Ca manque quand même parfois de clarté. Je pense à cette phrase que je n'ai toujours pas comprise "Ils ont annoncé la fermeture de l'usine avec sa cheminée, ses bâtiments blancs, sa grosse centaine de salariés enchâssés dans un reste de forêt."mais c'est drôle et c'est bien mené. ;-)
C'est chouette ! Je ne m'attendais pas à cette fin. Pour les dialogues, quelques formules m'ont un peu choqué. Je ne les ai pas trouvées naturelles : "Étant à la modestie ce qu’une poule est à la détection d’explosifs", "ses muscles moulés dans un t-shirt de marque et les mains dans les poches". Elles m'ont choqué mais pas assez que pour me décourager ou me contrarier. J'ai fini la lecture avec plaisir. Bravo ! ;-)
Coucou ! Moi, j'ai adoré. Enfin, c'est exagéré. J'ai beaucoup aimé l'idée de base qui est une forme de provocation "Et si on parlait des chiottes ?" Mon point de vue est que la lecture d'un texte, si elle ne secoue pas, est inutile et son écriture dès lors vaine. J'aime bien aussi l'idée de l'Internationale des WC. C'est intéressant. Mais ce qui m'a le plus passionné, c'est l'étude du genre. "Mais attention, il faut le faire en silence, et sans laisser d’odeurs désagréables, surtout si vous êtes une femme. " Les femmes, c'est ma passion, ce sont elles que j'essaie de mieux comprendre, aussi à travers mon travail d'écriture. Hier, ma belle maman me disait à la suite de la lecture de l'un de mes textes que "je semblais ne pas être apaisé envers les femmes". Je lui ai répondu qu'elle se trompait. Je ne crois pas avoir de frustration envers le beau sexe au contraire, je suis en admiration devant ses différentes stratégies qui, je le pense, sont très différentes que celles que nous, en majorité, exploitons. Bref, vous m'avez fait entrer un peu plus dans le monde exotique, chaud et rond des femmes et j'adore ça. Ma seule petite réserve est la forme. Je pense qu'elle aurait pu être un peu plus développée. Selon moi, il faut relire et relire encore en corrigeant mais SURTOUT en ne blessant pas l'âme du texte. Bravo ! Et à vite j'espère ! ;-)
C'est une réalité bien sombre qui est décrite avec justesse et émotion. Il ne faut pas oublier ceux qui n'ont pas la chance de fêter Noël dans de bonnes conditions.
Merci Léo ! Ce conte, je me suis efforcé de l'écrire pour le défi. J'étais assez peu inspiré. J'ai du me faire violence pour parvenir à tirer quelque chose d'acceptable et finalement je suis assez content de la finalité quoi que je sois moins enthousiaste qu'envers l'autre texte sur "les stratagèmes féminins". En tout cas, je suis heureux que ce texte te plaise et encore plus d'avoir pu répondre "présent" honnêtement au jeu proposé par Myriam. ;-) Bonnes fêtes !
J’aime énormément, je ne sais pas quelle est la part de réalité ou non et c’est ce qui me fait dire que c’est très réussi, parce que la narration est authentique et incarnée et que le conte de Noël prend bel et bien forme sur le fil du récit. Bon nombre de textes m’émeuvent car ils livrent souvent une forme de fragilité ou de faille, souvent renforcé par la nostalgie, et c’est courageux de se livrer de la sorte. Alors grand merci pour cela. Pour ce qui est de Mistigri, il semblerait que les chats ont sept vies… merci piur ta participation et jebte souhaite un joyeux Noël.
Merci pour votre attention et votre avis sur mon écrit. Contrairement à mon style qui peut sembler audacieux dans mes textes, je suis en réalité très réservée. Beaucoup de mes écrits de ce genre n'ont jamais été publiés. Votre opinion me donne le courage nécessaire pour envisager de partager mes textes, même s'ils peuvent sembler hors des normes pour certains. Bientôt, j'aurai plus de temps pour écrire ici et poursuivre cette démarche.
Merci pour ce commentaire avec un peu de retard mais en cette période, le retard est vite pris... Pour rebondir sur ce que tu dis, je sais aussi que les "affres cutanés" deviennent à l'oreille les "affreux culs tannés"... Je ne peux malheureusement pas y faire grand chose.
Hello Léo! Merci pour ce conte de Noël. Le passage du souvenir de l’espoir à l’espoir présent (vision du sacre et la chaire) est très bien décrit. Je trouve la fin fantastique au double sens du terme. À partir « d’une lumière bleutée le réveille », un enfant peut s’exclamer « mais alors il n’est pas mort? » exclamation néanmoins démentie par la première phrase du texte. Merci beaucoup du partage !
Encore une fois, merci beaucoup de ton soutien!
Je suis un piètre pâtissier et ne présente donc aucun danger ...
J'avais pensé m'essayer à la réécriture du conte de Noël mais j'ai été pris par le temps. La prochaine fois !
Bonjour et merci pour ce premier texte et votre participation à l’atelier d’écriture qui me semble parfaitement relevé. C’est une excellente idée d’avoir pris Elon Musk comme personnage de ce conte de Noël car très probablement, il s’agit, de part sa richesse, ces innovations et désormais son influence politique, est très probablement l’homme le plus puissant de la planète, et effectivement ce n’est pas la sensibilité qui semble caractériser sa personnalité apparente. Bravo pour l’ambiance froide et solitaire créée à travers des descriptions soignées, l’intrigue en 3 temps que l’on retrouve souvent dans les contes, avec pour moteur la technologie qui est la quête de toute sa vie pour parvenir à ses desseins sur Mars. La conclusion se termine comme ont peut le rêver pour les plus beaux contes de Noël. Grand bravo et encore merci de votre participation et partage.
Je te remercie, Myriam. Ton commentaire est vraiment encourageant pour la suite, même si je sais qu’il faudra encore apporter un peu de “polish” au texte, qui reste assez brut pour le moment (mais je tenais à le publier avant le 24 décembre). Mon intention était effectivement d’humaniser le personnage principal, qui peut facilement sembler antipathique (particulièrement en ce moment)… Au plaisir de te lire !
Bienvenue Saqsaywaman! Bravo pour cette audacieuse réécriture de Dickens et merci du cadeau de Noël. Qu’il est difficile d’humaniser un personnage antipathique que ce soit Scrooge ou sa version contemporaine! C’est pourtant bien nécessaire pour construire de bons personnages de « méchants ». Je salue le soin pris à dépeindre les esprits de Noel présent, passé et futur. Leur apparition est rendue probable par les détails par exemple (la lumière bleue qui rend l’androïde presque humain). Les questions des esprits sont ironiques et toucheront justement n’importe quel homme/femme pressé. Il y a un Scrooge qui sommeille derrière chaque type aigri. Enfin, pour ce qui est du style, c’est agréable à lire. Nous pouvons toujours améliorer ce texte tous ensemble. Je placerai dans la forge quelques idées de reformulations prochainement. A bientôt et bravo!
Vive les pompiers-cardiologues et plus encore s’ils sont en voie de disparition, les savoir-faire que ce soit dans l’artisanat ou bien d’autres domaines comme sur le plan linguistique souffrent d’une difficile transmission, peut-être lié à une réalité économique ne permettant pas de prendre le temps de la relève ou même pour certains métiers, d’en vivre derrière. Heureusement, mes textes comme le tien leur prête vie et souvenir. Merci Gilbert.
Très heureux de vous retrouver Philippe. Quand l’hiver rythme nos vies et nos turpitudes. De l’ancrage des souffrances passant par l’émancipation, jusqu’à la joie de vivre. Un développement dans le temps, un apprentissage saison, après saisons… merci pour cette très belle composition.
C’est cynique avec une galerie de personnages stéréotypés et caricaturaux, presque malhonnêtes mais ça va particulièrement bien avec le style du texte. J’ai beaucoup aimé le ton froid et cynique justement, assumé, le découpage du texte en morceaux, chirurgical, comme la disparition de ce pauvre ouvrier sacrifié sur l’autel économique et social de ses contemporains. Bref, une très belle entrée en matière, politiquement incorrect. À plus tard.
Woawww totalement surprenant et politiquement incorrect. Encore une fois mené de main de maître. Tu arrives parfaitement à distillé les informations aux bons moments, savamment pour ne rien gâcher de la chute. Ce repas de famille plein de ressentiments est presque de saison avec les fêtes de fin d’année qui arrivent. C’est corrosif, implacable et froid comme l’est le dénouement. Bref, je me suis régalé, même si je ne prendrai pas une part de ton financier. Il y a un atelier sur l’appropriation et réécriture d’un conte de Noël si ça te tente, ce serait top de voir ce que tu fais de cette proposition d’écriture. À plus tard.
J’ai lu que ça fermait effectivement, n’hésitez pas partager « Le peuple des mots » avec les auteurs qui souhaitent poursuivre le partage de leurs textes avec d’autres auteurs.