l’état. On sent de nouveau un écrit très introspectif qui semble caractériser votre style. Avec, de nouveau, la place de l’homme et de la religion qui semblent de nouveau tenir la place centrale de votre narration. A suivre.
Verre vide
Publié le 24/11/2024
Bonjour très cher Perthro et merci pour ce nouveau poème qui était très attendu. J’aime énormément ce style épuré qui tranche avec d’autres poèmes qui sont plein de références culturelles très riches. Là on est dans une cave, assis, à la limite de la cécité et avec un calice qui semble indiquer un lieu de culte. Soit une forme de grande contrition, où il ne semble manquer que le cilice (c’est le verre en silice qui m’y a fait penser en terme d’homonymie). Le titre a toute son importance : tout y est vide, accentuant le sentiment d’une extrême solitude. De nouveau très efficace, bravo Perthro.
Tentaculaire abîme
Publié le 24/11/2024
Ton poème ne peut pas laisser indifférent tant la force des images qui y sont projetées interpellent et font naître de vives émotions. Il y a de la violence et une forme de fin annoncée, d’un cycle ou d’un pan entier d’existence. Il y a comme une forme de jugement dernier comme on lit la dépravation consignée en un livre… c’est torturé, comme un appel à l’aide face à la béante adversité qui peut inquiéter au plus haut point. Merci pour ce poème qui secoue et fait réfléchir.
Turgeau et voisinage…
Publié le 24/11/2024
Des dates en cascades, des faits, des témoignages et un incommensurable spectre d’informations que l’on ne peut traiter à la lecture tant les références et surtout les informations sont multiples et complexes. Chaque date mériterait un chapitre à lui tout seul, et puis il faudrait aussi agencer toute cette narration dans une progression chronologique pour mieux s’approprier les étapes, les influences, les environnement et l’Histoire, locale comme internationale tant on sait comment Haïti est très dépendante comme tu l’explique si bien des politiques extérieures. Je me demande quelles seront la teneur des autres chapitres. À plus tard Gilbert.
HEY YOU_4
Publié le 24/11/2024
Merci Lucie. Le retour que vous faites du texte, est sans appel: il n'est probablement pas assez clair. Mon texte évoque un type de harcèlement peu connu, un harcèlement communautaire que certains appellent "hagra". L'équivalent en français serait "harcèlement systémique". De nouvelles technologies méconnues du grand -public, sont parfois utilisées en zone urbaine pour le déployer. J'en ai déjà parlé dans un livre publié, DYSTOPIA (en vente à la Fnac mais aussi en accès libre sur mon site auteur "Edoplumes: https://edoplumes.fr/a-propos/). Je pense avoir réussi à trouver les mots justes pour décrire l'ampleur du phénomène, d'une violence rare et genrée, dans ce livre. Ce qui n' est pas le cas avec ce texte. Le format court ne convient pas à cette thématique, probablement. Merci infiniment pour ce précieux retour.
Marianne
Publié le 24/11/2024
Ah! Ah! très amusant! ^^^
Et lux perpetua luceat eis
Publié le 22/11/2024
Merci Léo, encore une fois, pour ce magnifique commentaire. ces poèmes traversent en ce moment des heures sombres, dans lesquels la lumière et l'espoir sont des confettis d'illusions. Nos vies transportent avec elles des bribes de mémoire comme des havres de bonheur dans lequel elles se reposent de la lourdeur du temps que nos doigts égrènent comme des chapelets suppliant la miséricorde. Pour comprendre comme toi mon écriture, il faut se souvenir que je puise dans la piété, beaucoup de détails, beaucoup de mots, beaucoup d'éclairage et beaucoup d'images. Je suis pétri de prières en latin, de textes bibliques en grec, et désormais de quelques mots en hébreu. L'ensemble de ces mondes me fournit une richesse dans le vocabulaire mais aussi dans la pensée. Et lorsque je juxtapose la pénombre, le sang, le mirador, les flaques de souvenirs, j'évoque la hantise d'une mort sans espoir, comme l'ont pu connaître peut-être, les prisonniers dans les camps de concentration. Cet univers me hante parfois, comme si la réminiscence aveugle de longue prière avait traversé le temps jusqu'à moi. C'est parfois terrible, parfois aussi intouchable, un peu comme si leur prière résonnaient jusqu'à moi à travers les mots. C'est une impression de souffrance et d'espérance. C'est un peu difficile d'expliquer ce sentiment. En tout cas merci beaucoup encore pour ce magnifique commentaire et pour l'occasion que tu me donnes d'entrouvrir mon cœur. À plus tard Léo. Cordialement, Francis Étienne. Des champs de chanvre en feu foulent à l'infini le regard apaisé d'un homme au cœur terni.
Cendres de lune
Publié le 22/11/2024
Cher Léo, merci pour un commentaire encore une fois très pertinent qui entre dans le texte et en tire la substantielle moelle. Certaines facettes de la poésie, comme certaines toiles de grands peintres, mettent en valeur des clair-obscur dans lesquels se noie la pensée. Je pense en particulier au Caravage, dont je ne peux pas me détacher d'admirer ses toiles. Il y a bien sûr bien d'autres peintres antérieurs contemporains et postérieurs au Caravage qui ont laissé de magnifiques chefs-d'œuvre, mais souvent ils sont restés noyés dans l'anonymat. C'est précisément ce sujet que j'aborde dans ce poème l'anonymat. Un monde dans lequel nous sortirions de l'ombre serait un monde bruyant, clinquant, un monde de tambour-major, un monde dans lequel aucun refus ne pourrait être entrevu, un monde dont nous serions nous-mêmes la vanité c'est pourquoi j'ai choisi, « un vieil homme qui fent de comprendre le sens d'autant d'omnipotence. » Je suis très tourmenté parfois par la vanité, celle qui emplit aussi l'écriture, car pourquoi au fond écrire, si l'on sait que tout cela est vain. Et qu'est-ce tout cela ? La vacuité de l'écriture. Ainsi l'écrivain et surtout le poète deviennent ce vieillard famélique qui traverse les pages, les entache de son écriture, froisse leurs linceuls La poésie n'est pas toujours synonyme de bien de beau et de bon, même si sa profonde aspiration touche à la vérité. Merci encore une fois Léo pour ta réponse à ce texte et pour ton amitié. Cordialement. Francis Étienne. L'ombre d'une virgule efface de la mer La mousse d'émeraude à la rouille de fer.
HEY YOU_4
Publié le 22/11/2024
Bonjour Engome ! Durant la lecture la souffrance, liée aux nuisances sonores, ainsi que celle liée à ceux qui s'opposent à l'activisme du personnage (sauf si c'est vous qui dites "Je"), se sont entremêlés car un bruit continu de ventilation et le bruit de mots assassins sont aussi insupportables à entendre (bien que le deuxième soit d'un niveau supérieur). C'est intéressant de les avoir évoqués ensemble. Dans l'ensemble vous parvenez à utiliser des mots forts pour décrire ce qui est vécu, même si ce n'est pas toujours facile de l'exprimer car j'ai senti, parfois, quelques difficultés (j'aurais du mal à les expliquer, j'ai moi-même mis du temps pour poser les mots justes sur la brutalité afin de la faire ressortit telle qu'elle est.). Mais ce n'est pas grave car cela n'enlève rien à l'intérêt que j'ai éprouvé pour ce texte.
Le Poison verbal
Publié le 22/11/2024
Cher Fils de Louis, je comprends vos remarques, et suis tout à fait d'accord. Cela peut prêter à confusion de prime abord, avant qu'on ne lise la suite du texte et que l'on sache de qui il s'agit réellement. Je vous remercie pour vos conseils, et ne manquerai pas d'y réfléchir !
Cendres de lune
Publié le 22/11/2024
Les matadors laissent entrevoir une lutte à mort et l'ensemble un périple intérieur complexe, presque labyrinthique avec des corridors qui semblent infinis, tous comme les silences qui emboîtent le pas, jusqu'à vieillir et ne plus pouvoir. Je suis troublé par la force de ton évocation et ce dernier tercet presque sentencieux, condamnant à tout jamais une quelconque bribe d'espoir.
Et lux perpetua luceat eis
Publié le 22/11/2024
Il y a une terrible dualité dans ton poème, celle de l'innocence et du souvenir que l'on souhaiterait naïvement éternelle. Et d'un autre un monde sordide qui tranche les gorges, coulent dans la pénombre en rides de sang et autre funeste mirador. On espère que le soupir de paix aura terrassé sans condition toute la noirceur qui se profilait.
Und morgen wird die Sonne wieder scheinen
Publié le 22/11/2024
Ce feu qui couve, à l'affut prêt à la dévastation d'un côté et toute la beauté et la quiétude du monde de l'autre. Et pour autant rien ne laisse présager une catastrophe, comme si, à l'image du pinceau, la fonction de chaque élément était désactivé pour profiter pleinement du magnifique tableau que tu nous tend Francis-Etienne.
Aux portes de l'Eden
Publié le 19/11/2024
Merci Léo encore une fois pour ce magnifique commentaire, qui me traduit parfaitement ton humeur en lisant ce poème. Oui il s'agit bien de recettes magiques, qu'il faut essayer, mais certes elles ne font pas partie du bréviaire catholique, mais comme tu le sais, il est nécessaire d'explorer ce qui semble être une hantise de l'humanité : la magie. Alors la poésie est l'instrument parfait pour exprimer la magie. Elle mélange des couleurs, elle mêle des mots, elle ouvre des images, dont le poète doit habilement jouer pour créer dans l'esprit du lecteur ce sentiment de potion, de potion magique. Qu'est-ce que la magie en poésie ? C'est l'art de faire apparaître ce qui est invisible, c'est l'art de faire vivre ce qui est mort, c'est aussi l'art de déshabiller la réalité de son voile de pudeur. Les magiciens sont des êtres qui possèdent des pouvoirs, comme les poètes. Ces pouvoirs ne sont pas une expression de la puissance, mais ils sont une expression de la connaissance, dont le lecteur n'a pas la clé. On est toujours fasciné par quelqu'un qui est particulièrement instruit dans une cause quelconque. Cela peut l'être un point d'histoire, cela peut être une page de sciences, ou une connaissance de la littérature. Le magicien est celui qui ouvre le monde inconnu de notre méconnaissance, car au bout du compte, lorsqu'on découvre « les ficelles » du magicien, on perd aussi la magie. La poésie entre dans cette catégorie là, car elle est aussi illusion. Merci encore une fois Léo pour ce commentaire qui encore une fois m'a ouvert l'esprit sur un détail particulier de la poésie. Je te dis à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Rampant comme un serpent serti de diamant le soleil se faufile au fin fond d'un instant.
Proverbe
Publié le 19/11/2024
Bonsoir Léo, merci pour tous ces beaux mots qui me touchent!
Prémonition d'hiver
Publié le 19/11/2024
Merci Léo encore une fois pour ce commentaire et pour ta louange de mon efficacité ! La poésie en effet ne laisse aucune place au superflu. Quand je parle de poésie bien entendu je veux parler du sonnet. Le choix de chaque mot, de chaque image, de chaque son, est pesé, car le sonnet ne supporte pas le moindre vide, ni d'ailleurs les fluctuations de l'attention que l'on porte au texte, en lisant. Il n'y a aucun passage qui soit du remplissage, comme cela peut l'être dans le roman. Chaque mot pèse mais aussi chaque mot brille. La difficulté de la composition reste bien d'orienter l'outil d'écriture vers un monde particulier, ici c'est le désespoir l'inquiétude, ailleurs ce sera la beauté, le souvenir, l'instant, ou tout autre perception de la réalité visible et invisible. L'expression n'est pas le but de l'écriture, car ce qui compte c'est le moyen d'expression au travers duquel va s'exprimer un sentiment fort, comprimé, presque condensé, qui va ce décompresser dans l'esprit du lecteur. Je pense que c'est cela qui constitue le poids d'un texte. Merci encore Léo pour ton commentaire et à plus tard. Une plume qui tisse à l'encre d'un sourire des mots remplis de temps touche au poison d'écrire.
Girandoles d’agate
Publié le 19/11/2024
Merci Lucie pour votre magnifique commentaire philosophique et l'appréciation bien entendu de ce poème. La mort est présente dans la vie et lorsqu'elle paraît inévitable son image se définit. Dans ces quelques lignes vous avez mis en valeur le lien qui peut exister entre naufrage et la mort, lien qui est sous-jacent bien entendu à la composition de ce texte. Votre exemple du Comte de Monte-Cristo est un magnifique exemple de la renaissance à travers la cérémonie de la mort, car il s'agit bien d'une cérémonie, qu'elle soit au cœur même d'une église, au à bord d'un vaisseau, ou comme vous le citez au château d'IF. La poésie est parfaitement destinée à l'expression de la mort, parce qu'elle utilise les mots sous lesquels nous glissons tous notre perception de la vie est bien sûr de la mort. Merci beaucoup encore Lucie pour votre excellent commentaire et j'espère à très bientôt. Cordialement, Francis Étienne.
Aux portes de l'Eden
Publié le 19/11/2024
J’ai lu ton poème comme on lirait un vieux grimoire plein de formules magiques pour réenchanter la vie. Un chaudron poétique qui mijote et bouillonne à feu doux, et c’est toute la magie qui opère… merci Francis-Etienne.
Proverbe
Publié le 19/11/2024
Comme Francis-Etienne, j’ai énormément apprécié la musicalité (et ta sublime interprétation) sur un texte à double sens , habilement construit et admirablement bien écrit. La surprise et l’enchantement sont au rendez-vous, à écouter et réécouter. Merci Perthro.
Prémonition d'hiver
Publié le 19/11/2024
Tout semble être de mauvais présage, et c’est ce qui m’interpelle et me plait dans ton poème, où tout semble ne tenir qu’à un fil ténu avant que tout ne bascule, sur le dernier vers mortifère. Du début à la fin tu réussis à créer une ambiance inquiétante. Efficace !
Le Poison verbal
Publié le 19/11/2024
Avant toute chose, parce que je suis un vieux con attaché à la rigueur et à la clarté, je dirai que le texte démarre sur une grosse faute. "Les mots tuent. Mais ça ils ne le savaient pas..." Le pronom personnel ne peut qu'être mis pour le nom le précédant, surtout s'il est du même genre. Bien sûr on comprend que tu parles des auteurs de ces mots. Mais cette anomalie m'a contrarié et contrarie, je crois, tout lecteur. Je comprends que tu souhaites jamais ne les nommer de près ou de loin, les malfaisants qui assassinent à travers leurs remarques. Ton "ils" correspond bien à ces personnages diffus qui sont tous et personne. Mais c'est aussi l'intérêt d'écrire, je trouve, devant un dilemne comme celui-ci, comment tourner les mots sans jamais remettre en question ni la clarté ni l"honnêteté du texte ? "(...) son ventre se tordait de douleurs qui venaient enflammer sa poitrine, percer son coeur, puis remonter dans ses joues avant de sortir dans les larmes qui coulaient sur elles." J'ai ressenti ici toute l'intensité du mal-être des victimes pour qui tu as une vraie empathie. Bref, tu es touchée par ce dont tu parles et tu pourrais toucher davantage encore en retravaillant ce texte qui mérite de l'être. ;-)
Mon petit saule pleureur (Temps de lecture : 2'14")
Publié le 19/11/2024
Merci Lucie. Vous confirmez ce que je pense. Il faut pouvoir se projeter sur le personnage du film, du spectacle de théâtre ou de danse ou du roman pour pouvoir se faire embarquer. Merci pour votre lecture et votre petit mot aimable. ;-)
Mon petit saule pleureur (Temps de lecture : 2'14")
Publié le 19/11/2024
Merci beaucoup Léo. Je crois que tu comprends assez bien mon cheminement. C'est compliqué de rester sincère et intense à travers son écriture. Je serai retraité dans 14 mois. Il me faudra bien cet intervalle de temps pour me remettre d'Ambre Gris. Mais entretemps, comme je l'ai fait jadis, je rédigerai de petits textes de la vie. ;-)
Mon petit saule pleureur (Temps de lecture : 2'14")
Publié le 19/11/2024
Bonjour Un fils de Louis ! J'aime beaucoup ce texte qui capture un moment de vie avec la réalisation de cette envie, de la part du personnage, d'avoir son arbre préféré à ses côtés. Il assume ce qu'il est en faisant cela et c'est plaisant à voir. De plus, rendre cet arbre humain sert la proximité affective qui se noue avec le personnage, c'est très bien pensé. Enfin, en lisant ce texte je ne pouvais pas ne pas penser à mon grand-père qui adorait le saule pleureur qui est le témoignage d'une poésie dont l'autrice est la nature.
J'avais muté
Publié le 19/11/2024
Bonjour Sam ! Cette fuite en avant dont vous faîtes part est très puissante, les tourments qui la composent sont touchants et font réfléchir sur notre rapport avec le monde qui nous entoure. Je suis ravie de vous découvrir et j'espère avoir l'occasion de vous lire à nouveau !
Girandoles d’agate
Publié le 19/11/2024
Ce poème donne à voir des images très fortes, il fixe la puissance de la mort dans ses lignes. Nous pensons à la mort parce qu'elle nous fait peur avec son caractère inévitable, nous parvenons difficilement à l'accepter, elle nous apparaît comme une épée de Damoclès au dessus de la tête. Son lien avec le vocabulaire maritime me rappelle que la mer était un cercueil pour les prisonniers du Château d'If, dont les cadavres, attachés à un boulet, finissaient dans les fonds abyssaux (comme Dumas nous le rapporte dans l'excellent Comte de Monte-Cristo). Ce poème est superbe techniquement car il fige une image marquante pour le lecteur.
Proverbe
Publié le 19/11/2024
Bonjour, merci pour votre enthousiasme toujours partagé. Les paroles, la musique, le ukulélé et l'interprétation sont de votre serviteur.
Proverbe
Publié le 18/11/2024
Magnifique poème, dans lequel vous réussissez aussi bien que dans l'alexandrin à insuffler un rythme, en l'occurrence ici, celui de la vague, avec une musicalité particulièrement soignée et un humour très légèrement voilé. C'est une très belle réussite félicitations. Cordialement Francis Étienne. Une question est-ce vous qui chantez ?