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Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 20/07/2025
Le désert affectif d'un enfant au milieu des siens, l'absence de mots, la rareté du geste tendre peuvent avoir de graves répercussions sur la psychologie des enfants. Et si une imagination hypertrophiée doublée d'une inconscience s'en mêle, on peut aisément s'inquiéter. " Ils l'aimeraient une fois mort " ... Un constat qui peut dans les cas extrêmes entrainer des gestes fatals ... Hâte de lire la suite. Merci du partage 🍀
Ismahane, mon amour
Publié le 20/07/2025
Merci de votre retour M-N Bertrand 🍀
Un aller sans retour (2)
Publié le 20/07/2025
J'aime ce texte qui avance avec beaucoup de simplicité et de profondeur certaine. Ça me rappelle L'Arrangement d'Elia Kazan, vieux film qui dit les fêlures humaines, les difficultés des lignes droites et des vies tracées. Merci du partage Marie-Noëlle Bertrand. 🍀
Ismahane, mon amour
Publié le 20/07/2025
Je viens de trouver où mettre mon commentaire sur le texte... C'est beau, c'est fort. C'est triste, mélancolique et plein d'espoir en même temps. On a envie de connaître le chemin de cette femme forte et déterminée à continuer à en découdre avec la vie.
Ismahane, mon amour
Publié le 20/07/2025
Merci cher Léo, il m'importe de dire l'humain dans sa grandeur et dans sa fragilité et surtout dans ce qu'il décide pour lui-même. Je trouve que c'est précisément cela vivre : mettre du sien, avec rationalisme. Amitiés et merci de ton aide. Sam 🍀
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 20/07/2025
Pour le faire participer il faut faire comme Marie-Noëlle, se rendre sur la page de l’atelier, cliquer sur « sélectionner un texte », choisir celui-ci donc et valider. Et pour te répondre au fond de ton texte, de l’importance des mots… la communication joue un rôle essentiel dans le développement humain, ça et tu l’abordes aussi très bien dans ton texte : le regard. Se sentir exister et aimé dans le regard des autres et à commencer par « les siens » c’est aussi très important. A plus tard.
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 20/07/2025
Merci Léo, très belle analyse. Et je suis entièrement d’accord avec vous, que l’école aurait certainement un rôle à jouer. Le fait est, comment trouver cet enfant qui ne laisse rien paraître… c’est très très compliqué et cet enfant aura une vie bien difficile dans les épisodes suivants. Un écorché vif qui malgré tout aura du courage beaucoup de courage. Je ne sais pas si j’ai entré ce récit dans le challenge 7 ou 8 jours pour un récit ! I still find it difficult to understand Merci beaucoup Michel
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 20/07/2025
Je suis heureux de voir que tu as trouvé le chemin des textes longs à chapitre qui peuvent comme c’est le cas dans ce texte suivre la progression d’un récit . Dans ce second chapitre on s’aperçoit du drame que génère l’absence d’éducation et de compréhension des émotions qui génères toujours plus d’agressions sous toutes leurs formes et de victimes sous toutes leurs formes également. A toutes ces absences s’ajoutent comme tu le dis si bien les hormones et ces changements déstabilisants liés aussi au corps, ce qui n’arrange rien à rien… dur la condition d’être humain. Et l’on s’aperçoit de l’importance des mots, avant comme après, qui sont souvent des points de passages essentiels (incontournables ?) pour continuer d’apprendre et d’évoluer.
Une vie comme beaucoup d’autres, peut-être…
Publié le 20/07/2025
Bonjour Michel, ton texte bouscule et prend au tripe car tu parviens à bien partager la situation et l’émotion vécue. A la question est-ce que l’on est fou en imaginant certaines situations, la réponse est non je pense. De nombreux enfants par exemple se créent un personnage imaginaire. Cela peut paraître effectivement fou, sauf que cette création imaginaire, permet à l’enfant de provoquer des situations ou des dialogues dont il peut avoir besoin pour se développer. Cela arrive souvent avec des enfants seuls, et c’est donc plus un signe de bonne santé mentale puisque ce faisant il échappe à l’aliénation à certaines situations dont l’enfant ne voit pas d’issue possible. Lorsque des enfants jouent seuls avec des figurines ou poupées, ils les font parler simultanément et cela semble naturel et source de créativité « qu’est c’e qu’il s’invente comme histoire ». L’ami imaginaire ou tout autre imagination c’est la même chose, sauf qu’il n’y a pas l’objet (ou le dessin) pour servir de transfert à ce besoin et même parfois cette nécessité pour se construire, car l’on se construit aussi à travers des pensées et des idées qu’il faut bien faire exister d’une manière ou d’une autre s’il n’y a rien. En revanche, ce qui est source d’énormément de mal être qui peut conduire à des drames et même plus tard à de gros déséquilibres chez l’adulte, c’est de n’avoir pas compris et appris de ses émotions. Et ne sachant les gérer (et parfois même, ne pas les identifier tout court car le panel des émotions est très vaste et apprendre à connaître toutes les nuances et ressors des émotions n’est pas aisé), peuvent conduire à de la confusion et même des schémas de pensées ou de comportements qui ne reposent pas sur « de bons rails » ce qui peut conduire certaines personnes à dérailler, et même dérailler encore puiqu’il est difficile de comprendre et parfois remonter tellement loin dans le temps, pour comprendre toute cette mécanique et pourquoi l’enfant a pu se trouver par défaut et sans aide ni accompagnement de personnes éclairées… sur de bons rails. Je reste persuader qu’il faudrait que l’école puisse transmettre cette connaissance (émotions, comportements qui y sont liés…) car ce sont des socles et des bases indispensables pour apprendre à se connaître soi et être attentif aux autres et pouvoir les aider le plus tôt possible. Victor Hugo disait, "l’éducation c’est la famille qui la donne, l’instruction c’est l’Etat qui la doit » mais aussi, très complémentaire : « Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons », ce qui est vrai… à la condition que ce qu’on y apprend, permette effectivement de mieux comprendre l’humain, ce qui n’est pas toujours le cas, à commencer par l’absence d’apprentissage des émotions dans toutes leurs nuances. A plus tard Michel.
Ismahane, mon amour
Publié le 20/07/2025
Quoi d’autre que l’annonce de ce qui peut-être la mort pour vivre autrement et tout changer. Qui ne s’est jamais posé la question « s’il te restait 24h à vivre que ferais-tu ? Ton approche dans cet atelier d’écriture est vraiment très bien pensée et amène du coup une attention supplémentaire et une grande empathie du lecteur. Vraiment bien. Tu peux faire participer ton texte long au sein de l’atelier. Va sur la page de l’atelier, clique sur le bouton "sélectionner un texte » et choisit ce texte afin qu’il soit référencé dans l’atelier et que les autres participant puissent aussi lire ton histoire. Encore bravo Sam, un texte très émouvant.
Passeport en larmes
Publié le 19/07/2025
Bonsoir Léo, il s'agit ici d'un récit autobiographique. Un souvenir de mon premier voyage en Inde en 1995.
Un aller sans retour (1)
Publié le 19/07/2025
Ah!...J'ai envie de savoir ce qu'il va se passer, je suis impatiente !
Ismahane, mon amour
Publié le 18/07/2025
Bonsoir Léo, je le ferai. Désolée ! Amitiés, Sam
Le temps des cauchemars....
Publié le 18/07/2025
Je lisais que « au moins 5.600 personnes tuées par la violence des gangs en 2024, 85 % de la capitale ». C’est accablant, un drame qui résonne dans ton indignation et la cruauté qu’il vous est donné de vivre. Je pense fort à toi Gilbert. Bon courage à toi et à tous les haïtiens qui se voient leur vie gâchée et amputé par toute cette violence…
Ismahane, mon amour
Publié le 18/07/2025
Oupss le chapitre 2 est posté dans un « autre livre ». Il faut ouvrir le mème projet et ajouter à la suite. Il est possible d’ajouter des chapitres de les supprimer et même d’en insérer.
Passeport en larmes
Publié le 18/07/2025
Bonsoir Stanislas, un changement de style radical qui n’est pas pour me déplaire, c’est très bien d’être surpris dans ses lectures. Le fait que l’on ne sache rien de l’extérieur intrigue et c’est un bon ressort pour attiser la curiosité et attendre la suite. A plus tard.
Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 18/07/2025
Merci ! Tu es trop indulgente. Tu connais le coin, j'imagine. C'est très étrange Dakar pour moi. Une bouilloire qui ne demande qu'à exploser.
Deuxième confession
Publié le 17/07/2025
très joli poème qui me donne la chair de poule: bravo
CHOU
Publié le 17/07/2025
merci léo pour ce gentil commentaire...
J'aimerais retrouver les mots
Publié le 17/07/2025
Les mots sont des caméléons qui prennent la couleur de nos émotions, ce que le coeur exprime, les mots l’illumine…
CHOU
Publié le 17/07/2025
Encore plus émouvant en prenant connaissance de votre commentaire. Les silences sont plein des gens que l’on aime et que l’on a aimé lorsque l’on en a besoin, ils sont et seront toujours là pour qui cultive leur souvenir. A mlus tard.
Citron pressé
Publié le 17/07/2025
Apprendre à lâcher prise et à ne rien regretter… un texte sincère, merci du partage.
CHOU
Publié le 17/07/2025
Je m’excuse pour le chat Bien à vous Salima 🕯️ il est dans la constellation des âmes et toujours il brillera. 😘
Cymophobie naissante
Publié le 17/07/2025
Beaucoup de courses pour cela et son départ de la plage dans la foulée. Merci.
CHOU
Publié le 17/07/2025
Bonjour Michel Il s'agit de mon conjoint décédé; Merci pour ce beau message;
Le Horla - Guy de Maupassant - 1887
Publié le 17/07/2025
J’ai lu Le Horla je ne sais combien de fois — c’est une nouvelle qui me fascine à chaque relecture. Ce glissement imperceptible vers la folie, cette frontière trouble entre le réel et l’invisible, me captivent toujours autant. Mais c’est en le découvrant récemment au théâtre que j’ai été bouleversé. La mise en scène, épurée et tendue, donnait chair à l’angoisse du narrateur. Le comédien incarnait à la perfection ce basculement intérieur, entre lucidité et délire. Le texte, déjà puissant à la lecture, y devenait presque suffocant d’intensité. Une œuvre magistrale, à la fois littéraire et scénique, que je redécouvre encore autrement.