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Fosse à mémoire
Publié le 11/04/2025
On perçoit une décélération soudaine, où le vide semble prendre la relève. Est-ce le fruit d’un monde sans oxygène qui a toujours voulu aller trop vite ? Une pause qui semble salutaire dont les choix à suivre semblent être tout aussi déterminants. Reprendre son souffle et surtout ses esprits. Un poème méditatif, merci Francis Etienne.
Courage Dame Plume !
Publié le 10/04/2025
Merci Léo, je suis ravie d'avoir la possibilité de m'exprimer librement sur ce site, ainsi que de partager mon point de vue qui, je l'espère, suscite des débats, fais avancer la réflexion. Merci de m'avoir accueillie, je continuerai de lire vos créations et celles des autres avec plaisir.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 09/04/2025
Oui, j'y ai repensé cette nuit. Je pense que je peux surtout faire l'économie de cette présentation. Elle est utile dans la mesure où elle explique que Yazid sera un super as en robotique mais je peux y revenir plus tard, plus légèrement. Merci ! ;-)
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 09/04/2025
L’Angleterre je l’avais (difficile de ne pas l’avoir effectivement) mais la Palestine pas du tout, aucun indice d’ailleurs ne permet de faire le rapprochement, absolument rien. Ce que l’on a en tête, le lecteur ne le voit et ne le comprend pas, de l’importance en se relisant de tenter de lire avec les yeux du lecteur, en mettant de côté sa logique pour ne s’appuyer que sur ce qui est écrit, car ce qui ne l’est pas appartient à l’imagination du lecteur (pour ma part je pensais qu’ils avaient déménagé de la campagne vers la ville sans avoir quitté l’Angleterre), parfois loin de la trame sur laquelle tu veux l’amener, et c’est ainsi que tu risque de le perdre et de multiplier les incompréhensions.
Courage Dame Plume !
Publié le 09/04/2025
Merci Lucie pour cette belle participation, avec cette magnifique idée de structurer ce poème plein de sens, en de multiples Haïkus qui tirent le fil de ce bel hommage dans lequel une nouvelle fois les mots et leurs grands pouvoirs sortent vainqueurs. Je viens de voir également que tu vient de débloquer tous les avantages associés au profil auteure impliquée, tu vas ainsi pouvoir enrichir ton profil, à ta très belle participation s’ajoute donc tous mes remerciements pour ta présence et ton implication sur ce site qui lui donne sa raison d’exister. A plus tard.
Grimaces sans visage
Publié le 09/04/2025
Tous les éléments semblent déchaînés, défiants la paix et toute tentative d’apaisement. Seule la toute puissance du mot semble survoler le chaos. Ce dernier tercet les honore en une formule éloquente et pour reprendre le dernier mot, élégante. Un très beau poème à nouveau, grand merci Francis Etienne.
Parole interdite
Publié le 09/04/2025
Bonsoir Lucie et bravo pour ton texte coup de poing qui est très puissant car les mots le sont, et d’emblée, avec « des mains d’ombres couvrent ta bouche » , et d’autre part parce que ce qui à fait souffrir et qui impose le silence n’est pas nommé, le sont que les sentiments, n’importe quelles victimes peuvent donc s’y retrouver. De nombreuses formules percutantes qui remuent, et puis les mots comme solutions et cette implacable question : qu’en est-il pour celles et ceux qui ne les ont pas comme alliés, et pour mettre un terme à ce qui est subit et pour purger la souffrance pour tenter de se reconstruire, peu à peu. Un texte salutaire. A plus tard Lucie.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 08/04/2025
Merci Léo ! Je trouvais qu'il était temps de sortir un peu des ténèbres. Après ce vieux type complètement désespéré, l'arrivée de Yazid, personnage, jeunes, optimiste, qui jouera un rôle clef, m'a semblé offrir une pause au lecteur pour ne pas tomber dans une tragédie française d'après guerre où l'on broie du noir du début à la fin. La récupération de "La petite souris grise" va dans le même sens. Un roman noir doit-il n'avoir aucune fenêtre ? Mais je comprends ton point de vue. Et je te remercie de l'avoir exprimé. Je vais voir sur la longueur. Le chapitre suivant également est plus lumineux. Sinon pour ta remarque, je comprends qu'il puisse y avoir un manque de clarté. Je vais y revenir. Toutefois, j'ai insisté sur le là-bas où la situation était différente. Là-bas, nous étions mes trois sœurs, ma mère et moi, contrairement où ici, il n'y a plus que ma sœur, mon père et moi. Là-bas, nous avions un magasin de machines agricoles, en plus de ma cousine qui, là-bas, récoltait des olives. Je pense qu'on voit assez bien quel pays est figuré par le là-bas, la Palestine. Pour le pays, où se trouvait Yazid ensuite, il s'agit assez clairement de l'Angleterre puisqu'on parle de Tea room, de timbre anglais, de Linda Johnston, et de la Royal mail company. Il me semblait donc assez clair qu'il s'agissait d'une famille palestinienne réfugiée en Grande-Bretagne. Il aurait eu vraiment beaucoup de chance, le père, de retrouver un travail dans sa spécialité et à son rang. Donc, qu'il ait du se contenter d'un boulot dans le bâtiment me semble quand même pas trop compliqué à imaginer. Mais ce doit ne pas être suffisamment clair. Je vais voir ce que je peux faire. Merci encore !
Salicorne de l’aube
Publié le 08/04/2025
Beaucoup de sensualité entre la soie, les lèvres et plus loin encore les dentelles, le parfum, le jasmin, le mirage, c’est comme un flottement qui enivre du début à la fin ton poème aux vers délicats. Et puis il y a aussi une connexion céleste qui me plait tout autant avec l’arc-en-ciel, le nuage et le gratte-ciel. Je mets le gratte-ciel car c’est celui qui détonne avec le reste et que je trouve le plus intéressant parce que c’est toute la vanité de l’homme bâtisseur qui est derrière. Il y a toute la beauté du monde, et l’homme qui par ses prouesses a besoin de démontrer qu’il sait aussi exister, moins subtilement, mais il en faut quand même du génie pour construire aussi haut… Merci Francis Etienne, tes mots m’embarquent à tous les coups et me plongent dans de vives réflexions.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 08/04/2025
Bonsoir Patrice, ce quatrième chapitre n’a rien à voir avec les précédents et il mériterait d’être un nouveau premier chapitre d’un nouveau roman. On sent que tu tâtonnes dans la mise en place, et je le comprends, c’est très dur de poser les premières lignes d’une nouvelle histoire, et l’on a du mal à gérer les informations importantes qui nous semblent importantes de mettre pour attiser la curiosité du lecteur. Il faut laisser reposer et enchaîner sur la suite, tu reviendras immanquablement en arrière (et heureusement d’ailleurs). Les personnages semblent attachants et c’est déjà un très bon point, à suivre.
merci
Publié le 08/04/2025
Merci Vickie pour ce magnifique texte qui me touche, qui est humain, et qui met en valeur le pardon, pas toujours facile à exprimer mais nécessaire. Une personne forte est une personne au regard fier, à la tête haute, courageuse. Ne l'oublions pas.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 08/04/2025
Et dans les développements en cours il est prévu un système qui quotidiennement relèvera si des modifications ou suppressions ont eu lieux sur des parties annotées ce qui permettra de supprimer automatiquement les annotations obsolètes. La personne ayant laissé des annotations ne perdra en revanche pas le nombre d’annotations laissées afin de pouvoir continuer de débloquer les badges. A ce soir pour la lecture et annotations éventuelles de ton nouveau chapitre. A plus tard.
Oiseaux de mer
Publié le 08/04/2025
J’ai pensé à des anges jusqu’à ce que le bec m’ôte cette image de la tête et c’est dû à toute la beauté et légèreté déployée pour lutter face aux rides du temps, jusqu’à ce sue la renaissance ne m’emmène à opter pour le phénix qui est un être d’une grande beauté et d’une grande compassion. Ton poème est trés émouvant et me met dans la plus belle disposition pour aborder ce nouveau jour de défis. A plus tard Francis Etienne.
Impressions new-yorkaises
Publié le 06/04/2025
Cher Leo , merci pour ton commentaire et cette magnifique imagerie que tu déploies sous nos yeux. C'est vrai que ce texte est un tourbillon mais tu l'as bien ressenti ainsi. Cela fait penser à ces jeux de foire dressés dans le but de faire peur comme par exemple les grandes roues ou les toboggans. On se sait en parfaite sécurité mais en même temps au dessus du vide, et donc la peur prend naissance. Et c'est peut être pour ça que tu parles d'ailleurs de de" poème généreux". La générosité n'est elle pas aussi cette paix que l'on donne à l'autre, ce bras sur lequel on s'appuie, ce rire qui nourrit, ce silence qui se presse entre les doigts, cette absence attendue ? La poésie est l'art de déposer une couleur sur le monde entier mais personne ne s'en soucie. Et pourtant c'est le plus bel outil que l'humanité à inventé. Merci Léo encore une fois et à tout de suite. Cordialement Francis Etienne. Un parfum de voilette entourant le manège Inonde l'univers comme un manteau de neige.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 06/04/2025
Bonsoir Patrice, il suffit de faire modifier le texte comme pour les textes courts
Incendiaire
Publié le 06/04/2025
Merci. J'avais voulu écrire un poème "lumineux" au sens propre. Que quelques lumières au figuré en ressortent, me voilà comblé.
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 06/04/2025
Commentaires bienveillants et enrichissants de Léo supprimés par inadvertance. Pardon Léo ! J'ai voulu corriger, suivant l'une de tes recommandations, deux de mes chapitres. Je n'ai pas compris comment faire sans les supprimer et les remplacer. Tous les commentaires ont disparu dans la bataille. Pardon :-(
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 06/04/2025
Commentaires bienveillants et enrichissants de Léo supprimés par inadvertance. Pardon Léo ! J'ai voulu corriger, suivant l'une de tes recommandations, deux de mes chapitres. Je n'ai pas compris comment faire sans les supprimer et les remplacer. Tous les commentaires ont disparu dans la bataille. Pardon :-(
Titre provisoire Resuscitare
Publié le 06/04/2025
Commentaires bienveillants et enrichissants de Léo supprimés par inadvertance. Pardon Léo ! J'ai voulu corriger, suivant l'une de tes recommandations, deux de mes chapitres. Je n'ai pas compris comment faire sans les supprimer et les remplacer. Tous les commentaires ont disparu dans la bataille. Pardon :-(
Impressions new-yorkaises
Publié le 06/04/2025
Une nouvelle dualité, cette fois entre la beauté et la souffrance, en équilibre sur le fil du temps. C’est très riche et étourdissant, comme une forme d’ivresse grisante, et à la fois inquiétante. Le foisonnement d’images et d’évocations en fait un poème généreux et dense, où se mêlent pleins d’émotions parfois même contradictoire, ça va vite, aussi vite que défile la vie. Merci pour le partage, à plus tard Francis Etienne.
Chiffres de verre
Publié le 05/04/2025
J’ai été cueilli d’emblée par ces mots qui sont des tiroirs car c’est bien ainsi que je me les représente également sans n’avoir jamais formalisé cette idée, ce que tu me permets de faire par ce poème qui l’illustre si bien. Les mots coulissent, se chargent de significations, d’émotions que nous leurs conférons, ils peuvent être vides lorsque l’âme l’est, et pleins de tout ce que l’on a dans et sur le coeur. Et il y a l’âme, la mémoire, la douleur qui s’illustrent dans ton poème avec beaucoup de sensibilité. Merci de ce nouveau beau partage Francis Etienne.
Mon frère.
Publié le 05/04/2025
A chaque fois j’apprécie la justesse des mots, leur dignité, leur retenue aussi, et puis il y a toujours une phrase qui emporte tout et "Il m'abima alors de bêtises » n’a pas dérogé à la règle. Au delà de l’écriture, je salue ton courage, celui de la mise à nue, de la mise à plat, de livrer de l’intime avec le risque de se faire écorcher par la critique sur les fils du sensible. Bravo pour tout cela Daniel et merci.
Journal d’un passeur d’âmes
Publié le 05/04/2025
Encore une fois merci pour un commentaire qui caresses ma fierté , et anéantit mon orgueil. Tu parles très à propos d'une "lutte entre le bien et le mal". C'est précisément la définition de l'humanité. Lorsque tu parles de "partage, je ne peux m'empêcher de penser à notre partage à travers ces commentaires. Non que l'un soit le bien, et l'autre le mal, mais plutôt un échange entre nous À travers la poésie qui nous rassemble autour d'un même foyer: la beauté. Je suis absolument charmé que le mot ravauder soit revenu sous tes lèvres et fasse désormais partie du petit trésor des mots. Nous avons tous une cassette à trésors dans laquelle nous cachons ce qui nous est précieux et qui en somme nous fait vivre. Pour répondre à ta question, le mot mai ne demande pas de majuscule et je vais corriger tout de suite cette faute. Si je devais te donner une raison je dirais que je pensais peut-être à Marcel le Proust et ses fameuses aubépines, peut être aussi au mois de Marie. Quel étrange poète suis-je, pour qui un mot peut plonger son regard Au-delà du bien et du mal. Merci Léo pour cette magnifique occasion d'échanger tant de choses. Je te dis à plus tard. Cordialement Francis Étienne. Le froufrou d'un murmure efface Le chagrin D'un ange de cristal cis sur un boulingrin.
Journal d’un passeur d’âmes
Publié le 05/04/2025
Lorsque l’Homme renonce c’est l’apocalypse qui prend l’avantage. Cette dualité du bien et du mal est une lutte sans partage et sans merci. J’ai énormément aimé découvrir l’usage du mot ravauder qui m’était sorti de la tête et qui y retourne de bien belle manière. Je me suis étonné de l’usage de la majuscule pour Mai, y a t’il une raison particulière ou est-ce un effet de style ? A plus tard très cher Francis Etienne.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 05/04/2025
Merci beaucoup Daniel, cet exercice m’a bien amusé, merci beaucoup pour cette lecture et ce retour qui m’encouragent à reprendre la plume rapidement.
Incendiaire
Publié le 05/04/2025
J’aime beaucoup ces mots en binôme et en cascade qui expriment un bouillonnement, oui, volcanique est le bon mot je trouve
Ce jour où tout a basculé
Publié le 05/04/2025
Très prenant, angoissant même. Il ne faut pas avoir un penchant coupable car il est habilement stimulé. J’ai vraiment aimé. Finale surprenante. J’ai déjà quelques personnes en tête avec qui j’aimerais boucler quelques malentendus.
Les saints
Publié le 04/04/2025
Cher Léo , merci beaucoup encore une fois pour ton commentaire qui bien entendu me fait un immense plaisir particulièrement dans la solitude de l'écriture dans laquelle je vis. C'est toujours un dialogue qui me fait avancer vers la certitude que l'art est la mise en valeur d'une vie profonde qui est indispensable à la survie, celle qui ne s'occupe que de la vie quotidienne. Tu le confirmes à chaque commentaire que tu fais parce que tu trouves dans l'écriture des éléments de réflexion, de plaisir , et de joie qui sont évidemment l'expression complète de la vie que tu trouves au fond de chacun de mes textes. Oui, le tableau de notre avenir est toujours assombri par des incertitudes et surtout par la volonté de désintégrer notre société et à travers elle de nos espoirs. Je n'ai jamais été très optimiste mais je n'ai jamais été non plus très pessimiste. L'art par contre oscille entre des extrêmes beaucoup plus éloignées parce qu'il analyse, traduit et décrit avec beaucoup plus de précisions notre humanité . C'est la raison pour laquelle il est très important de lire de la poésie, d'écouter de la musique , de peindre , ou bien de parcourir les Galerie des musées. On peut ainsi se plonger dans cette couche de l'humanité qui nous porte depuis des siècles et que l'on appelle la culture. Malheureusement aujourd'hui des vagues hostiles poussent les hommes et en particulier les jeunes générations vers l'ignorance voire le refus de cette richesse profonde qui est en nous tous. Mais en bon humaniste que je suis je reste persuadé de la progression de l'humanité vers sa libération du cœur et de l'esprit. Et c'est là que la poésie trouve sa véritable place. Merci encore Léo de tout mon cœur pour ton écoute et pour tes magnifiques lectures dont tu tires de si riches commentaires. À tout de suite Léo. Cordialement, Francis Etienne. La lumière fondue au fond d'un trou d'argile Brille sous le vernis du sèvres si fragile.
Les saints
Publié le 03/04/2025
Derrière tous les motifs de désespoirs il ne faut pas baisser les bras car il y aura toujours à un instant ou l’autre une petite étincelle ou lumière pour tout relancer et susciter de véritables espoirs. Ton poème est intense car lorsque l’on regarde les actualités de nos sociétés on a cette impression que tout sombre et s’obscurcit. C’est un magnifique poème qui exprime la renaissance, à liere et relire. Merci Francis Etienne.
Incendiaire
Publié le 02/04/2025
Voilà. Quelque peu volcanique donc...merci.