Je suis surpris par ce second texte qui dénote du précédant, ce qui nous ouvre de façon un peu plus large ta palette d’écriture, et c’est très encourageant. Il y a beaucoup de non-dits dans ce texte et beaucoup de symboles à interpréter, mais ce qu’il ressort parfaitement bien ce sont les émotions et le sentiment d’oppression et d’écorchure. Juste une remarque en annotation plus haut, et une seconde ici : est-ce important que ce soit une mouette ? Car l’on ne perçoit ni mer, ni rivage, on est même plutôt dans les terres avec les tournesols et on y verrait plus un oiseau de mauvaise augure comme un corbeau par exemple. Merci pour ce second partage Sahar, à plus tard.
Et bien franchement, c’est incomparable, c’est bien plus clair et donc fluide. Il n’y a plus que le paragraphe capillaire qui tombe sans vouloir faire de jeux de mots, comme un cheveu sur la soupe, ou plutôt sur la péridurale. Comme pour ta partie révoltée, ke la mettrait de côté pour l’instant pour la ressortir à un moment nettement plus opportun et mieux contextualisé. Car on finit sur "elle accoucherait comme au temps des vikings"… avec beaucoup de gravité, à quelque chose de très léger car on est sur une teinture dont l’issue est « j’aime ou j’aime pas » à faire une péridurale dont l’issue du choix n’a rien à voir avec de la coquetterie. A toi de voir, à plus tard.
Merci Myriam ! Il s'agit du début d'un roman... sans doute. Qui j'ai dans le viseur, se révèlera très clairement mais, un peu plus tard. Tu as raison, je te vois ainsi que d'autres auteurs à travers les textes publiés. Et peu importe que les textes soient issus d'une même histoire ou juste du même auteur, on reconnaît les pattes. Je pense d'ailleurs, qu'à travers mes textes on a bien vu ce qui me révolte. Bise ! ;-)
Coucou Fils de Louis, j’ai lu les commentaires avant le texte donc je vais laisser reposer avant de le lire... J’ai besoin de plus de temps qu’avant pour donner des retours et pour bien lire. La réflexion que tu mènes avec Léo est comme d’habitude très intéressante. Pour ma part, je crois que lorsqu’un livre est commercialisé on dispose d’une 4eme de couverture, d’un titre et d’un horizon d’attente (genre, collection etc). Ici, notre horizon d’attente ne peut être constitué que de ton corpus de textes précédents. Donc on poste un peu à l’aveugle… soit on poste des extraits choisis déjà écrits mais assez autonomes pour être lus seuls comme des extraits de romans dans les séquences de français, soit on poste un projet un plan, soit on essaye un extrait mais il manquera toujours le fameux contexte au lecteur. La réception ici ne sera donc pas celle d’un extrait de texte fini. C’est la conclusion à laquelle j’arrive. C’est bien de définir son lectorat. Les personnes révoltées c’est bien de les définir. Un rebelle a forcément une cause parce qu’un rebelle sans cause c’est bizarre ou alors c’est le personnage de Fante Bukowski mais c’est une autre affaire. A bientôt de te lire. Bises
Bravo pour ce conte de Noël surprenant. J’apprécie particulièrement l’arrivée discrète mais remarquée de Rudolf le Renne au chapitre 5. Au chapitre 4, au « tu montes » du barbu je m’attendais à ce que l’enfant réponde: « où ça au cimetière » mais ce Noah reste gentil. Les trous dans l’univers du père Noël sont une image très intéressante pour manifester les effets de l’incrédulité sur ce monde parallèle. Les caméras web et le nombre de vues sont très bien comprises par les petits qui m’ont écoutée le lire. Ça va avec l’idée du « on ne croit que ce que l’on voit » et avec « si c’est filmé c’est réel » et si c’est liké c’est aimé. Voilà un conte très surprenant qui peut engager des discussions intéressantes avec petits et plus grands. Pour ma part, je verrais bien chaque chapitre illustré ou legendé comme dans un livre pour enfant. Je dis « legendé » parce que le dessin peut redoubler le message ou en porter un autre. Je pense notamment à l’excellent « Papa est connecté » qui me semble un modèle du genre, l’histoire parlant aux enfants, le dessin s’adressant aux adultes. Ici la dimension réaliste du harcèlement en raison de la croyance est très bien amenée et conduit à cette rencontre magique. Bienvenue ici et bravo en tout cas !
J'ai éprouvé diverses difficultés à comprendre et je n'ai pas clairement compris, mais la poésie peut se permettre d'insuffler un esprit diffus, des idées sans silhouette. Je te dis quand même ce qui m'a gêné. J'ai cru comprendre que l'ombre est quelque chose d'aimable dans ton texte alors qu'habituellement, l'ombre a la connotation de mal, de caché, de non avouable. Toujours à propos de l'ombre, au début elle est au pluriel et puis au singulier. Sont-ce les mêmes ? D'autant que l'ombre seule est emprisonnée dans la mer et ne peut donc pas être dans les bras des tournesols. A partir de "Une captivité forgée par les chaînes d’un préjugé ancien", je crois mieux comprendre ce que l'ombre renferme et ce serait à son insu qu'elle serait le nid des préjugés et des discriminations. Voilà ce qui me vient à l'esprit au terme de trois lectures. ;-)
Je comprends ton point de vue. Je suis demandeur et je te remercie encore de tous tes retours. Toutefois, je dois les filtrer. En tirer ce qui enrichira mon écriture. Bien sûr j'aime être lu, comme jadis j'ai aimé faire de la musique. Après coup, je me rends compte que les compostions que vous avons faites dans un second temps, pour être entendues, écoutées, appréciées sont bien moins bonnes parce que justement, elles voulaient séduire, caresser dans le sens du poil. SI je voulais vraiment avoir une chance de décrocher la timbale, j'imaginerais un roman qui se passe en Ukraine entre un jeune homme russe et son amoureuse ukrainienne séparé par la guerre et le méchant, l'horrible dictateur, Poutine. Je suis sincèrement convaincu que les éditeurs se bousculeraient. Mais j'espère être lu pour ce que j'ai à dire, personnellement et sincèrement. Je n'espère pas et je ne souhaite pas créer un produit.
N.B. J'ai introduit récemment le "accoster". Je vais revoir ça. Merci ! ;-)
Bonjour, Merci pour votre attention et votre point de vue, enfaite être une femme dans ce monde a toujours été un sujet central de mes peintures et écrits, et parfois, même inconsciemment, j'y fais encore référence dans mes textes. Je vous souhaite à tous le meilleur pour la nouvelle année. Bonne année à l'avance !
D’accord « accosté" signifiait naître, mais lorsque tu lis le texte sans savoir ce que tu as en tête on ne peut pas le savoir. Après « être révolté » ok, mais contre qui et pourquoi ? Tout semble gratuit dans le cas présent. Tu as le droit de t’en taper du lecteur, du coup tu écris pour toi et effectivement tu peux tout faire et donc ça n’a pas trop de sens pour que je fasse des retours construits. La question du « pour qui ont écrit » est fondamental. De même tu sors une phrase qui est la clé pour comprendre, mais elle est noyée dans plein de choses confuses, trouver du sens devient comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Un lecteur qui doit s’arrêter à chaque paragraphe pour trouver les clés de compréhensions va vite se lasser.
Ensuite tu reviens sur Jean-Luc et sur ton précédent ouvrage… celui-ci est terminé, cela ne sert donc à rien de revenir dessus, un éditeur en assume le contenu et à partir de là, c’est son affaire à lui, et du coup, aux lecteurs qui achèteront le livre… et comprends que lorsque l’on payer pour lire, on est en droit à minima donner son avis.
Comme nous sommes dans les forges des mots je me permets ce retour, mais qui n’engage effectivement que moi et dont tu n’es absolument pas obligé de prendre en compte. Pourquoi donc sur ta lancée, l’important est que toi tu t’y retrouve, puisque c’est entre tes seules mains (et un peu les nôtres). Bon courage pour la suite.
Merci pour ta lecture et le travail fourni. Je ne suis pas d'accord avec la plupart de tes commentaires. Par exemple pourquoi "Gémeaux" alors que le texte commence par "Elle est née le 18 juillet" ou Qui sort de la mer alors que je l'ai définie comme naufragée. Je suis d'accord avec le 333. Et je comprends à travers tes lignes que ça ne t'ait pas semblé limpide. A qui s'adresse ce texte ? Aux gens révoltés. Je m'en fous de contrarier le lecteur. Ça me rappelle le commentaire de Jean-Luc quant à ma préface "A mon fils Maurice pour qu'il sache, même si ça ne sert à rien" Il faut être terriblement 1er degré pour ne pas en comprendre le sens. En ce qui concerne les rousses, j'ai relu et l'écart est introduit "Ana est tombée dans le panneau. Elle accoucherait comme au temps des Vikings". Suit le paragraphe, "Les femmes ne rentrent pas seules dans une galère." Il me semble que c'est assez clair. Ensuite, il y a cet écart, comme pour mon dragon de Komodo qui reste l'un de mes passages favoris d'Ambre gris. Je retiens toutefois que le texte t'ait semblé confus. Texte que j'ai déjà pas mal relu. Je me demande dans quelle mesure tu n'a pas lu en tournant le bic rouge entre ton pouce et ton index. Ce n'est pas un reproche. Je sais, et j'en suis parfois victime, que lorsqu'on lit une chose non commercialisée, on peut avoir tendance à partir d'à priori. Bref, Je m'enrichis de tes commentaires. Je les apprécie. Je t'en remercie mais je saurai garder ma plume car, ce texte, est le début d'un nouveau récit pour lequel, je me sens armé. Bise !
Bonjour et bienvenue Philtepoete. Ce plan est très intéressant pour développer un conte à la hauteur de Noel et de toute la magie que suscite cette période. La partie interaction numérique et harcèlement qui sont deux éléments ancrés dans notre société donne une belle touche de modernité. Pour partager ce plan avec l’atelier en cours, il faut se rendre sur la page de l’atelier puis sélectionner ce texte, ainsi l’animatrice de l’atelier qui est Myriam sera prévenue et pourra vous faire un premier retour. J’espère que vous prendrez le temps de développer ce très beau conte de Noël en devenir. A plus tard.
Bonjour et merci d’expérimenter l’outil « texte long ». Pour les raisons évoquées dans mes annotations je retirerai le premier et le troisième paragraphe. Et surtout avant de poursuivre, il me semble nécessaire de bien réfléchir au lectorat recherché, cela fait un peu marketing mais à qui compte s’adresser le livre, car on écrit pour des lecteurs lorsque l’on destine son écrit à la publication. A plus tard Patrice.
Merci Léo pour ce gentil commentaire. Effectivement une ode à la différence, la difficulté à trouver sa place et surtout à l'amour
Ravie que tu aies aimé
Merci encore
A bientôt
Merci Vicky pour ton retour et ta sensibilité. Oui le signe de la croix bien à lui qui place sa maman et l’amour au coeur de toutes les protections et espoirs. À l’image des dieux, les mamans devraient être immortelles. A plus tard ;-)
Bonjour Vickie, quelle joie de te retrouver, et plus encore en écriture avec un si mignon conte de Noël qui est une vraie ode à la différence et où chaque être a sa place. Il fallait y penser et je ne m’attendais pas à la chute. J’ai pensé un temps que ses longs bras allait pouvoir livrer des cadeaux fragiles via les cheminées où le Père-Noël ne pouvait pas passer (mais je me suis dit que cela faisait vraiment de très longs bras :-). Merci de ton retour et texte très doux en cette période de Noël dont nous avons tant besoin face à la fureur du monde.
Merci Vickie Plume pour ce très joli conte de Noël, très apprécié ici! J'aime beaucoup l'histoire de ce lutin aux bras démesurés. Il est comme emprisonné dans son corps comme un albatros dont on peut se moquer. J'aime beaucoup aussi les dialogues de ce conte et les émotions qui y sont très bien décrites. La présence de la morale à la fin de l'histoire l'attire irrésistiblement vers la fable.
Bonjour et merci à vous deux pour vos commentaires sur mon texte et surtout vos ressentis. Je suis contente d'avoir pu vous toucher, vous interpeller à travers ce texte. Merci encore
Wow Léo
J'adore ton écriture tour à tour joyeuse (souvenirs), et cruelle (réalité).
J'ai aimé aussi particulièrement ce signe de croix si particulier
La tristesse domine mais cette narration le demande. Ce qui est le plus triste finalement est Lle réalisme de cette histoire.
Bravo à toi en tout cas
Merci beaucoup Léo, pour ce commentaire extrêmement encourageant pour la suite. Le thème du conte de noël et de la rédemption me tient particulièrement à coeur, ce pourquoi j'ai voulu me lancer dans ce premier atelier d'écriture. J'essaierai le prochain si le thème me plait.
Bonjour et bienvenue 4MAPS, et merci d’être le premier auteur sénagalais à nous avoir rejoint, vingt-sixième pays représenté sur le peuple des mots. Je crois que la procrastination est probablement un des ennemis majeurs des auteurs, et depuis l’avènement des téléphones améliorés avec d’innombrables applications et démultiplications des réseaux sociaux, tout est fait pour avaler tout notre temps qui vaut pour beaucoup bien de l’argent. Merci pour cette pensée qui invite au révéil pour certains, et au réflexe pour d’autres.
Je me suis fait la promesse il y a plusieurs années, de ne jamais aller me coucher sans avoir appris quelque chose de nouveau durant ma journée, et je crois, avec plusieurs autres petites choses que j’ai réussi et parvient encore à m’imposer, que je vis beaucoup mieux chaque jour qui passe. Le savoir est un repère et repaire important pour garder le cap de bonne espérance. Merci pour cette pensée, à plus tard Patrice.
Joyeux Noël, Fils de Louis et grand merci pour ce texte très agréable à lire. Ta virtuosité parvient à faire revivre un univers qui n'existe plus pendant le temps de Noël avec beaucoup de suspens. Je n'ai pas vu venir la brocante OXFAM ni la trouvaille de la bobine. J'apprécie particulièrement le soin apporté à décrire ce greffier fantomatique, la scène du sauvetage et son retour mystérieux. A-t-il épuisé ses neuf vies? Pas sûr. Bravo et merci d'avoir joué à ce jeu de Noël avec nous!
C'est vrai que les formules que vous pointez ( surtout la première) ne sont pas les plus heureuses. Parfois, la bonne expression vient tout de suite mais bien souvent on doit se contenter d'un choix convenu ou qui tombe à côté.
À travailler sans aucun doute !
Merci pour votre commentaire !