995
Textes
3859
Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
Il Pianista
Publié le 22/10/2024
Bonsoir Myriam ! Je vous remercie pour votre réponse. Ce que j'attends en écrivant ici c'est une bienveillance réciproque et rien d'autre. Avoir cela me permet de retrouver confiance en moi comme en les autres, et je suis ravie que le respect s'impose. Quant à Dente je viens de le découvrir, je ne le connaissais pas. Cependant la raison qui vous a amené à me poser cette question m'interpelle...
Le matin d'un jour sans flamme.
Publié le 22/10/2024
Merci ! Et je vais regarder à ce frétiller mais oui j'ai senti que le thème me permettait de m'exprimer. Ma plumé est très réduite. ;-)
État des lieux
Publié le 22/10/2024
Et l’on rêverai connaître ces livres qui conjurent et osent défier la nuit planquée six pieds sous terre. Un texte court mais qui laisse énormément de choses en suspens. Le silence vaut bien des paroles, et les livres bien des vies. Merci Floriane.
Le matin d'un jour sans flamme.
Publié le 22/10/2024
Café- (presque) clopes - souvenirs… le combo gagnant pour un souffle de nostalgie. Ça fait vraiment plaisir de te voir renouer avec ton écriture, la tienne, authentique et vraie, naturelle et du coup fluide. Il n’y a que « ne me fait plus frétiller » que je trouve gênant et même pas très élégant du tout. Continue sur ta lancée !
Toile de fruits
Publié le 22/10/2024
Ravins, murs et murailles qui viennent à empêcher, l’eau croupie ou au sang vif dans laquelle semble s’écouler la malediction. Sans compter la nuit, les ombres et même la boue qui prennent place contre un grain de soleil ou quelques bulles de lumières. Mais tant que la lumière fait acte de résistances l’espoir est toujours permis.
Toi
Publié le 22/10/2024
J’espère qu’avant de partir il lui a acheté des chaussettes de yoga girl…
Moires et sables
Publié le 22/10/2024
Cher Léo, merci beaucoup pour un commentaire qui une fois de plus analyse et perçoit parfaitement l'équilibre poétique de ce texte. En effet, « sur la tranche de l'éphémère » « une implacable dualité » fait pencher le destin des hommes d'un côté ou de l'autre. Et quels sont ces deux côtés ? Le bien et le mal. L'idée chrétienne du péché est la même. Tous les hommes tombent un jour ou l'autre du mauvais côté et si je suis en principe d'accord avec Rousseau « l'homme est bon par nature » parce qu'il est une création de Dieu, je ne suis pas d'accord avec lui lorsqu'il nous dit que la société est la source de sa corruption. La société ne fabrique pas le péché, ni le mal, la société est amorale. Elle n'est que la somme des consciences individuelles, et il est rare de voir une société entière pencher du côté du mal, même si l'Allemagne des années 1930 pourrait faire penser à ce que cela soit vrai. C'est ce que aujourd'hui nous vivons aussi, un aveuglement de certaines tendances de la société sous l'influence de doctrines fumeuses peut nous faire penser qu'une société peut devenir mauvaise et détruire ses membres par doctrine, en somme une forme de médicaments puissants. La poésie par contre traduit cette « partie étroite de l'éphémère » qui montre le bien et le mal. C'est un peu la vue de Faust qui tente en promettant, ou celle du diable qui tente le Christ dans le désert, étalant devant chacun de la tentation. Or la poésie présente aussi cette tentation, par la beauté des mots et surtout par la proximité du souffle du diable. La poésie est un étrange moyen de s'habituer au diable. Mais me voilà déjà embarqué dans un commentaire de plus en plus sournois. Aussi laisserai je la mon propos ! En tout cas merci encore pour ton beau commentaire et surtout pour ta fidélité. Cordialement à toute suite. Francis. En pipant des dès d'or on joue à hazarder Quelques mots de bonheur qui aiment lézarder.
Il Pianista
Publié le 22/10/2024
Chère Lucie R, je viens de lire l’élément supplémentaire dans ta biographie. Les productions seront peut-être variables pendant un temps mais tu sais je crois sincèrement que chaque partage de texte ici est un cadeau et une marque de confiance du moins je les lis comme ça. En ce qui me concerne, je souhaiterais que ce lieu soit un espace sûr pour tous et non un endroit où l’on se sent jugé. En tous cas, en récitant ton poème j’ai bien cru retourner en Erasmus et c’est très plaisant. Merci du partage ! Question subsidiaire: si tu aimes la poésie, est-ce que tu aimes les poèmes/chansons de Dente? Donc merci du partage. A bientôt Lucie R
Las d'errances
Publié le 22/10/2024
Bienvenue à vous et bravo. Vous nous offrez un très beau texte très bien écrit et très juste aussi. L’arrivée de la fée m’a fait penser au conte de la petite marchande d’allumettes. Peut-être la dureté, la misère la froideur extérieure à laquelle l’âme résiste par une douce hallucination. J’aime la littérature enfantine ça doit être pour cela. La présence de la fée même si elle est hallucinée est salvatrice et donne une note d’espoir qui permet d’échapper au fameux triptyque errance, déshérence, désespérance terrestre: c’est très fort car car cette figure rêvée est céleste tout en étant présentée dans un cadre hyper réaliste. Très belle lecture pour moi et merci du partage !
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 22/10/2024
Hello, je trouve le temps de te lire… et de voir que tu consacres au salto finalement.
HEY YOU_2
Publié le 22/10/2024
Bonjour et bienvenue Engome. Malheureusement, n’ai pas eu le temps de lire ton texte HEY YOU 10 avant qu’il ne disparaisse. C’est dommage que la critique ait conduit à supprimer ce texte avant que d’autres ne le lisent. Tous les avis ne sont pas identiques. Celui-ci est rudement bien construit avec une architecture solide qui sert le rythme. J’apprécie particulièrement la pensée introductive qui campe le motif de la visite, l’alternance entre discours rapportés, discours intérieurs et la mise en place des concepts au cœur de la vie quotidienne et de la conversation ainsi que la chute. Les concepts sont incarnés dans ton texte. C’est super. Peut-être que l’autre possédait une architecture moins solide. Cependant comme chez le coiffeur, il vaut mieux avoir beaucoup de matière à mettre en forme que d’écrire une perfection plate et égale. C’est plus prometteur je trouve. Surtout quand on fait la liste des premiers essais moyens d’auteurs géniaux: Jean Santeuil, Le Rose et le Vert … etc. A côté, on peut lire du Octave Feuillet dont les textes sont parfaitement plats. Bref, je trouve que le style ce sont des défauts maîtrisés. Dans ce sens, nos textes imparfaits il faut les chérir très forts je crois. Ils sont toujours perfectibles et ensuite ils recèlent en les travaillant la pâte d’un style inimitable. N’hésite pas à laisser poser plus longtemps ta patine que j’aie le temps d’y jeter un œil la prochaine fois. Encore bravo et bienvenue !
Que reste t'il hélas
Publié le 22/10/2024
Bonjour, vous m'avez emmenée en Egypte, avec vous, grâce à vos mots, et, j'ai beaucoup apprécié le voyage ! Merci.
Que reste t'il hélas
Publié le 22/10/2024
Merci pour ce commentaire très encourageant! Ces alexandrins m'ont rappelé des souvenirs. Je n'en fais plus beaucoup aujourd'hui. Ah, ce fameux vers... J'ai voulu, comme les romantiques, faire un trimètre, c'est à dire 4 - 4 - 4. Ça permet un vaste enjambement et casse le rythme. Mais c'est vrai qu'en poésie classique, il n'est pas toujours accepté de placer deux césures au lieu d'une. A suivre donc...
Ce matin là
Publié le 22/10/2024
Merci Leo pour ce retour. Les sujets de concours et des ateliers sont très bien pensés: ça facilite l'écriture un bon canevas. L'angle de vue est déjà donné: yapluka :) Mais j'attends avec impatience l'espace collaboratif car, vraiment, je ne sais jamais ce qu'il convient de développer. Ma plume est lacunaire: j'aimerai bien apprendre à développer ce qui doit l'être dans un texte. Bien que j'ai déjà publié 3 livres, c'est quelque chose que je ne sais pas faire. Aussi pour éviter les longueurs, je fais court. Des livres comme "La Perle" de Steinbeck ou "Shogun" de James Clavell sont des exemples de cette maitrise absolu du travail d'orfèvre dans l'écriture, de l'artisanat ciselé des mots, du "pas un mot de trop". Je sens que c'est le bon lieu pour apprendre à faire cela. Merci encore: Ce site est très bien organisé. Je ferai régulièrement des chroniques de livres.
Serpent à sonnet
Publié le 22/10/2024
Merci infiniment Engome, et de m’avoir lu, et de m’avoir laissé une marque de ton passage et l’estime de tes précieux mots.
Trahison de raison
Publié le 21/10/2024
Merci pour Thomas More dont j’ignorais même l’existence, une référence de plus, associée à ton analyse pointue qui semble créditer l’idée que l’Histoire est un éternel recommencement.
Moires et sables
Publié le 21/10/2024
De la sensualité troublée toutefois par des bruits et des ombres qui semblent conspirer de concert. L’envoûtant semble n’être qu’illusoire, pire, tragique, si l’on en juge l’enfer précédé du glas. Ton poème tout en subtilité et baigné de mystère, une nouvelle fois rappelle l’implacable dualité à laquelle s’adosse le bon et le mauvais, sur la tranche de l’éphémère.
Que reste t'il hélas
Publié le 21/10/2024
Franchement bravo pour ce sonnet à la demande de magnifique facture. A part « Qui résonnait : un sanctuaire, une cannisse ? » il me semble dans l’attente du retour de Francis Etienne que tout est impeccable techniquement, que ce soit dans le bon usage des césures et la justesse des pieds.mais brève de technicités, surtout que je ne suis que novice en cet exercice, c’est aussi le fond que j’ai beaucoup aimé. Qu’en est-il du faste et des civilisations passées ? La modernité semble comme tu le dis si bien aller de l’avant pour le meilleur et souvent pour le pire. Avec un dernier vers qui emporte tout sur son passage. Chapeau l’artiste, tu es vraiment épatant.
Las d'errances
Publié le 21/10/2024
J’ai vraiment passé un excellent moment de lecture Alain. Il y a toute la froideur des villes, l’invisibilité de celles et ceux qui y déambulent anonymes, la noirceur de l’âme que même la pluie en devient crade. Ça dégueule du quotidien avarié et ça crache juste ensuite les flammes de la détresse. L’enfer c’est soi dans un océan d’autres riens. Avec une chute tragique que l’on pressent venir, imparable. Est-ce que ça fait longtemps que tu as écrit ce texte ? En tout cas bravo car ce n’est pas simple de partager des textes aussi difficiles.
Trahison de raison
Publié le 21/10/2024
Cher Léo, merci beaucoup pour ce magnifique commentaire autour de ce texte. L'intensité dramatique se joue dans l'accumulation de détails funèbres, prévisibles et c'est vrai que l'on attend le dénouement que l'on connaît déjà. Comme tu le sais je suis très intéressé par l'histoire de France et j'y trouve souvent des figures dont le destin a été tragique et souvent inattendu. Les assassinats, les empoisonnements, les emprisonnements, sont les rouages de notre histoire. Et l'église, en particulier, soit parce qu'elle s'est rapprochée du pouvoir soit, parce qu'elle s'en est éloignée a été souvent l'exemple de ce type de drame. Souvenons-nous de ce saint assassiné en l'Angleterre par Henri VIII: Thomas More! Il semble qu'il y ait attaché au pouvoir une malédiction qui se traduit souvent par Un meurtre. Et ce qui m'intéressait dans ce poème c'est de mettre en valeur à la fois la naïveté du personnage central et en même temps sa lucidité, comme si il marchait de lui-même vers sa propre exécution, peut-être encore trompé par ses illusions ou par son fanatisme. Et on voit que c'est une constante dans l'histoire du monde et particulièrement de l'histoire de France jusqu'à nos jours où le pouvoir aujourd'hui est aveuglé par l'orgueil et afflige le pays de mensonges, qui un jour ou l'autre, seront mis au compte du procès des menteurs. Les hommes politiques de notre temps, ignorant l'histoire, ignorent aussi les grands couteaux de l'histoire. Aujourd'hui on ne guillotine plus mais on pourrait facilement aller vers des jugements patiaux et ce sera sera alors trop tard pour eux . Je ne m'intéresse pas du tout à la politique mais j'observe la politique de nos jours au regard de l'histoire passé, mais laissons là ce sujet si éloigné de notre belle poésie. Merci encore Léo pour ce commentaire qui enrichit le texte d'un galon de beauté. À plus tard. Cordialement, Francis Étienne. L'ourlet d'un pan de mur cache à peine le temps Qu'une aube de lin blanc laisse flotter au vent.
Il Pianista
Publié le 21/10/2024
Bonsoir Lucie, j’ai pris connaissance de l’élément complémentaire. Je trouve ton poème très harmonieux et l’Italien, comme des notes de musiques, se marient parfaitement bien avec la douceur et la beauté du propos. Merci également d’avoir mis la traduction de l’italien en français, c’est confortable pour le lecteur et cela donne à lire toute la précision des mots employés, qui concourent à cette belle harmonie. Bravo Lucie.
Ce matin là
Publié le 21/10/2024
Et bien moi je salue ton très beau texte, car ton écriture sait capter l’attention et la mener par le bout du nez car, connaissant l’objectif de l’atelier je savais qu’un autre était aux manettes mais très loin d’imaginer que ce serait un objet. Je trouve que ce point de vue épousé par ce qui tient éveillé et fait tenir est un parfait angle d’attaque pour, sur un texte très court parvenir à livrer énormément d’informations ; sur un fond intimiste, sur un ton sensible, sur une force et une détermination des plus fragiles. C’est tellement bien fait que je comprends la frustration d’un fils de Louis, mais elle tient au fait de coller avec la consigne de l’atelier. Je trouve et c’est un grand plaisir de le lire, que les livres ont une grande importance… dis moi ce que tu lis et je te dirais qui tu es. Dans « Gérer mes lectures » tu verras qu’il est possible de chroniqueur des livres, si tu as un peu de temps, ce serait avec grand plaisir que nous pourrions y découvrir tes recommandations et en plus ça débloque aussi des badges). À plus tard et encore bravo pour cette mise à nue réalisé avec classe.
Trahison de raison
Publié le 21/10/2024
Lorsque le pouvoir et la trahison annoncent les chutes les plus inattendues. Le malheur est la sentence d’un drame digne des plus grandes tragédies. C’est particulièrement efficace grâce à cette tension qui occupe de bout en bout ce récit funeste. Bravo, encore.
HEY YOU_2
Publié le 21/10/2024
Super ! J'attends lundi ! ;-) A bientôt, Engome. ;-)
HEY YOU_2
Publié le 21/10/2024
J'ai condensé finalement, je n'en publierai que 3 (en les renommant 1, 2 et 3). Je publierai donc le 1, lundi prochain. J'ai effacé les autres textes de qualité inégale: La barre est vraiment haute ici :)
Ce matin là
Publié le 21/10/2024
Bonjour un fils de Louis, tu as raison. Merci pour ton retour. Si on veut faire du neuf, c'est vers l'ancien qu'il faut se tourner. Rien ne se crée vraiment, rien ne se perd non plus: tout se transforme (Lavoisier). L'intertextualité est partout et les textes, au delà des auteurs, se répondent entre eux. Merci pour ce texte de Prevert.
Le bonheur d’aimer
Publié le 21/10/2024
Cher Alain, c'est avec grande joie que j'ai découvert votre poème dont le lyrisme m'a particulièrement touché. On y sent palpiter l'émotion, la sensualité, et la sincérité. Il reprend bien entendu le thème d'une déclaration d'amour mais il est original, par les formules parfois touchantes, parfois attendrissantes, et parfois anxieuses de votre écriture. Bravo et merci surtout d'avoir participer à cet atelier avec autant de ferveur et de qualité. Comme vous le savez, je vais maintenant aborder l'aspect technique des alexandrins sans les reprendre un par un mais avec des remarques qui peuvent s'appliquer à plusieurs d'entre eux . En premier lieu la plupart de vos alexandrins sont très corrects comprenant le nombre exact de syllabes. Toutefois certains ne respectent pas la césure, qui je vous le rappelle, est obligatoire et qui se place après la sixième syllabe. « Moi qui n'avais pour seul ami / que le vent » césure après la huitième syllabe. « Je t'ai rencontré. / Tu as transformé ma vie » césure après la cinquième syllabe. « De ma triste vie / tu as fait un paradis. » Césure après la cinquième syllabe. « À chaque instant, / mes folles pensées vont vers toi » césure après la cinquième syllabe. Et ainsi de suite on retrouve assez souvent ce détail. Ensuite vous avez construit des vers quelques-uns seulement dont le nombre de syllabes est incorrect. « Moi qui bâtissais tant de châteaux de craie » onze syllabes seulement. « Tu as fait de mon temps cette suite de bonheurs » treize syllabes, probablement à cause de cette que vous avez compté pour une syllabe. « Où le vent attise ma détresse » dix syllabes seulement. « Si par malheur un jour ton cœur se lasse de moi. » Treize syllabes. « Et jamais rien, ni personne ne l'en empêchera. » quatorze syllabes. Voilà quelques exemples qu'il sera très facile de rectifier. Dans l'ensemble les rimes sont correctes et parfois particulièrement riches ce qui rajouta à votre poème une enluminure sonore, vous avez fait rimer moi et pas dans le dernier quatrain, et la poésie classique refuse ce type de rimes, mais ce n'est pas très grave. Un dernier point concernant les vers se terminant par une rime féminine. Ils doivent effectivement compter treize syllabes et non pas douze, le muet étant considéré en fin vers comme inexistant, toutefois lorsqu'on compose l'alexandrin il faut scander ce E, sinon on risque de compter douze pieds avec ce E muet, ce qui n'est pas correct. Je relève également un détail un peu difficile à repérer qui est celui d'un E muet suivi d'une consonne. Le E muet doit être prononcé et par conséquent rajoute une syllabe. Pour éviter que ce E muet ne soit compté comme syllabes il faut le faire suivre par une voyelle, dans laquelle il se fond « sans toi ma vie n'est rien qu'une mer de tristesse » vous êtes obligé de prononcer le E muet de vie et ainsi compter le mot comme de syllabes vi-e, ce qui rallonge le vers d'une syllabe et le rend faux. « À chaque instant, mes folles pensées vont vers toi. » Pensées sera comptée comme pen-sé-es donc méfiez-vous de tous les participes passés au féminin pluriel comme par exemple : je les ai aimées, ces fraises. J'espère que mes longues explications ne vous découragera pas de continuer à écrire des alexandrins et je suis certain que vous pouvez parfaire votre écriture avec juste quelques petits efforts. Je vous y encourage car vous avez le rythme de l'alexandrin, vous avez l'inspiration d'un poète, et la sensibilité d'un être humain à fleur de peau. Continuez avec plaisir et courage. Encore merci pour votre participation qui m'a beaucoup touché. Comme vous le savez tout participant reçoit un « voyage bleu » que je vous enverrai dès que vous aurez communiqué à Léo votre adresse postale. Et en attendant le plaisir de vous faire parvenir cet ouvrage je vous salue très cordialement. F. Étienne
le Chant d'Isis
Publié le 21/10/2024
Cher Philippe, C'est avec sincérité que j'ai exprimé mon admiration pour votre facilité à construire des alexandrins, et je vous assure, de nos jours, il n'y a pas beaucoup d'écrivains qui sachent manier l'alexandrin. Donc bravo et sincèrement de tout mon cœur et je vous remercie pour votre poème dans la perfection et le style m'a enchanté comme je vous l'ai dit. Pour en revenir à une question technique, le e muet suivi d'une consonne est comme le hiatus une faute courante, mais il est facile de la corriger en faisant suivre ce muet d'une voyelle, ce qui réduit les deux syllabes à une syllabe. Je sais bien que pendant la composition on peut relâcher parfois la vigilance ! Et comme vous le dîtes même les plus grands poètes ont eu à faire face a ce point. En ce qui concerne l'envoi du « voyage bleu ». Je vous propose soit d'envoyer un commentaire à Léo, soit directement de me donner votre adresse dans un commentaire mais c'est moins discret. Il n'y a pas de fonction particulière qui permette de transmettre en toute discrétion une adresse. Léo étant le médiateur du site il vous répondra tout de suite. Encore une fois merci pour ce travail remarquable et bien entendu je ne peux que vous encouragez à continuer à écrire avec ce brio et ce classicisme qui m'ont enchanté. Cordialement, F. Étienne
Il Pianista
Publié le 21/10/2024
J'ai également ajouté un élément supplémentaire dans ma biographie que je voudrais, si cela ne vous dérange pas, que vous preniez en compte. Je vous remercie !