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Frise de mots
Publié le 28/04/2024
Bonsoir Léo, Je suis de retour; Tu lis dans mon oeuvre comme tu lis ma vie, avec une immense tendresse. Ton évocation de l'aspect biblique de l'écriture est fort exacte. Je porte en moi une partie de judaïsme. Depuis très longtemps. Tu en trouveras beaucoup de traces dans le Voyage bleu; Je me suis enfin décidé il y a quelques années à commencer à apprendre l'hébreu, et ça continue encore une fois par mois avec un professeur majestueux dans un groupe de huit à dix personnes. La langue me donne un étalon d'éccriture. Puis il y a aussi dans ce poème la présence d'une nostalgie lente, une autre de mes manies d'écriture. merci Léo pour ton soutien si précieux. Cordialement, F Etienne, Quand passera le jour comme une caravane Surgira la lion du fond de la savane.
Paris-Plage
Publié le 28/04/2024
Pareil en corrigé. Cela me surprend que j'ai aimé ce texte. Le milieu dont il traite, je ne le connais pas, sans doute parce qu'il ne m'est pas sympathique. Mais il s'agit quand même d'êtres humains, quoi qu'on en dise... ^^ Et les relations sociales continuent à me passionner en même temps, je m'en rends compte, que le vieillesse. On ne peut guère parler de passion ici, plutôt d'obsession. Peut-être aussi que j'aime "Paris-Plage" car il me parle des femmes, autre objet de contemplation en ce qui me concerne. Le texte n'est pas trop long et je n'ai nulle part ressenti de remplissage. C'est amusant et parfois incisif. Et puis, c'est bien rythmé, soutenu. Bravo !
Paris-Plage
Publié le 28/04/2024
Quel suspens, on ne saura pas cette fois si l’égocentrée Hélène parviendra à évacuer toute sa frustration sur une nouvelle idylle. Ton texte manie admirablement bien le champ des apparences et des décors surfaits qui donnent l’illusion du privilège. Il donne à réfléchir sur la vacuité des destinées et du temps qui passe sans se retourner, c’est aussi froid que cet été est suffoquant… merci beaucoup de ce partage, dans l’attente d’une suite.
Paris-Plage
Publié le 28/04/2024
Cela me surprend que j'ai aimé ce texte. Le milieu dont il trait, je ne le connais pas le milieu sans doute parce qu'il ne m'est pas sympathique. Mais il s'agit quand même d'êtres humains, quoi qu'on en dise... Et les relations sociales continuent à me passionner en même temps, je m'en rends compte, que le vieillesse. On ne peut guère parler de passion ici, plutôt d'obsession. Peut-être aussi que j'aime car "Paris-Plage" me parle des femmes, autre objet de contemplation en ce qui me concerne. Le texte n'est pas trop long et je n'ai nulle part ressenti de remplissage. C'est amusant et parfois incisif. Et puis, c'est bien rythmé, soutenu. Bravo !
Comprendre le «parler français» d’Haïti en temps de guerre contre les citoyens...
Publié le 28/04/2024
L’incipit de ton texte est vraiment magnifique. Un nouveau texte qui donne à voir les difficultés quotidiennes sur des actes essentiels et indispensables, il en faut du courage pour supporter tout cela.
La Maison Blanche et le Quai d’Orsay au chevet de la petite armée haïtienne...
Publié le 28/04/2024
Nous avons l'impression... que gouvernance et diplomacie font des excès de promesses... Grands Remerciements
...le plus cher de nos mondes silenciés !
Publié le 28/04/2024
Ce passage donne l’envie de lire tout le reste, je me remémore mes lectures du trésor des Mascareignes où tu donnais aux personnages une densité saisissante et attachante. Cet extrait est intense, tu as cette capacité rare de toucher en plein cœur les drames des autres dans celui u lecteur. On est suspendu à chaque phrase et chaque saillie de souffrance nous percute comme si l’on était dans cette même chambre où se dénoue les drames incommensurables . Vivement la sortie de ton livre.
...le plus cher de nos mondes silenciés !
Publié le 28/04/2024
Voici un extrait choisi d'un roman d'initiation arrivé à sa huitième et dernière (j'espère) phase d'écriture/correction, que je vais soumettre à éditeur dans quelques semaines. "Les Amants du Maestrazgo" parle de courage, d'engagement, de valeurs et d'empathie, de terre et de patrimoine rural, de guerre et d'amour, un hommage que je tiens à rendre à certains des invisibles de nos sociétés. Ces élites ignorées qui construisent nos campagnes... en silence ! Je vous en souhaite bonne lecture.
Pyramide d’insectes
Publié le 28/04/2024
À lire sur quelque éminence étrange du désert des Monegros ou de Tabernas, là où j'aime longuement me perdre quand je le peux :-)) Le titre seul me happe, moi l'avili de nature. Mais je rejoins Ô combien les pensées de Léo, par le sens aigu qu'il a de décrypter les messages.
Chapeau-claque
Publié le 28/04/2024
Si vous saviez comme vous me faites plaisir ! Le corps impose parfois des silences quand il refuse d'écouter ce qu'esprit veut. Mais puisqu'il a son existence (qui m'indiffère trop souvent !) j'ai bien dû me résoudre à écouter son mal, raison de ce retour bien tardif. Je rassure, les deux se sont réconciliés et je vais mieux :-)) Alors je sombre à nouveau dans les délices souvent douloureux de mes écritures, pour qu'aboutissent "Les Amants du Maestrazgo". et je suis heureux d'y glisser les "confettis"... "comme un long concerto". Bien sûr, cher Francis que je penserai à vous avertir si, d'aventure de secrets d'édition, mon roman trouve sa lumière. Quand ? Plus que moi sans doute, vous savez les hasards qui entourent la réponse ! MERCI
Rouge piment
Publié le 28/04/2024
Quelle belle lecture et quelle extrême communion dans ton expression avec l'auterur que je suis. Je voudrais presque te vouvoyer. L'écriture de "haute intensité" est enchaînée à la souffrance et esclave de la tourmente, celle de la solitude et de l'absence. Mon écriture n'est pas une exception. Le poète qui m'étouffe boit ton écuelle. Sauras-tu jamais le beame que tu verse sur les lèvres ? En creusant le papier de mes pages froissée, j'ai parfois mouillé d'une parole fainte mon attente du temps. Les heures dépensées, les regards refermés, les gares éphémères et les geôles de l'âme, je esi ai presque éteintes, mais la passion d'aimer n'a jamais failli. Mon écriture en témoigne la foi. Bien sûr, comme toi, la vie m'entoure. Ce soir, par exemple j'avais invité mes voisines,, quatre, et compagnons, à boire une coupe. Je suis, enfin, seul, il est presque une heure. et enfin, puis-je parler avec toi. Une douce torture. La pauvreté me déchire l'âme, et je la fuis pas sans ressentir le poids de la trahison. Pardon, Léo, pour moi seul, le bouleversement des mots, est un bris de pétale. La nacre du parfum colore ma toile d'une poussière de silences infinis et insondables. Un homme en renaissance quitte ses vieilles sandales. Merci, Léo. Demain je répondrai à tes autres commentaires. Cordialement, F Etienne Le fleuve d'une nuit coule dans le sommeil Comme un voile de lin qui couvre le soleil.
Aux basses rives du Styx
Publié le 27/04/2024
Très beau texte. On a l'impression de se promener dans une rue de Londres au XIXème siècle, on ne sait si les passants sont des ombres ou bien des personnages réels, on voyage dans le temps entre le clavier proposé par le neurologue et la boutique étrange et inquiétante. L'échoppe, je l'imagine un peu comme celle du "Pied de la Momie" peut-être parce qu'il est fait mention d'embaumement ou bien de cartouche à sept glyphes et ça m'a transporté dans cet univers-là. Quant aux auteurs que vous citez, je n'en connais aucun mais vous me donnez envie de les lire. Bravo.
Tentaculaire espoir
Publié le 27/04/2024
J’aime énormément la progression de ce poéme qui débute pierre à pierre pour terminer côte à côte sans que même le temps n’ait de prise sur l’instant qui s’est choisi comme éternel… beaucoup de délicatesse infinie.
Pagaille de paillètes
Publié le 27/04/2024
De la haute voltige jusque l’empyrée, là où les langues de feux se délient pour consumer une énième victime et croître toujours plus jusque l’autodestruction…
Alvéoles d’ambre
Publié le 27/04/2024
La conscience qui vacille après tant d’errance en s’en remettant à la destinée et à l’instinct de survie. Les mots sont à consommer sans modération lorsque l’on y crois plus vraiment. Les mots sont le souffle qui gonfle la voile pour filer vers le cap de bon espérance.
Pyramide d’insectes
Publié le 27/04/2024
Des grandes immensités naissent souvent les plus grands des mirages, ces images si insensées au moment où l’on a le plus besoin qui nous poussent à y croire, c’est de cet espoir si ténu pour la vie mais si grand pour l’âme de se donner les moyens de la lutte que peut survenir à quelques lettres près, le miracle.
La Maison Blanche et le Quai d’Orsay au chevet de la petite armée haïtienne...
Publié le 27/04/2024
Lorsque l’on est désillusionné on ne peut pas s’empêcher de penser que les promesses n’engagent que. Elles et. Eux qui y croient… elles sont à doubles issues, soit pour faire naître les plus grands espoirs (qui finissent par y croire et se réaliser), soit par être trahies et faire naître le plus grand des chaos.
Frise de mots
Publié le 27/04/2024
Ce poème à mes yeux ont un fort attrait biblique, la force de ton évocation m’ont fait pensé par le berceau à Moise puis à toutes les plaies d’Egypte qui se sont abattues. Ta poésie porte la toute puissance des éléments qui malmènent les destinées humaines dans leur for intérieur. On se sent si petit et si humble lorsque les difficultés nous assaillent, seul le cœur peut braver les titans.
Rouge piment
Publié le 27/04/2024
La nuit et ses démons qui ne résiste pas à la puissance d’un jour émancipateur. Un nouveau poème qui navigue entre deux eux, celles du désespoir et de la beauté qui fait front. Merci Francis Etienne.
Un serviteur public honnête en larmes, après son enlèvement
Publié le 24/04/2024
Bonjour à vous, c'est ardu à lire de mon côté car je ne possède pas les connaissances suffisantes... Du point de vue du style vous semblez vivre au premier plan d'une vraie chronique, en plein "territoire comanche" pour reprendre l'expression de A.Perez Reverté. Tous les "petits faits vrais" captent les dimensions historiques du moment que vous vivez. J'ai cherché l'identité du narrateur: ce n'est pas romancé comme "Territoire Comanche" avec ce narrateur qui attend la chute du pont de Mostar, il n'y a pas non plus le regard de surplomb du narrateur de l'étrange défaite, c'est plus proche du style du journal: en tous cas, c'est un témoignage très précieux.
Sphinx - Une histoire du Sunset Palace — extrait—
Publié le 24/04/2024
Grand Bonjour et... Joyeux Anniversaire! Là où je vis, il y a tant de complications que fort souvent Vous aurez l’impression que je ne vous suis pas avec l’attention qu’il faut! Loin de là ! Vous occupez une belle place dans mon coeur.
Un serviteur public honnête en larmes, après son enlèvement
Publié le 24/04/2024
Mon Cher Leo, côté tragique de l’affaire, 72 heures après l’inauguration (?) du pillage, les actes continuent. Comme autorisés par une «autorité» très supérieure… Grands Remerciements!
J'ai rêvé que je faisais un kicker avec Benoît Poelvoorde
Publié le 24/04/2024
Merci Myriam ! Une amie a peut-être trouvé. Isabelle Huppert fait partie du "club des grands". Et dans ce club, on ne veut pas de moi. Je ne suis pas des leurs. Ça me parait pal mal plausible. Benoît Poelvoorde aussi me direz-vous fait partie du club. Oui, mais il a une bouille tellement sympathique et surtout, il est la parrain de l'Intime. Pour l'instant, je n'ai pas trouvé mieux en tout cas. Merci pour votre intérêt, chère Myriam. ;-)
LA VESTE
Publié le 24/04/2024
Les belles images comme "les gouttes de soleil"... toutes ces trouvailles éclatent sous les yeux comme autant de formes vives. Avec les rimes et le refrain, cette veste dicte son propre rythme, elle contraint à ralentir le pas pour profiter du voyage. J'aime beaucoup.
J'ai rêvé que je faisais un kicker avec Benoît Poelvoorde
Publié le 24/04/2024
À la première lecture (sans savoir ce que veut dire "un kicker") j'ai eu l'impression qu'Isabelle Huppert allait prendre une sortie pour carton rouge. À la deuxième lecture, il reste une énigme à élucider: la présence d'Isabelle Huppert à côté de la famille Groseille. Tout tient peut-être dans le secret des rêves et celui-ci valait la peine d'être écrit.
Tiare de soie
Publié le 23/04/2024
Vraiment sensible, tu l'es et merci pour me témoigner à chaque page publiée une remarque toujours si laudative. Magnifique lecture. Venise m'envoute depuis l'enfance. C'est une ville centrale de mon long récit intitulé " Le voyage bleu ". ( Si tu le souhaite, je t'en envoie un exemplaire par la poste. Je t'écris un mail à ce sujet, ce soir. ) Venise c'est aussi Casanova. Venise c'est Vivaldi. Venise c'est Veronese et c'est le centre de l'esthéisme du monde. (on rejoint presque la gare de Perpignan, centre du monde selon Dali !) Venise oscille en moi comme un balancier de pendule, et guide mes pas bien au-delà de l'horizon si beau pourtant à Venise. A bientôt, Léo, et merci F Etienne Le damas bleu d'émail et son velours de ciel Traînent sur un écrin comme un bris d'arc-en-ciel.
Outre de sang
Publié le 23/04/2024
Cher Léo; la mention de Dali me ravit ! Merci ! La mémoire est notre coffre-fort à vie. Nous y enfermons nos trésors, nos précieuses images et les voix les plus ravissantes. Et lorsque nous ouvrons une mémoire, nous y trouvons un homme. Je suis, te l'ai-jei dit, un lecteur pétrifié de Giacomo Casanova, chevalier de Saint Gall. Ses mémoires (Histoire de ma vie) me rendent muet d'extase. Il est un des écrivains qui a polit mon marbre brut, l'autre bien sûr c'est Marcel Proust. Merci, Léo, ta chaleureuse parole me réchauffe l'âme. En passant par la nuit j'ai trouvé un chateau Où l'on fêtait le jour sous un grand chapiteau.
Hora d’un long silence
Publié le 23/04/2024
Certes, Léo, il faut un peu de talent, pour écrie, mais il faut beaucoup de talent pour laisser un tel commentaire. J'ai écrit ce texte après le sept octobre Le poète est aussi celui qui écrit des épopées Je pense par exemple à Joinville, biographe du roy. Les mots ont en eux une puissance inouïe qu'ils ne relâchent que lorsque la parole est touchée. C'est aussi un art d'apprendre à s'en servir, en gonflant la peau des mots d'une sainte colère. Parfois, je m'entrâine aussi sur ce sujet. Merci encore, tu éveilles en moi un grand désir de t'offrir ce partage de pages Cordialement F Etienne. La rive d'un instant abrite une caresse, Qui regale la mer a son premier baiser d'ivresse.
Tiare de soie
Publié le 22/04/2024
Du poison qui se pare de ses meilleurs atours au vent de la compromission qui conspire dans l’ombre de sa nuit, ton poème m’évoque cette fois Venise et sa cavalcade de masques qui virevoltent aux abords du pont des soupirs, accompagnant les condamnés dans leur désolante fin.