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Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
;-) On te sent enthousiaste ! ;-)
Un instant
Publié le 03/01/2025
Très bien Sahar, je pensais que comme nous étions sur des chapitres, on partirait sur du long. Vivement la suite:
Un instant
Publié le 03/01/2025
Lucie, merci pour votre attention et vos remarques. La complexité des émotions et une certaine tension étaient ce que je cherchais dans cette histoire courte. Bien sûr, après la prochaine partie, je fournirai plus d'explications et je serai ravi de recevoir à nouveau vos retours. je publierai la suite ici.J'espère que cette histoire saura toucher votre cœur, comme elle m'a touché en l'écrivant.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Myriam, merci beaucoup pour votre attention et vos remarques subtiles et perspicaces. Je dois dire que j'adore les histoires courtes, car je pense que nos émotions, avec toute leur complexité, peuvent parfois se transformer en une histoire courte qui allume une étincelle dans l'esprit du lecteur. En fait, je pense que les histoires courtes sont une partie de nos milliers d'émotions que nous voulons rapidement capturer avant qu'elles ne s'estompent, tout en transmettant un message au lecteur. C'est une histoire courte, et je partagerai bientôt la fin. à très bientôt.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Merci, comme toujours, pour ton attention et tes remarques, Léo. Merci pour tes conseils sur les flashbacks et la structure narrative. J'y ai bien réfléchi et je prendrai certainement ces éléments en compte dans mes prochains écrits. Il est important de préciser que c'est une histoire courte et que la suite, en fait la fin, que je partagerai probablement, sera sans doute plus facile à analyser.
Belle année à vous tous acrostiche
Publié le 03/01/2025
Bravo Vickie pour ces voeux de bonne année en acrostiche. J'espère que "l'unique valeur mère" dont tu parles rayonnera sur nos mots cette année en "attendant du neuf". J'espère avoir suffisamment d'"emphase dans le coeur" pour achever les histoires qui couvent sur le papier. J'espère qu'elles pourront tous nous relier. Meilleurs voeux à vous!
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
Merci, je n'ai pas lu mais j'ai appris son dernier au revoir. Belle recension
Un tout petit monde
Publié le 03/01/2025
Un de mes auteurs favoris.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bonjour Sahar ! Les flashbacks sont une bonne idée, il permettent d'avoir l'attention du lecteur sur l'histoire qui se raconte. Ils contribuent à me rendre curieuse quant à la suite. Il faut, je pense, bien repérer ces points de "suspens" pour les développer par la suite sinon le lecteur risque de ne pas comprendre, voire être déçu de rester avec un mystère à la fin (sauf si c'est un effet voulu mais c'est plus complexe je trouve). Enfin, concernant le personnage de Roland il serait peut-être été utile de savoir qui il est dès le début, à moins qu'on le retrouve plus tard dans le récit, mais à ce moment là il faudra trouver un moyen de rappeler au lecteur qu'il l'a déjà vu, peut-être par une adresse de l'auteur au lecteur qui permettra d'installer une confiance, ce qui me semble judicieux. Mais faites comme il vous plaira, je ne fais que suggérer ! Au plaisir de vous lire.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bravo Sahar. Évidemment le sujet est intéressant. C’est très bien écrit et c’est un beau début in media res. La phrase « mais à cet instant je savais parfaitement que la signature n’était qu’un prétexte » est très forte. Je réserverais stratégiquement « la vraie raison » à un autre chapitre pour enchaîner directement de « prétexte » à l’autre phrase « je partais pour chercher quelque chose que j’avais perdu depuis des années ». Votre texte est intéressant mais vous gagneriez en impact ainsi à mon avis. Plus que d'expliquer le prétexte rapidement, vous pouvez insister sur l'aspect sensoriel pour montrer l'angoisse ou décrire physiquement comment elle a changé (elle se regarde dans la vitre du bus par exemple, ce qui donne lieu à une description physique). J’ai le même raisonnement pour « je n’étais plus la même »… « je pensais à tout ce que j’avais laissé derrière moi ». Si vous esquissez la trajectoire de votre personnage dès l’incipit, vous dessinez un bel arc narratif mais en terme d’histoire, vous répondez déjà aux questions qu’un lecteur se pose: pourquoi part-elle, que va-t-elle chercher, pourquoi se ment-elle à elle-même avec ce prétexte ? On peut donner la fonction des personnages dès le début (oncle, père, etc) sans définir ou la laisser en suspend surtout si le chapitre est court. Les questions sont bien aiguisées, ma curiosité attisée, alors il ne reste plus qu’à développer le prétexte dans les autres épisodes. J'ai hâte de lire la suite. A bientôt de vous lire.
Ravel, pour le Peuple des mots; avec gratitude
Publié le 03/01/2025
Joli texte nostalgique. Avec l’année nouvelle reviennent les souvenirs de nos anciennes nouveautés. Elles nous semblent irremplaçables ces premières fois. Pourtant nous sommes nouveaux chaque jour… mais nous oublions un peu l’émerveillement au profit de l’habitude. Je vous souhaite de l’étonnement et d’heureuses surprises pour cette année Gilbert.
Ravel, pour le Peuple des mots; avec gratitude
Publié le 03/01/2025
Premières salles de ciné, premier opéra, premiers émois… ces moments qui font de la vie des moments inoubliables, 43 ans après et même 53 ans si l’on en juge la date d’écriture.
Un instant
Publié le 03/01/2025
Bonsoir Sahar et merci de partager avec nous ce projet. A ce stade il ne faut pas se poser de question, il faut laisser filer le clavier et commencer à échafauder un plan pour structurer le récit à venir. L’important est de rapidement avoir une prise avec les personnages car ce sont eux qui vont nous mener, lecteurs par le bout du nez. Les flashbacks sont utiles pour distiller des informations commençant à brosser la personnalité à travers l’histoire des personnages. Il faut aussi que l’on puisse se représenter physiquement les personnages Exemple : "dans le reflet de la vitre qui la conduisait vers un pan de son passé, elle ramena sa mèche brune en arrière comme pour mieux sonder son regard qui appréhendait ce qu’elle y trouverait » on a des infos sur la couleur des cheveux, on sait qu’elle est anxieuse et ça fait naître une intrigue : pourquoi elle est inquiète sur son passé ? etc… c’est important pour tenir son lectorat en haleine. Exemple : en descendant elle se fit bousculée, elle se retourna et qui elle vit la laissa sans voix. Et là on a hâte de savoir qui c’est par exemple (et puis surtout ça permet de meubler car un roman c’est long à écrire et les chapitres devront être plus longs. En tout cas, fonce et éclate toi, quitte à perdre la maîtrise du personnage qui devirndra au fil de ton écriture qui il aura envie d’être où de revendiquer.
Un instant
Publié le 02/01/2025
Si le sujet vous a intéressé, n'hésitez pas à me le faire savoir pour que je publie la suite ici.
Herbe verte
Publié le 02/01/2025
Je me suis régalé et du magnifique sonnet de Perthro, et de ton analyse, merci et bonne année Lucie.
Herbe verte
Publié le 02/01/2025
Bonjour et bonne année Perthro, et surtout un immense merci pour ce sonnet magnifique. A lire le sonnet est une petite merveille tant le rythme est agréable lorsque la précision est au rendez-vous, ce qui est toujours le cas avec tes créations . Et puis c’est fluide, c’est très difficile de permettre une narration aussi fluide avec toutes les contraintes liées aux réglés propres aux sonnets, et toi c’est comme si tu écrivais les sonnets comme tu respirais. C’est vraiment incroyable. Et puis enfin, le fond, je suis conquis depuis le départ sur ton fond d’écriture qui questionne sur le sens de la vie et qui mets en exergue la fragilité de l’humain dans ses innombrables et légitimes doutes. Que chercher ici bas si l’on se perd ailleurs », cette question est puissante pour toutes celles et ceux, nombreux je pense, qui se la pose. Merci Perthro !
Herbe verte
Publié le 02/01/2025
C'est un joli poème où la question de l'acceptation de l'impuissance se pose. Elle est très actuelle, et montre également qu'il ne nous est pas toujours possible de faire ce que nous souhaitons, que nous sommes parfois contraints de nous adapter. Ce rêve d'un autre monde derrière les murs me rappelle l'auteur espagnol, du XXe siècle, Juan Ramón Jiménez qui, dans son Platero y yo (Platero et moi), imagine un monde naturel et pur derrière les barreaux d'une clôture, soulignant le désir de renouer avec la terre nourricière et la liberté. Le carcan dans lequel la société nous enferme est denoncé au travers de ce désir, un peu comme dans votre poème j'ai l'impression. Quant à la qualification (du poète ?) en âne je la trouve pertinente dans le sens où il est enfermé comme un animal dans son enclos. Cependant, l'âne est un animal très intelligent parce qu'il est têtu. Jamais il n'acceptera ce qu'on lui fait faire s'il ne le décide pas lui-même, et il a bien raison ! Tous ceci étant dit je vous souhaite une bonne année et encore des textes à écrire !
Belle année à vous tous acrostiche
Publié le 02/01/2025
Merci Léo Tous es vœux en ce début d'année à toi également et un très joyeux anniversaire ;)
Belle année à vous tous acrostiche
Publié le 02/01/2025
Bonjour Vickie, quelle belle réussite et dans un temps aussi court qui plus est. De très jolis voeux et j’ai particulièrement aimé l’union de nos songes. Je t’adresse mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année qui débute et le plein d’amour comme attendu à la fin de ton acrostiche. <A plus tard.
Programme de janvier
Publié le 01/01/2025
Merci ! Tout pareil à toi, Léo ! ;-)
Le Président Carter et Haïti...
Publié le 01/01/2025
Je viens d’apprendre la disparition de Carter et comprends mieux ton texte, bonne année Gilbert.
Au marc le franc (temps de lecture 9'36")
Publié le 31/12/2024
Lorsque tu écris ça, j'ai mal. ^^^ Je sors. ^^^
Au marc le franc (temps de lecture 9'36")
Publié le 31/12/2024
J'ai mieux intégré la péridurale, je crois. Et j'ai poursuivi. ;-)
Le Président Carter et Haïti...
Publié le 31/12/2024
Plus que des chroniques, ce sont de sacrés ressources historiques que tu nous partage très cher Gilbert. C’est intéressant que l’âge d’or de la poétique correspond à un moment où il n’y a pas d’experts… à plus tard, pensées chaleureuses pour ce nouvel an qui n’ a rien de festif en Haïti.
J'attends
Publié le 30/12/2024
Bonjour Perthro, les cerveaux nous jouent des tours et les textes n’y sont effectivement pour rien. Je te souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année, à plus tard.
L'ombre
Publié le 29/12/2024
Je m'en suis un peu douté. Je sais que tu es d'origine iranienne depuis ton texte sur les toilettes. Je m'étais dit que peut-être l'ombre pouvait avoir une connotation différente dans une autre culture. Les symboles sont tellement différents que je comprends mieux ma difficulté à saisir ton texte. J'en ai juste respiré quelques fragrances. ;-)
L'ombre
Publié le 29/12/2024
Merci beaucoup, j’ai bien fait de poser la question, j’en apprend tous les jours et c’est heureux, je ne voyais pas la mouette ainsi, merci Sahar !
L'ombre
Publié le 29/12/2024
Merci, Léo, pour votre attention et vos points de vue. Concernant mon choix de la mouette, c’est parce qu’elle possède une nature cruelle et sauvage, contrairement à son apparence calme et gracieuse. Cette dualité correspondait exactement à ce dont j’avais besoin. En revanche, pour moi, le corbeau symbolise les mauvaises nouvelles ou la malchance. Je pense qu'il faudrait que je change mouette en goéland, car plus grand plus majestueux, et sauvage. Je serais ravie de partager d’autres écrits avec vous.
L'ombre
Publié le 29/12/2024
Merci beaucoup pour vos commentaires. Dans la culture persane, l’ombre a une dimension positive et mystique, car elle évoque une partie de la lumière qui recèle un potentiel caché de transformation. En réalité, l’ombre complète la lumière au lieu de s’opposer à elle. Ici, comme vous l’avez mentionné, le poème commence par une allusion aux ombres en mouvement, avant de décrire l’une d’entre elles. L’ombre est une énergie emprisonnée en quête de transformation, et le tournesol symbolise la confiance en soi, guidant l’ombre de la mer et des mouettes vers la rive. Les arbres représentent la famille et les amis, tandis que la route incarne le chemin de la vie. Vos questions m’aident à mieux me comprendre, car j’écris ces textes de manière inspirée, et en vous les expliquant, je découvre des facettes de moi-même que je ne percevais pas auparavant.