Merci Lucie de partager ce texte très beau. Ces coups de Soleil sont légions dans certaines régions. Il faut savoir s'en prémunir lorsque ce satané Soleil est trop fort. Mieux vaut prévenir que guérir. C'est en tout cas la leçon que j'ai pu tirer de cette histoire.
Et moi de regarder, avec tristesse, le passé,
Dont je porte les coups de soleil qui viennent ronger,
De leur chaleur ardente, ma peau desséchée.
Dévorée par l'affreuse peste
Je m'accroche au peu d'innocence qu'il me reste,
Chéris le rêve, l'imagination, les folles ambitions,
Au risque de me bercer d'illusions,
Pour apaiser les frissons.
Les doutes m'assaillent, les questions me bousculent,
La réalité s'écrase contre ma bulle,
Encerclée par ces points d'interrogations,
Je veux que me sauve l'affirmation.
Alors pour écarter ce passé plus loin
Je saute dans le premier train,
Et file vers ma nouvelle destinée,
Me poussant dans les bras de la liberté,
N'ayant pas encore la force
D'accepter ce que m'ont fait ces fauves féroces.
Lucie R (texte soumis au droit d'auteur)
Une nouvelle fois un grand bravo mais aussi un grand merci, les règles sont encore un sujet tabou, et c’est bien de pouvoir lire ce genre de texte qui en parle sans détour ni tabou. A plus tard Sahar.
Quelques temps d’humanité qui font du bien à lire, et à vivre. La solidarité ne règle pas tout mais elle est indispensable pour celui qui la reçoit disait l’ancien président du Secours populaire en France. D’humains à humains, il y a plein de chose à faire pour changer considérablement des quotidiens. Merci pour ce trèS beau témoignage Patrice.
Leo, je vous remercie infiniment pour vos encouragements. Je suis ravi que mon texte ait pu résonner avec vous. En ce moment, je me consacre exclusivement à l’écriture de nouvelles, et j’ai hâte de partager prochainement d’autres écrits avec vous.
Merci Lucie ! C'est un clin d'oeil, car je n'ai vraiment pas l'habitude d'écrire des rimes. Mais j'aime bien les chemins inattendus où elles m'entrainent parfois.
Bonsoir Monique ! Vous avez raison, ce sont les mots qui nous entraînent parce qu'ils sont une porte d'entrée idéale vers la liberté, et chacun d'eux porte la marque de celui où celle qui les écrit, les battements de son cœur, sa vie. Encore merci pour ce bel hommage à l'écriture, trébuchante comme sûre, qui est notre noyau dur.
Ce second chapitre est vraiment très emouvant et je n’ai pour ainsi dire pas grans chose à dire si ce n’est bravo. Et plus encore de m’avoir cueilli sur cette fin inattendue. Les émotions sont tellement denses et les scènes si précises qu’on les vit sans se douter de ce qui va advenir. Il faut continuer d'écrire. Merci pour ce moment de lecture et d’émotion.
Je mets cinq… pour cette chevauchée fantastique en quête d’espace et d’idéal qui reste gravée dans mon cœur. Mon idéal, c’est la totale liberté de Neal. A mon avis, une femme n’a aucun intérêt à tomber amoureuse de lui, il faut qu’elle épouse sa propre liberté comme il le fait lui-même. En revanche, si l’on veut tout essayer dans la vie pour trouver sa voie, , il faut faire d’abord le choix moral de la solitude. Ainsi, on ne fait de mal à personne et personne n’a rien à nous pardonner.
C’est Jack Kerouac qui confirme ce que lui a dit sa mère. Les femmes dans l’ouvrage et probablement à cette époque etaient largement délaissées par les hommes dont beaucoup leur en faisaient voir de toutes les couleurs.
Bonjour et merci Monique pour votre très belle participation qui rend un bien bel hommage aux mots qui nous mènent comme vous le dites si bien, par le bout du nez. Écrire sans plus se poser de question, juste pour le plaisir. In sent bien dans votre texte le mot-matière que l’on peut manipuler sans modération. Pensez à raccrocher votre texte sur la page de l’atelier, ainsi tous les participants seront notifiés de votre participation et pourront lire votre texte ! Vous pouvez aussi si vous le souhaitez inscrire une courte bio et vous référencer sur la carte (Votre ville ou même une ville alentour si vous préférez. En tout cas merci de nous avoir rejoints en participation !
Belle analyse. Il y a juste une phrase incompréhensible "Elle m’a dit un jour que le monde ne trouverait pas la paix tant que les hommes ne se jetteraient pas aux genoux de leur femme pour lui demander pardon. C’est vrai." ;-)
Bonjour Léo, j'ai choisi ce mot parce que je suis tombée dessus par hasard, et il m'a inspiré. Grâce à votre remarque je me suis rendue compte d'une grossière erreur : l'emploi de la première personne prête à confusion dans la compréhension de l'acrostiche avec son explication (dont j'ai reformulé certaines phrases qui n'étaient pas claires). Le lecteur ne sait pas si c'est moi ou l'autrice qui parle, alors qu'il s'agit de l'autrice. En passant à la troisième personne il n'y a plus de doutes, d'autant plus que cela était mal placé de ma part de parler à la place de Mary Shelley (qui est bien plus douée que moi). Mon objectif n'est pas de parler tout le temps de moi donc, si j'emploie la première personne il faut que je précise qui dit "je". Je vous remercie de me l'avoir fait remarquer, c'est une erreur immédiatement corrigée. Quant au monstre de Frankenstein il n'est pas mort à la fin du roman car il est toujours présent parmi nous deux siècles après, comme vous le soulignez en parlant de la capacité des humains à créer des monstres. Je vous souhaite un bon rétablissement.
Lorsque les éléments se liguent de toute leur puissance pour mettre â l’épreuve le modeste humain. C’est un peu comme David contre Goliath et c’est ce que je trouve beau : de toute sa faiblesse l'humain par sa résilience et son abnégation n’est pourtant pas couché. C’est héroïque de braver tant d’afflictions. Merci Perthro.
Bonsoir Quentin, une vilaine grippe m’a écarté de la lecture à laquelle je viens enfin de m’adonner. Et une nouvelle fois une bonne surprise même si pour une fois je m’en suis douté. J’ai immédiatement pensé à la méthode Lean qui s’est appliquée dans plein d’entreprises qui voulaient optimiser le rendement. À la question qu’est-ce qui est superflu pour vous ou quelles sont sont les taches inutiles, immanquablement ont dégagé du temps pour faire plus du coup ou alors même supprimer des postes qui pouvaient se repartir sur ces optimisations…. Et comme les idées venaient des ouvriers, comment revenir dessus ensuite. Et au final, au delà même de l'énorme boost de productivité, les ouvriers ont gagner quelques euros de plus contre des milliers et centaines de milliers gagné par les entreprise: en matière de profit, l’humain ne cesse de surprendre, et ton texte rondement bien mené. Bravo et à plus tard Quentin.
Bonsoir et merci Lucie, j’arrive après une bonne grippe A qui m’a cloié au lit ce début de semaine. J’ai été très intrigué par le titre dont je ne connaissais pas le mot. Un acrostiche mené avec soin et patience comme en témoigne les très convaincantes explications. Frankestein est une oeuvre puissante et majeure de la littérature car elle narre la capacité des humains à créer des monstres et des monstres, il y en a plein de nos jours, et les mots ils me semblent, peuvent servir de libération, d’émancipation, de guérison, de rédemption etc… pour bien des personnes. Un terme revêt souvent les deux faces d’une même médaille, une dualité qui est le propre de l’homme. Et puis une mention pour le second acrostiche très malin. Ma seule remarque porterai sur l’usage de la 3eme personne a la place de la première, c’est encore plus impactant lorsque tu t’adresses à nous. En partant de toi directement. A plus tard et encore merxi Lucie.
Bonjour Perthro, je suis contente que cela vous fasse plaisir de voir ce que votre écrit a suscité chez moi. L'évocation des doutes que l'être humain peut avoir au cours de sa vie est très intéressante, à tel point que j'écrirai peut-être un texte sur le même sujet, j'y poserai peut-être mon point de vue.
Bonsoir Léo, meilleurs vœux à toi aussi! Merci pour ton commentaire. Ah, la fluidité.... J'avoue que c'est là quelque chose que je tente d'avoir à chaque ligne, en effet. Quant au sens, je me rends compte qu'effectivement, il a tendance à toujours être proche de ce sens de la vie et de sa fragilité, c'est vrai. C'est souvent aussi très introspectif je crois.
Bonsoir Lucie, meilleurs vœux à vous aussi. Merci pour votre analyse pertinente de ce texte! J'avoue que je n'étais pas allé aussi loin et cela me fait plaisir de voir ce que quelques écrits peuvent susciter.
Merci Myriam, ta chronique m’a passionné. Non pas pour la thematique universitaire mais bien pour les mots qui tentent de s’organiser en communication et puis surtout le sujet de société dont tu parles à la fin qui amènent légitimement des questionnements et en même temps (et là on sait de qui on parle) a été propulsé à la tête de l’Etat un étudiant et sa prof. En tout cas, c’est la première fois que je lis quelque chose sur David Lodge dont je ne connaissais que le nom. A creuser: a plus tard.
Lucie, merci pour votre attention et vos remarques. La complexité des émotions et une certaine tension étaient ce que je cherchais dans cette histoire courte. Bien sûr, après la prochaine partie, je fournirai plus d'explications et je serai ravi de recevoir à nouveau vos retours. je publierai la suite ici.J'espère que cette histoire saura toucher votre cœur, comme elle m'a touché en l'écrivant.