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Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
Yolande
Publié le 17/04/2025
Un texte émouvant car plein de tendresse qui fait perdurer le souvenir à travers tes mots sincères. Merci poyr ce doux partage Daniel.
Oriflamme de vent
Publié le 17/04/2025
La destruction irreversible se répand dans ton poème, jusqu’au chaos total. Tou semble s’effondrer comme un chateau de cartes dans lequel chaque mot en entraine un autre dans sa chute. Saisissant d’efficacité : bravo Francis Etienne.
À deux doigts
Publié le 17/04/2025
C'est chouette. Vous pourriez alléger le texte. Des détails sont inutiles. Mais j'ai été accroché dès le début et je n'ai plus lâché. Bravo, vraiment ! ;-)
Peur de la folie
Publié le 17/04/2025
Pourquoi "viré à l'envers" ? "Engager" alors ? Engager en disant qu'il s'agissait d'une illusion ? Et donc, finalement, pas réellement engagé ?
Yolande
Publié le 17/04/2025
On sent que votre texte part d'une émotion sincère, mais ça ne suffit pas. Il faut emmener les lecteur avec vous. Pour cela, il faut relire et relire encore pour se mettre à sa place et, implacablement, chasser tous les détails parasites qui polluent l'idée intiale. Cordialement,
Verroterie de vers
Publié le 16/04/2025
Merci surtout à toi Léo pour avoir pensé à rapprocher ce poème de deux grandes œuvres que j'admire beaucoup particulièrement le cri que j'ai eu l'occasion de contempler à New York au Moma tout comme persistance de la mémoire. Ce sont deux œuvres qui sont en dehors du champ de ma sensibilité pour la peinture, mais qui vues en réalité m'ont particulièrement touché. Je ne les avais vues qu'à travers des reproductions mais je dois dire que bien que très intéressé par cette expression de deux peintres majeurs je n'avais pas toujours appréciés la qualité des hommes qui en étaient les auteurs. Cela veut dire qu'il faut être en contact direct avec un tableau pour en apprécier toutes les vibrations émotionnelles. Il est vrai que dans les galeries d'art et les musées je me promène plutôt dans les allées qui présentent des toiles du 17 au 18e siècle avec quelquefois des incursions dans le 19e siècle mais plutôt le 19 siècle allemand. C'est toujours cette hantise du classicisme qui me fait traverser l'art avec des œillères parfois mais je pense que personne ne contemple les chefs d'œuvre également. Nous avons tous nos propres attirances vers un style ou une époque particulière et nous ignorons bien à tort les autres mondes de l'art. Cette tendance s'applique aussi à la littérature. Nous ne lisons que ce qui nous semble être familier tout en nous étonnant mais si parfois un ami nous ouvre le chemin d'un autre monde nous constatons que nous sommes passés à côté de quelques belles œuvres et peut être d'un grand auteur. Pour en revenir à ton propos et ton commentaire au sujet des couleurs, je suis là encore très étonné et surpris que tu puisses naturellement percevoir ce qui n'est pas directement exprimé par le texte mai l'est par la poésie. Merci de ce trait de commentaire tellement riche pour moi. Merci encore de tout mon cœur pour ta si fidèle lecture et ta si précieuse amitié A plus tard, Léo. Cordialement, Francis Etienne. Une lune en soie ocre ondule sous le vent et verse un lingot d'or sur le toit d'un couvent.
Parcelle de miroir
Publié le 16/04/2025
Merci encore Leo pour ce commentaire de commentaire qui bien entendu me touche beaucoup parce qu'il est la suite de la pensée que seule la Poésie peut faire passer par le cœur. Merci encore très cordialement.
Parcelle de miroir
Publié le 16/04/2025
C’est tellement de choses les larmes, ton magnifique commentaire souligne bien toute la richesse de l’humain tel qu’il est constitué.
Peur de la folie
Publié le 16/04/2025
La quête de la paix intérieure, l’atteindre est un luxe sans pareil…
Verroterie de vers
Publié le 16/04/2025
J’ai pensé à la lecture de ton magnifique poème au tableau du très créatif Dalí « Persistance de la mémoire » qui s’achève sur le fameux « cri » de Munch. Ta poésie est une galerie d'émotions, de références et de couleurs dans ce cas précis, combien même elles se fanent. Merci Francis Etienne.
Un nouveau jour
Publié le 16/04/2025
Merci pour cette nouvelle lecture et commentaire Fredrik, ce poème de Marbeuf collait parfaitement au thème et à Gaïa, bonne journée !
Solidarité vs Haine
Publié le 16/04/2025
Merci ça m’a semblé important de mettre en exergue ces deux notions antagonistes, à plus tard.
Ce jour où tout a basculé
Publié le 16/04/2025
Merci et bienvenue, à plus tard.
Sommes-nous vraiment libres ?
Publié le 16/04/2025
Bonjour Fredrik, je comprends mieux, et il est certain que si les journalistes et/ou médias confondent opinions et faits, il y a de gros problèmes…à plus tard.
Un nouveau jour
Publié le 15/04/2025
Superbe texte d'un optimisme assumé. Très belle utilisation du poème de Pierre de Marbeuf.
Solidarité vs Haine
Publié le 15/04/2025
Un très bel acrostiche, Leo. C'est très fort de mettre la solidarité en regard de la haine. Super !
Ce jour où tout a basculé
Publié le 15/04/2025
Excellent ! Bravo ! J'ai été captivé par cette histoire et je suis vraiment ravi de mon arrivée sur ce site ! Bonne soirée
Sommes-nous vraiment libres ?
Publié le 15/04/2025
Bonsoir Leo et merci pour ce commentaire. En fait il s'agissait surtout pour moi, de faire comprendre que même si on se sent libres chez nous, cette liberté est menacée, à mon sens, par le fait que sur un certain nombre de médias, les opinions soient plus importantes que les faits. Bonne soirée
Parcelle de miroir
Publié le 15/04/2025
Cher Leo encore une fois merci pour ce beau commentaire qui souligne certaines facettes de ce poème. Tu as relevé bien entendu l'importance des larmes dont toi et moi nous apprécions la valeur humaine et en même temps que la beauté littéraire. Une larme est l'expression d'un débordement de l'âme à travers ce phénomène physique dans le poète transforme la beauté par ses mots. D'ailleurs si l'on se penche sur l'importance de ce phénomène on se demande pourquoi notre corps peut réagir de cette façon. Pourquoi pleure t on ? Bien entendu on pleure de tristesse mais aussi de joie ou de douleur. Les larmes sont donc l'expression d'un débordement de notre être le plus profond. Mais les larmes sont aussi l'expression de l'humilité, et c'est en cela qu'elles sont en quelque sorte incontrôlables. Elle nous offre en effet l'occasion de mesurer l'importance de la douleur, de la joie, ou de la tristesse. Je suis tellement ravi que tu aimes L'image d'"une cage de cirque enfermant le désert" parce que c'est une image qu'il est difficile de comprendre si l'on n'a pas une sensibilité poétique très développée comme tu l'as. Les mots prennent là toute leur valeur créatrice et presque indépendante de nous, comme si leur association avait soudainement créé un nouveau mot inconnu de notre vocabulaire. C'est cela aussi la valeur de la poésie. Merci encore Leo pour ce magnifique commentaire et bien entendu à plus tard. Cordialement , Francis Etienne . Dans le ravin de l'aube aux couleurs de la nuit Barbote ce silence ou va naître l'ennui.
Sommes-nous vraiment libres ?
Publié le 14/04/2025
Bonsoir et bienvenue Fredrik. merci de votre participation qui rappelle qu’il y a toujours pire ailleurs, mais est-ce que le pire ailleurs impose à toutes celles et ceux qui ont un peu ou même beaucoup mieux de ne pas être regardant sur leur condition ? (sachant qu’imposer à autrui c’est le privé de sa liberté). Comme j’ai vu se côtoyer liberté et démocratie, m’est revenu en tête une citation de Benjamin Franklin : "La démocratie c'est deux loups et un agneau votant sur quoi avoir à manger pour le dîner. La liberté c'est un agneau bien armé contestant le vote. », j’ai trouvé que cette métaphore montrait bien la différence de ces deux notions qui sont complètement différentes. Et enfin, j’ai tiqué sur le fait de transformer les faits en opinions car c’est tout aussi valable en sens inverse, ce sont deux notions différentes, comme pour la liberté et la démocratie : mélanger et confondre les deux ne changera jamais leur nature, à moins de supprimer tous les dictionnaires de la Terre. Sais-t-on jamais. Bonne soirée.
Parcelle de miroir
Publié le 14/04/2025
Je trouve qu’un écrin de soie est tout à fait avisé pour que reposent nos larmes. Que ce soit par ce que de les avoir versé a coûté, et ce que l’entièreté d’un coeur est d’une âme a dû ressentir pour les fabriquer. Une larme est bel et bien un bijou précieux. J’ai aussi puissamment aimé cette cette « cage de cirque  enfermant le désert », quelle image ! Et enfin tout finisse au bord d’un soupirail, en toute humilité (et puis il y a soupir dans soupirail). Merci pour toutes ces offrandes Francis Etienne.
Métempsychose ouverte
Publié le 14/04/2025
Toute la fragilité de l’homme en un vers, de papier qui peut être froissé et emmailloté comme le sont les nouveaux nés ; dans un processus de renaissance suite au délaissement d’une âme condamnée à fusionner avec plus grand qu’elle. Ce vertige de l’immensité contre la prison d’un corps limitant, lorsque toute la magie s’accorde à si puissante fusion. On vient de prendre un sacrée hauteur, merci pour ce nouveau point de vue Francis Etienne.
Courage Dame Plume !
Publié le 14/04/2025
Merci Monique, je suis honorée que ces haïkus successifs et la technique d'écriture vous aient plu !
Courage Dame Plume !
Publié le 13/04/2025
Bravo pour cette guirlande de Haïkus évocatrice malgré le non dit qu'elle cache.
Sonnet ancien
Publié le 12/04/2025
J’ai pensé aux grandes migrations de la nature nécessaire à leur survie et je me suis dit qu’effectivement, les âmes elles aussi devaient s’adapter à bien des environnements parfois hostiles également. Je suis subjugué par le dernier tercet qui est d’une puissance phénoménale, comme une mise en abyme de toutes nos fragilités. Grand bravo Francis Etienne.
À deux doigts
Publié le 12/04/2025
Bonjour et merci Quentin pour ce nouveau texte partagé qui poursuit et dans le style et dans sa grande habileté à embarquer d’emblée le lecteur dans une histoire mystérieuse captivante, dont l’issue n’est délivrée que dans les toutes dernières lignes. Les descriptions sont efficaces, en quelque lignes l’ambiance est posée et les protagonistes sont à l’oeuvre pour nous tenir en haleine jusqu’au dénouement. J’ai trouvé très subtil qu’aucun prénom ne soit prononcé ou écrit, on reste dans l’impersonnel et dans le flou, comme l’est la brume, et comme l’est l’esprit dont la mémoire lui joue des tours. Un très agréable moment de lecture, vivement le prochain texte.
Charpente en feu
Publié le 12/04/2025
Entre les pieds sur Terre et l’au-delà, ton poème est dans une nouvelle dualité, entre le profane et le sacré cette fois. Il semble que l’obscurité gagne du terrain jusqu’à corrompre les âmes les plus pures, assiste t-on aux funérailles de l’espoir ? Ton poème nous laisse en suspens sur ce qui ne va pas tarder à basculer. Merci Francis Etienne pour ce nouveau partage qui ne laisse pas indifférent.
Fosse à mémoire
Publié le 11/04/2025
Cher Leo; merci surtout pour ton appréciation de ce poème qui t'a encore une fois inspiré un très beau commentaire." La décélération soudaine" d'un monde qui se vide comme ces outres qui autrefois contenaient du vin, symbole de la joie et de la vie, est constante. Tu parles de" Reprendre son souffle et surtout ses esprits" Mais n'est-ce pas croire que le monde a sa propre destinée comme si nous étions sur une orbite préréglée par je ne sais quel artisan ? Nous ne sommes pas soumis à des forces aussi stériles que celles de nos désespoirs. Nous avons encore la liberté et le choix d'écrire. Les écrivains portent la mémoire de l'humanité et tracent des chemins de lumière dans l'obscurité de la voûte. Depuis des siècles c'est eux qui façonnent le monde de leurs esprits, de leurs mots , et surtout de leurs espérances. L'influence d'hommes comme Platon, Shakespeare , Marcel Proust ou Dante est aussi importante que celle De Gutenberg, Palissi, Newton ou Pierre et Marie Curie. Pourquoi ? On trouve en eux la preuve flagrante que l'esprit humain est une construction de la sensibilité avant d'être une application de l'intelligence. Le cœur de tous ces hommes et de toutes ces femmes qui ont creusé la route de l'humanité ont tous et toutes eu un cœur qui bat pour une fleur, une lèvre qui se nouille devant le fruit, ou une peau qui se laisse caresser par le soleil, or seul le poète leur a donné ce trésor qu'est l'exploration et l'expression de l'invisible et de l'impalpable qu'ils ont cherché à pénétrer par leurs travaux et par leurs œuvres. Je ne suis pas certain qu'il faille séparer le monde de la science et le monde de la poésie. D'ailleurs Quelques chercheurs l'ont affirmé en déclarant trouver de la poésie en mathématique, en physique, ou en astronomie. Ainsi l'outre que l'on vide n'est que la peau du monde dans lequel nous vivons. Merci Léo pour ta gentillesse et surtout pour tes magnifiques commentaires qui me portent bien au delà de ma propre pensée. Je te dis à plus tard, cordialement, Francis Etienne . En déchirant le rêve on trouve en ces lambeaux, Des pierres de soleils et des bouts de flambeaux.
Promesses de bonheur
Publié le 11/04/2025
Cher Leo, à rebours Comme le titre d'un célèbre roman je viens te remercier pour tes commentaires toujours si profondément touchants. Oui la poésie est un monde dans lequel on peut revenir en arrière et se déplacer en somme à rebours. Les ombres ont formé des idées et les idées ont formé des réalités dont nous ne sommes pas conscients mais qui habitent nos vies et parfois nous croyons qu'elles sont palpables mais lorsque nous les touchons elles se déforment, elles se liquéfient et se fondent en nous comme du sucre adoucissant ainsi le rêve et le plaisir. Et c'est ce que tu appelles "la fin des mirages". Alors l'on "entre en la poésie" dans une espèce de torpeur qui fait qu'on ne peut pas décider, ou qu'on ne veut pas décider parce que l'esprit est pris comme sous l'emprise soporifique de la révasserie. Les étoiles commencent à briller et ,comme l'oreiller de Marcel Proust qui soudainement fait apparaître une cuisse ou une joue, chaque mot définit une sensation nouvelle, qui nous est propre et qu'on ne peut échanger autrement qu'à travers le verbe. C'est une cascade qui rafraîchit notre âme, un bassin dans lequel nous trempons nos esprits engourdis de langueurs dont nous effilons chaque fibre au bout de nos doigts devenus magiciens. Où est la frontière entre l'illusion et la réalité? Mais y-a-t 'il seulement une frontière? Le poète dit non il n'y en a pas. Et c'est bien là le piège. Merci encore une fois Léo pour la qualité de ton travail autour de ces textes que je publie quotidiennement. A très bientôt, à plus tard. Cordialement , Francis Etienne . Un filet de soleil séchant sur les étangs Ébouriffe le jour sous le cri des enfants.
Promesses de bonheur
Publié le 11/04/2025
J’aime cette conclusion qui évapore tout ce qui était en prise avec l’existant (l’existence ?). Comme une forme de lâcher-prise ou peut-être la fin des mirages. Comme dand un tableau l’on cherche le détail qui nous mettrait sur la voix pour se décider, et puis l’on se dit que c’est bien de ne pas décider, de laisser l’art et l’expression en suspens là où elle n’est sue ce qu’elle est : une oeuvre singulière de toute beauté. Merci Francis Etienne.