Les mots semblables à des notes d’une majestueuse symphonie… est-ce la musicalité que viennent les mots ou des mots une musicalité. Comme pour le dilemme de l’oeuf est de la poule la créativité est aussi affaire de paradoxes. Merci pour ce partage, à plus tard Michel.
Merci de vos mots, cher Léo. L'atelier m'intéresse en effet, si les horaires sont souples. Je suis assez disponible et ce jusqu'au 28 juillet.
Amitiés,
Sam
Jusqu’à l’écho quantique, source de tant de possibilités, sonder l’immensité des possibles par l’infiniment petit, superposé, intriqué, indéterminé, dual etc… une nouvelle façon d’appréhender le monde et son existence, vertige de l’humanité. Merci de ce nouveau partage.
Il y a une vraie intrigue avec de nouveau des éléments qui la font progresser à chaque fois, avec des énigmes qui suscitent intérêt et réflexion. Ce qu’il y a d’intéressant également, c’est que ces deux entités semblent aussi dépendantes l’une de l’autre, au destin qui semble irrémédiablement lié. Sortir de sa souffrance et de sa solitude pour en explorer une autre, pas sûr que cela soit sain et puisse être salutaire mais elle a au moins le mérite en certains instants de faire briller une petite flamme d’espoir, même si cette flamme est bien trop chancelante pour l’instant pour assurer qu’elle puisse croître et aider à s’en sortir. A suivre. Merci Stanislas.
Bonjour Sam, un grand plaisir de te retrouver dans ce texte qui ouvre un éventail d’éléments apaisants et qui semblent porteurs. Les chats et leur ronron thérapie sont effectivement de bons partenaires de quiétudes, de plus en plus de thérapies humaines sont reliées avec des animaux. Ensuite l’accompagnement humain avec de nombreuses spécialités qui se complètent, mais de ce champ la confiance doit être de mise. Et puis il y a les étapes de la résilience, longues et parfois tortueuses même si j’ai découvert il y a peu que la résilience pouvait être un piège à grandes échelles : pourquoi agir dans des programmes de sociétés qui ont un coût certain, puisque les humains finissent par se débrouiller tous seuls (ce qui n’est absolument pas vrai pour les plus vulnérables et sans le sou). Les mots sont un outil de délivrance et d’émancipation certains, à de nombreuses conditions toutefois. À plus tard et merci Sam pour ton témoignage, à plus tard. Ps : on a un atelier en cours sur 7 jours pour tout changer qui pourrait t’intéresser je pense.
La force, la puissance des mots par rapport à cette confession '' je suis vulnérable ". D'ailleurs, il faut un sacré courage pour l'exprimer. Je reconnais que mon premier commentaire était un peu trop implicite!
Me voici également fan de ce Léon le tigre qui a le sens du spectacle et qui sait susciter l’adhésion auprès de son public. L’univers du cirque est un monde à part entière, un univers qui est bien rendu dans ce texte. Merci Ajra.
Merci Léo pour ce retour. J'avais écrit ce texte pour participer au défi "Le 7ème jour… un récit pour tout changer", je l'ai donc mis sur le fil concerné. J'ai continué et terminé ce premier chapitre.
Enfin une explication concrète sur à quoi ressemble le dérèglement climatique. Si nos politiques pouvaient nous expliquer ceci, beaucoup plus de monde prendrait conscience du phénomène !
De la pédagogie, c’est ça qu’il faut !
Avant de lire ce texte, je ne comprenais pas tout et maintenant tout est clair dans mon esprit. Tout ce CO2 ne peut évidemment franchir l’étape de l’espace à cause de la gravité.
C’est un excellent texte, il devrait être publier pour que la plupart le lise et même en faire un reportage court qui passerait à la place des publicités !
Merci Michel Tournier 🙏
Merci Léo,
Vous êtes un fin lecteur et admirateur de l’art en général. Tout comme moi. En effet je comprends bien la pensée pour Bernard buffet et ses clowns tristes…
Oui il y a beaucoup d’optimisme et d’amour en 2ème partie et j’aime ce contraste qui amène à cette tendresse.
Merci beaucoup
Merci Léo,
J’essaie juste de faire comprendre en mots simples et exemples concrets ce qu’est ce réchauffement climatique à plusieurs échelles. Evidemment au niveau de la terre qui est tellement vaste, nous avons du mal à imaginer que cette atmosphère qui nous entoure et d’une hauteur de 100km ne puisse pas absorber plus ! Et c’est justement là l’explication, le déversement dans notre atmosphère est permanent, il ne s’arrête jamais et avec la gravité (heureusement nous l’avons !) rien ne s’échappe dans le vide.
Il faudrait beaucoup de pédagogie et très tôt pour comprendre (et ceci justement est le minimum que nous devrions tous savoir)
Merci à vous
Michel
Je suis vraiment à fond dans le récit et ce basculement au fantastique est très fluide et bien mené. Ces yeux verts sauvent sa journée, et de toute évidence semble vouloir sauver son âme pour l’éternité. C’est très bien écrit, un plaisir à lire. Merci et bravo Stanislas.
J’aime beaucoup ce texte qui narre le quotidien des anges gardiens des laissés-pour-compte, qui font plus que ce qu’ils doivent faire, et qui dans cette quête qui se lance, redonnera probablement vie à un passé plein de vie et d’espoir. A suivre avec grand intérêt, bienvenue sur le peuple des mots en texte et grand merci de ce partage.
C’est un point de vu intéressant que de regarder la Terre à hauteur d’humain et de quotidien car cela est concret et en permanence sous nos yeux et j’aime aussi la conclusion qui est une note d’espoir et d’encouragement qui ne doit pas sembler vain pour que les efforts se poursuivent et se décuplent. Merci Michel.
Une pensée à Bernard Buffet à la lecture de votre premier texte qui a peint à la perfection les clowns tristes, qui ne sont que des hommes derrière le maquillage souvent bien seuls à la fin de la représentation. Le second texte est très encourageant et optimiste, partout où il y aura de l’art, rien ne sera totalement désespéré. Bienvenue sur le peuple des mots et merci du partage Michel.
À la lecture on perçoit bien le trouble face à celle/celui à qui le texte est adressé, il est renforcé par les vers non terminés. Cela donne un bon rythme.
A l’équilibre sur le fil fragile de ce récit, dans l’ombre et la lumière de géants des mots, le feu couve les flammes d’un chaos qui semble inéluctable. A plus tard Loscrivo.