A l'intérieur de la bâtisse Le soleil, doucement, se glisse Dans les entrailles Du grand vitrail Où se faufilent ses rayons,
Qui prennent en main Leurs palettes de crayons Pour couvrir la pierre De leurs arabesques de lumière.
A la vue de cette peinture S'immisce dans mon coeur Une sérénité pure, L'inébranlable lueur D'un calme envoûtant,
Celui de la lumière dorée, Qui resplendit, Apaisant mon esprit Que rien ne peut perturber L'espace d'un instant charmant Où s'est arrêté le temps.
Lucie R.
(Texte et image non libres de droit.)