Bonsoir et bienvenue sur le peuple des mots Papillon bleu. Avec un grand merci pour le partage de ce livre. Ce premier chapitre est efficace avec la mise en place de l’héroïne qui ne laisse pas indifférente dans ce monde d’hommes où les femmes, même elfiques se doivent pour y faire face, de redoubler, d’efforts, de précautions et de finesse. Déjà plusieurs éléments structurant subtilement glissés, qui éveillent le questionnement et l’intérêt. Une bonne nuit de sommeil avant d’entrer en plein dans l’histoire.
La schizophrénie est tellement crédible que ton texte confine au fantastique, c’est dire son efficacité. Toujours aussi impliqué, merci pour le partage de ce nouveau chapitre.
Bonjour Léo, merci pour ce joli commentaire. Saint-Exupéry est un excellent professeur, sage, il nous invite avec justesse à nous rapprocher de l'autre, à ne pas avoir peur de lui, de sa différence. Un être humain ne peut vivre tout le temps seul, c'est un être sociable, il a besoin des autres, comme de la nature qui le nourrit. Il ne domine pas le monde, il en fait partie. À plus tard Léo !
J'ai préféré ce second chapitre au premier. Les deux premiers paragraphes m'ont paru plus authentiques. On comprend l'idée du rêve et auprès de la réalité, mais la première transition est perfectible, je crois.
J’aime toujours autant, une seule petite annotation. Les sens affolent la raison qui semble perdre pied. Une bouleversante oscillation entre le lâcher prise et la maîtrise de l’âme. A plus tard Stanislas.
Bonsoir Lucie, j’ai été touché par ton texte car il m’a immédiatement replongé sur le passage du renard dans le petit prince de St Exupéry : "– On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Il achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! » et de conclure plus loin sur deux vérités acquises de l’expérience avec des roses : « on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. » et « Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé ». Les mots sont aussi sources d’apprentissage et de sagesse. A plus tard Lucie.
Bonjour Yana, on est prit par l’histoire aux multiples rebondissements, et l’on aimerait plus de description et plus de lignes dans chaque chapitre pour en apprendre bien davantage sur chaque personnage. A suivre.
Merci Léo, j'ai utilisé le supposée supériorité humaine, simple animal comme tant d'autre ses sens, tous ses sens et dérivés pour alimenter la fin, la course au tombeau et sincèrement je te remercie pour toutes les lectures faites...
Bonjour Jeff, tes mots pareils aux grains de sables d’une clepsydre qui coulent sans que rien ne puisse l’empêcher. L’usage de l’anaphore appuie sur les actions vaines de l’humain qui se voudraient être une digue mais qui ne saurait lutter face à la toute puissance et au règne de la nature. Merci pour ce partage.
Bonjour ! De ce temps révolu il ne reste que des souvenirs. La vie, inexorable, avance. Elle change, se modifie. C'est comme ça, on ne peut rien y faire, il faut l'accepter. Cela n'empêche toutefois pas la nostalgie, comme vous la faites ressentir à vos lecteurs, des bons moments. Mais regarder hier c'est aussi voir nos erreurs afin de ne pas les reproduire aujourd'hui. Chose qu'on oublie trop souvent... Merci, en tout cas, de m'avoir fait revenir en arrière !
Bonsoir Stanislas, je suis pleinement dans ton récit vraiment bien écrit. En annotation une coquille et le signalement de l’endroit où le texte a été mis en double. A suivre.
Bonjour et bienvenue sur le peuple des mots. On perçoit ici une volonté de représenter l’acte sexuel comme une pulsion irrépressible, disons-le, animale, à travers un vocabulaire équestre. Ce choix renforce une idée de domination physique, qui peut certes choquer, mais reflète aussi une tradition littéraire de l’érotisme brut. La question se pose toutefois de la réception de telles images de nos jours, à la fois entre fascination et inconfort.
Un texte aux formules efficaces pour (ré)éveiller la conscience au carrefour de toutes les possibilités . L’Humain et son évolution alors qu’il n’était qu’être parmi les autres. De l’efficacité dans les mots, dans les images, dans les sonorités avec quelques allitérations, un beau texte, merci Jeff.
Merci beaucoup Léo. Il est tout à fait vrai qu'il y a là une tension schizophrénique. J'ai essayé d'écrire un texte fantastique, c'est à dire une hésitation entre le quotidien et le merveilleux.
Bonjour et bienvenue Balu. Et merci pour ce premier texte qui me permet de vous découvrir en texte et en styles. Vous écrivez bien et même sur plusieurs séquences de façon littéraire (de très belle facture) et dans le même temps vous êtes sur un récit léger comme on pourrait parler de vive voix. C’est pour cela que j’ai mis un « s » à style précédemment : vous n’en avez pas un mais plusieurs qui se cherchent, et qui se neutralisent puisqu’aucun ne prend véritablement sa place. Vous vous doutez bien que je ne saurais que vous encourager à aller à fond sur votre style littéraire qui franchement en a sous le coude. En tout cas vous avez matière à… et puis enfin vous féliciter car vous parvenez à créer une ambiance qui confine à la folie pure en toute fin et j’ai pensé à Maupassant (qui est dispo dans la bibliothèque du site en même temps que « Le chien des Baskerville » mentionné dans votre écrit). Lorsque vous aurez trouvé et fait des choix dans votre écriture, je crois vraiment que vous allez écrire de grandes choses. Merci de votre partage et confiance ce faisant.