1216
Textes
4582
Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 01/05/2024
Super ! C'est très bien de permettre à chacun de lire selon son envie et de scinder d'une manière ou d'une autre le site de sorte que chacun y trouve son compte. ;-)
Nappes de vent
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, Quelle belle idée que de mettre en contact ce texte et Von Gogh et quelle magnifique expérience tu en rapportes. J'ai déjà travaillé avec un peintre Jean Marc Sardou en écrivant une quarantaine de sonnets sur ses tableaux sous le titre de Hommage à Jean Marc Sardou. Je les refais avec des photographes et des aquarellistes. C'est un travail délicieusement exquis. On perd la solitude de l'écriture en trouvant la fraternité. Je suis toujours intéressé par le chevalet de l'autre. Merci encore de tant de bonté pour mes pages...et pour Van Gogh Bonsoir, Léo, Cordialement, F Etienne Sur le sucre du soir une frange de vent Pousse un bout de dentelle au fin fond du Levant
Rouleaux de moire
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, ...et oui peut-être. Merci pour une vue si pénétrante sur ce texte. Toute la quête de la poésie repose en effet sur un acte de foi et sur le doute, sa splendeur sur les les mots et leurs miroirs. L'alchimie des mots et des voyelles. La poésie est redemptive et charitable, elle nous panse les plaies depuis toujours, les comptines de notre enfance sont les doudous de nos âmes. Quelques fois la poésie nous pousse dans le fossé juste pour venir se rouler dans l'herbe avec nous. La poésie est une grande amoureuse. Bonsoir, Téo, et merci. Cordialement, F.Etienne Une voile de lin flottant sur l'océan Annonce le soleil renaissant du néant.
Salve d’ardoise
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, Tu écris comme un Prince en partageant sous ce texte un commentaire si profond ! Merci pour ce merveilleux don. Les mots de clepsydre et d'ultime souffle poétique m'ont touchés Mon écriture est rempli de vieillesses, de nombreuses vieillisses. C'est aussi la société que Proust nous a décrite. Chiffonner le soir autour d'un arlequin demande le tact d'un Prince de Lige. J'aime lire les mémoires qui nous sont parvenus. Ils ne sont pas parvenus pour rien. Lorsque j'en lis un je me délecte à voir quelqu'un qui se voit à travers moi. C'est ça le miracle du voyage dans la littérature: voir se voir. Ainsi merci encore, Léo, Cordialement F Etienne. Sous l'eau de ma mémoire ondule un bruit d'écaille Que parfois le courant de son velours écaille.
LA VESTE
Publié le 01/05/2024
J'aime beaucoup ce texte, et on se rend tout de suite compte que rien ne va plus mais...mais, comme le dit le refrain... le texte est puissant et fort en images .. Restons quand même optimistes :-))
Furie-sur-Mer
Publié le 01/05/2024
J'aime beaucoup ce texte d'un paysage" défiguré" par la tempête mais qui : "J’aime ce joli Collioure-là, car il ne se vend pas." Il ne se vend pas car il se ressent, et dans ce texte, sans l'avoir en peinture il est devant nos yeux comme peint et on le ressent. Merci beaucoup
Le temps qui passe
Publié le 01/05/2024
Merci cher Léo pour ton commentaire chaleureux et clairvoyant. Bonne fin d’après-midi
Hommage aux facteurs du journal Le Nouvelliste
Publié le 01/05/2024
Le format papier disparaît de plus en plus, les journaux sont les vestiges d’un temps quasi révolu.
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 01/05/2024
Je te trouves aussi sévère Patrice mais ton opinion se respecte, tous les goûts sont dans les lecteurs et l’on a toutes et tous nos préférences et c’est ce qui est enrichissant d’ailleurs. Pour ce qui est des textes longs, le site va développer prochainement une fonctionnalité permettant de publier un roman par chapitres. Il est aussi à l’étude qu’il y ait la possibilité de mettre une “ancre” qui permette de lire la suite d’un texte long en s’y connectant à nouveau plus tard. Tout cela devrait permettre de lire plus et en cela je rejoins Jean-Luc, un site d’écriture ne devrait pas rebuter la lecture du long, surtout si c’est bien écrit.
Nappes de vent
Publié le 01/05/2024
Il n'est pas rare que ta poésie évoque des peintures, tout simplement parce que les mots sont aussi des touches de couleurs... c'est cette fois la sieste de Van Gogh que ton poème fait ressurgir, je l'ai affiché sur mon écran dans une autre fenêtre à côté de ton poème que j'ai lu une nouvelle fois et j'ai trouvé que c'était parfait pour contempler davantage encore les arts qui se conjuguent.
Le temps qui passe
Publié le 01/05/2024
C'est un texte intense car sincère et emprunt de sagesse.Les mots sont justes, posés dans leur simple appareil, en toute vérité. Il faut avoir la mort devant soi pour comprendre que le temps qui reste doit nous conduire à la paix intérieure pour voyager un peu plus léger ensuite. Et c'est dans dans ce processus comme tu l'écris si bien que l'on s'aperçoit des poids bien inutiles que nous avons transportés pour rien... il n'est jamais trop tard pour se sourire à soi-même et ça passe par se satisfaire de ce que nous ne serons plus.Ajouter enfin qu'il est inutile de se délester pour se charger de regrets, une charge pour une autre est une transaction bien inutile... A plus tard Evelyne.
Rouleaux de moire
Publié le 01/05/2024
J'ai toujours pensé que la poésie avait une vertue alchimique. Cette capacité à transformer le plomb en or, les mots en art, la tristesse en une larme d'espoir qui roule et dévale le flanc de notre dignité retrouvée... il n'y a que la poésie qui sache pardonner à notre condition humaine, qui sache toujours nous raccrocher à un fond de beauté, nous confier que peut-être...
Salve d’ardoise
Publié le 01/05/2024
La vieillerie sous ta plume c'est le temps qui s'échappe en d'ultimes souffles poétiques. Disparaitre est ce que nous avons de commun et c'est une chose qu'il faut apprendre à apprivoiser. Nos mots filent en nos clepsydres intérieurs, ils égrènent nos âmes et témoignent de ce qui sera plus, c'est en cela qu'ils sont extrêmement précieux. Merci pour ce poème.
Pourquoi avoir voulu faire publier « Ambre Gris » ?
Publié le 01/05/2024
La musique et l'écriture c'est l'expression de l'âme et des sentiments, tout cela es bon pour le développement personnel et voici déjà une excellente de s'y mettre. Comme disait Oscar Wilde "Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec on atterrit dans les étoiles". Le bonheur suprême c'est de se contenter de ce que l'on a et d'en jouir pleinement, je médite souvent à cela lorsque je me met à rêver en plus grand, et j'y gagne à chaque fois un sourire entendu.
Aux basses rives du Styx
Publié le 29/04/2024
Chère AE Myriam, Votre bonne impression devant ce texte me ravit et je vous en remercie. Je vous remercie aussi pour vous être abonnée à mes publications aussi spontanément. Le conte fantastique me donne un grand plaisir à écrire. La rapidité et la foison des détails doivent être le maître mot, en peu de lignes, comme ces chateurs d'opéra qui n'ont que quelques secondes pour la note ! C'est assez proche d la nouvelle. Les plus belles sont à trouver chez Maupassant ou Zweig. Un jour m'y essayerai-je peut-être mais je n'y suis ni rompu ni prêt à me rompre. Merci encore pour ce merveilleux commentaire et vos désormmais fidélité. Cordialemen, F Etienne
Hora d’un long silence
Publié le 29/04/2024
Cher jean-luc, magnifique expression de tes impressions devant cette page et de ta richesse intérieure ! Vous lisez non pas entre les lignes mais vous lisez à la lèvre des mots. Merci pour me donner tant de plaisir à respirer un parfum de lilas, s'exhalant de vos mots. Les vers sont parfois des cuirasses sous lesquelles battent le coeur des chevaliers, et parfois ces palais dont brillent l'Andaloousie. Il n'est pas simple de leur faire la morale ! mais comme vous le savez, je suis presque aussi aguerri que Don Quichotte. Merci encore, et à très bientôt. F Etienne
Tentaculaire espoir
Publié le 29/04/2024
Cher Léo, La délicatesse c'est aussi la tienne pour cette belle remarque. J'aime beaucoup pierre à pierre. Ce sont des mots de ma collection aussi, et j'en ai été très touché. J'aime beaucoup ce sonnet. Il est rare que je m'exprime sur mes propres compositions, mais pour celui-ci j'ai une faiblesse. Comme tu l'as écrit il y a de l'instant et de l'éternité dans ces lignes, la couleur en particuliers me charme. Les heures que j'ai passées à saisir ces deux éclairs m'ont été offertes avec tant de délicatesse, précisément, et j'en vénère les plaies. A bientôt, Léo, Cordialement , F Etienne De la nuit de ce jour naîtra comme un visage Une lance de feu lancé depuis Carthage.
Pagaille de paillètes
Publié le 29/04/2024
Merci Léo, ton appréciation de haute voltige me touche tant et me rend tellement nostalgique; C'est une sorte de philtre. Les mots parfois explosent aussi. Il faut en prendre garde, mais les bombes aussi éclatent et il faut bien sûr, le savoir. J'ai souvent l'impression de me répéter avec toi, un peu comme avec un vieux copain, mais comme je n'ai pas de mémoire (ça prend trop de place), je palie avec un sourire à peine embarrassé. On a tous des défauts. L'art d'écrire s'apprend. L'art de lire n'appartient qu'à quelques uns, comme toi; C'est un privilège. Lorsque j'ai commencé à rassembler ma boîte à mots, vers dix ans, je ne savais pas pourquoi mais j'en avais la passion. Plus tard j'ai flirté échangeant des lettres d'amour avec des inconnues de mon âge, et enfin j'ai voulu écrire. Depuis tout m'est papier et tout m'est encre. Quelles confidences, ce soir ! Cordialement F Etienne. Une piastre d'or roule sur l'abreuvoir Où viennent les troupeaux quand le temps va pleuvoir.
Comprendre le «parler français» d’Haïti en temps de guerre contre les citoyens...
Publié le 29/04/2024
Grands Remerciements. Ils s'en rendent compte lorsqu'ils fuient (la main sur rien): la main sur leurs grosses valises...
Comprendre le «parler français» d’Haïti en temps de guerre contre les citoyens...
Publié le 29/04/2024
Grands Remerciements. Ils s'en rendent compte lorsqu'ils fuient (la main sur rien): la main sur leurs grosses valises...
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 29/04/2024
Je suis sincère et bienveillant, au delà, c'est trop compliqué pour moi. Je crois n'avoir agressé personne. J'ai dit mon avis. Certains s'en nourriront, d'autres pas. C'est le principe ici. Et c'est pour ça que j'aime ce site. Merci pour ta sincérité, cher Jean-Luc. ;-)
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 29/04/2024
Cher Patrice, je profite de ton commentaire pour te dire ici mon avis : je te trouve un peu dur depuis quelque temps à propos des textes "longs". Après tout, souviens-toi, nous avons été plusieurs à lire « sur un écran d’ordi » de longs extraits de ton ouvrage en construction, et nous y avons pris plaisir autant que tu sembles avoir apprécié que nous y apportions notre ressenti et nos remarques. Tu sais bien que, parfois, le sens et l’émotion peuvent être anéantis « par une trancheuse à jambon », que le tout est supérieur à la somme des parties. Le Peuple des Mots autorise chaque auteur à l’expression dans la forme qu’il souhaite. Comme il autorise chaque lecteur à apporter avec bienveillance des avis et suggestions pour essayer de porter chacun de nous vers le meilleur. Or, sur ce point très précis de la « longueur » d’un écrit, ton avis (qui n'est qu'un ressenti pour ton confort de lecture), dont tu as l’honnêteté de dire qu’il n’engage que toi, n’apporte rien de constructif à une époque où l’écran devient à minima un passage obligé avant le papier, tel que toi-même t’y es soumis en un temps. Par contre, vois-tu, tu seras bienveillant avec moi si tu me dis qu’il serait plus juste ou non d’écrire « nous fumes plusieurs à lire de longs extraits », plutôt que « nous avons été plusieurs à lire de longs extraits », puisque je n’ai pas ton talent dans l’usage de la grammaire, mon gros point faible :-))
Hora d’un long silence
Publié le 29/04/2024
Happé depuis longtemps par la frugalité, prétentieusement peut-être par une forme d'ascétisme, me voilà subitement ébloui par un bijou... de sens ! Quelle belle rencontre avec ce luxe « d'insolence » contre-sybillin si incisivement ciselé… Délicieux camouflet à l’à-peu-près des mots, et à ceux par trop avides d’embobiner des esprits déjà par trop embobelinés. Que dirait aujourd’hui Alexandre Arnoux, lui qui écrivait déjà « Ah, ils t'ont bien embobichonné, les capitalistes, les vautours! » tandis que je biberonnais au bistrot de La Tétine ? Merci Francis pour cette subjuguante expression de ton talent.
Pour le reste, c’est vous qui savez.
Publié le 28/04/2024
Superbe ce texte. Il remet les questions éternelles au centre de l’écriture. La proximité d’autrefois, les camaraderies, les retrouvailles de loin en loin, les souvenirs communs, l’indifférence dont on s’étonne et la mort qui apparaît dans l’ordre des choses. Quelle poisse cette maladie et le diagnostic est d’une violence... parfois seulement 6 mois. C’est tentant d’être dans le déni de se dire que c’est juste un trouble articulatoire… Tout ça pour terminer avec une appli de CCA quand on parvient à la mettre en place et à recevoir les patients rapidement. 6 mois c’est le laps de temps pour oublier d’appeler un ami et le temps dans lequel une personne qui vient de se prendre ce diagnostic en pleine face peut s’éteindre. Comme tu dis, pour le reste c’est vous qui voyez… je trouve que ce serait dommage de s’éteindre avec des regrets.
Comprendre le «parler français» d’Haïti en temps de guerre contre les citoyens...
Publié le 28/04/2024
Comment rendre le quotidien des autres plus chaotique… Ajoutent-ils des contraintes à loisir pour oublier qu’ils n’ont la main sur rien? Attendent-ils un pourboire pour faire plus vite? Mystère. En tous cas, j’apprécie beaucoup vos chroniques
Comprendre le «parler français» d’Haïti en temps de guerre contre les citoyens...
Publié le 28/04/2024
Comment rendre le quotidien des autres plus chaotique… Ajoutent-ils des contraintes à loisir pour oublier qu’ils n’ont la main sur rien? Attendent-ils un pourboire pour faire plus vite? Mystère. En tous cas, j’apprécie beaucoup vos chroniques
Alvéoles d’ambre
Publié le 28/04/2024
Alons alors, voguons vers le Cap de Bonne Espérance ! ce cap gardé par un monstre marin, un cap où les Romains voyaient une des entrés de l'enfer L'errance est le propre des navigateurs. Elle les conduit presque tous vers la superstition, mais l'errance est aussi le vaisseau du poète, celui que Noé avait construit, avant le déluge, celui aussi de ceux qui voyagent. dans l'infinité. Comme ta parole est visionnaire ! Merci, Léo, merci. Comme je suis fatigué de ma nuit précédente, je répondrai demain à tes autres billets. Cordialement., F Etienne
Pyramide d’insectes
Publié le 28/04/2024
Cher Jean-luc, lire tes mots m'embrassse la pensée. Tant de miniatures, de confidences, tant de voix aussi, qui traversent au fond de ton regard et sur tes lignes si gracieuses. L'émerveillement qui te happe c'est celui de ton coeur seul face à ces mots, qui sont légions, et je comprends. Merci encore, Jean-luc cordialement, F Etienne
Pyramide d’insectes
Publié le 28/04/2024
Merci Léo pour cette belle analyse ! Toujours ta profondeur de lecture m'étonnera. Tout est mirages et miroirs. Toute l'hunanité jusqu'à la fin restera aveugle. Les poètes le savent, les poètes le voient et les poètes le disent. Ainsi toute l'humanité jusqu'à la fin restera sourde aussi. Pourtant une âme comme la tienne le sait presque instinctivement. Ainsi peines ou blessures, soif ou faim, nuit ou jour, ne comptent plus vraiment quand l'oeuvre se battit. Merci, Léo, merci de tout cœur; Cordialement, F Etienne