Merci Veramylene pour votre message. Si j'ai d'abord cherché à faire quelque chose de fantastique, cela a viré assez vite à l'épouvante, en effet. Je vais vous faire un aveu : d'autres idées de développement sont venues depuis, plus épouvantables encore :-)
Merci beaucoup Allegoria ( magnifique pseudonyme!). Je suis très touchée par votre message. A bientôt, j'espère pour de nouvelles aventures littéraires.
À quoi se raccrocher lorsque l'on tombe.. Que l'ordre fait par les hommes n'en est plus un. Se raccrocher aux mots, eux-même sonnant le chaos. Déstructurés, délestés de leurs points et virgules, les mots d'Allegoria sonnent le glas d'un ordre, ils osent, crachent, crient, aiment et espèrent. C'est beau de vous lire Allegoria, ça réveille toujours des choses enfouies. Merci de ce partage
Bonjour Vivi, comme le prévoient les CGU actuelles, chaque auteur est le seul propriétaire et responsable de ses propres textes, il se doit de les archiver. Nous ne sommes pas tenus et surtout nous n'avons pas le droit de garder des contenus qui ne nous appartiennent pas. En revanche nous avons gardés les sujets des ateliers d'écriture puisqu'ils ont été produits pour iPagination et je pense que cela pourrait être une bonne idée que de les proposer à nouveau via les défis d'écriture, ce qui permettrait aux anciens auteurs de pouvoir s'ils le souhaitent partager à nouveau leurs textes.
Merci d'apprécier Léo. Je suis contente. Je me posais une question l'autre jour, que sont devenus les anciens textes des défis que beaucoup de participants avaient envoyés à "Ipagination" il y a quelques années... avant sa résurrection? Vous les avez archivés ou supprimés??? Merci de la réponse Kissous
J’aurais cru lire un conte, c’est léger bien que le lieu ne s’y prête pas. C’est la réalité des êtres, de leur frustrations et attentes qui gomment les barreaux de la prison comme pour mieux illustrer les barreaux des non-dits qui finissent par trouver le chemin du cœur et de la sincérité. Un défi relevé sans encombre Vickie, beau boulot.
Après les madeleines de Proust, les oranges de Vivi qui font mouches. C’est un très belle idée que de s’appuyer sur les souvenirs et sur une époque suffisamment douce pour apaiser une âme en quête de rédemption. Cela apporte une belle part d’humanité pour conjurer les remords insoutenables. Vraiment bien joué.
J’aime beaucoup, c’est une très belle idée que d’avoir opté pour cet objet qui permet aux mots de filer à toute ber zingue loin de la solitude et de l’ennui. Il y a le bruit comme une douce mélodie au rythme d’une créativité qui prend sa part de liberté. Le travail de description est très soigné et l’on prend grand plaisir à entrer dans les rouages de ce défi relevé avec brio. Bravo.
Agréable à lire, les mots roulent sur la langue et déroulent la fragilité d’un instant. En bord de gouffre, la poésie en porte-voix le mot crie son étouffement. J’aime, merci du partage.
Bonsoir et merci Myriam pour ce très beau retour. Ce journaliste n’est autre que son ancien voisin qui par son silence a laissé les violences perdurer. C’est sa culpabilité qui provoque son suicide. À plus tard et encore merci !
Ah ! les mots si justes de Mylène ;) Pour toi, l'art. Pour moi, la poésie des prisons tellement présente dans la littérature. Et la folie, la perte d'équilibre qui guette face à l'isolement ... :)
L'idée des dessins qui prennent la place des mots étai vraiment bien trouvé. L'univers carcéral est souvent un milieu difficile, souvent inhumain. Mais il peut être tout autre chose. Un incroyable lieu de réflexion. Tenter quoi que l'on fasse et où que l'on soit de transformer le plomb en or, n'est-ce pas finalement faire un pas vers le bonheur?
L'idée de ces dessins offerts quant les mots manquent, c'est beau ! Et cette figure d'amour paternel une riche idée. J'ai aimé aussi ta façon de clôturer le récit. Bravo :)
Merci beaucoup, j'ai eu un peu de mal à trouver l'objet puis je me suis dit que seul l'art permettrait de trouver un espace de liberté en milieu carcéral. J'ai aussi pensé à ces familles séparées et l'idée m'est venue ainsi. Mais en effet Mathieu est dur avec sa femme du fait de sa réalité.
Merci beaucoup en tout cas
Chère Vickie, votre texte aborde ce défi de belle manière. L'angle de la boîte est assez judicieux, tout comme le choix narratif. Vous allez bien dans la psychologie des personnages, autant que dans les faiblesses de Matthieu à communiquer par écrit à sa fille. Votre texte parle d'amour et cela m'a beaucoup touché, même si je trouve Matthieu un peu dur avec sa compagne qui subit elle aussi, à sa façon, cette incarcération. Le final est vraiment bien trouvé, terminer sur le symbole de la petite fille et de ces dessins rédempteurs. Défi relevé Vickie, haut la main! Merci pour ce moment d'émotion.
J'aimerais bien écrire de manière aussi émouvante sans pathos.
"Ma mère est morte du syndrome du coeur brisé quelques mois après".
L'amour est dans les petites choses. Les oranges par exemple comme dit Fabien c'est un beau symbole.
Et bien voilà... c'est normal... nous perdons tous un jour nos parents... et nous retrouvons dans nos souvenirs ces histoires d'orange à Noël...J'aime bien les textes courts... Merci de votre appréciation Fabien Et euh! je n'ai pas fait de prison.... LOL kissous
L'idée m'est venue toute seule en pelant une orange... prison... oranges et puis Noël et ce que les personnes âgées de la famille racontaient... et cela a tourné dans ma tête... j'ai une orange toute sèche dans une armoire... mais c'est une histoire Corse du temps où j'y habitais...
à l'approche de Noël. Votre orange me parle beaucoup. Mon papa qui nous a quittés en 2016 me racontait ces oranges de Noël comme seuls cadeaux. Avec vous, rien ne triche, vous ne vous perdez pas dans des mots inutiles. Le texte est plein de petites choses authentiques qui pourraient faire penser que tout ce que vous dites vous est arrivé. J'aime beaucoup "le syndrome du coeur brisé et le rapport émouvant à la mère sans pour cela verser dans le pathos. L'orange comme talisman, c'était audacieux. Bravo pour ce défi relevé haut la main.