Le petit mot de Julos m'a fait frissonner...j'ai eu cette chance de le rencontrer... Et que dire... merci de tes appréciations et de ta gentillesse... et ne nous quitte pas Kissous
Je te remercie Léo. Tes mots me touchent beaucoup. Les éditions IPagination ont un regard tellement plus humain que les autres Maisons d'éditions, sur la relation auteur-éditeur, mais aussi sur l'intention de se renouveler sans cesse à l'image de ses ateliers d'écriture, que c'est un réel plaisir de faire partie de cette belle aventure IPaginative.
A la réouverture de la plateforme nous rêvions de pouvoir de nouveau bénéficier d'une communauté bienveillante, curieuse et portée sur les autres et ce rêve est exaucé grâce à vous. Quel bonheur j'ai de rattraper les lectures en retard et de pouvoir m'exprimer sur ce qui est offert avec coeur et talent. Merci Allégoria, et merci à toutes et tous les autres qui constituent cette belle communauté ipaginative.
Merci Fabien, au-delà de l'écrivain de talent, je salue l'homme de coeur, altruiste, qui avec beaucoup de bienveillance a pris le temps de proposer des sujets de grandes qualités, qui ont permis à l'imagination de s'en donner à coeur joie, et aux citoyens de réfléchir et de se positionner sur des sujets hautement complexes. J'ai pris plaisir à découvrir les productions et je me suis enrichi des mots des autres mais aussi de leur point de vue. Merci à tout le monde pour cela. Et merci à toi encore, pour tous tes commentaires généreux et qualitatifs, toujours bienveillants. Merci d'avoir pris la posture du juge car cela a permis de se rendre compte ô combien il n'est pas chose aisée de pouvoir juger les autres. Je suis heureux de notre rencontre, heureux de ce mois de novembre précieux, avec cet immense plaisir de te retrouver à nouveau pour de nouveaux temps forts entre auteurs, pour les lecteurs. MERCI !
Parce que cet atelier a permis de passer un mois de novembre à lire de jolis textes. Merci à vous pour cet atelier et son extension pour reprendre le mot d'Allegoria hier. On parle d'extension pour un jeu vidéo, pourquoi pas pour un jeu littéraire?
Au plaisir de vous lire.
J'aime beaucoup la chute de votre nouvelle. Elle se lit très bien car il n'y a aucun temps mort: on reste accroché jusqu'au bout. Le duo Marc/Gabriel est assez drôle. La mention de "vomito" m'a fait rire mais n'a pas cassé le suspense. C'est chouette à lire.
Pour votre texte, et ce plein de souffle et d'imagination ! J'aime ces détails qui ne servent pas d'ornements, mais bien présents pour soutenir l'intrigue et garder en haleine votre lecteur. Quant au problème de l'incise, je comprends qu'on soit tenté de mettre une majuscule derrière le "? "(ou "!"et "..."). Ils ont en fait une valeur de virgule expressive (même cas d'ailleurs derrière des interjections). Ah ! ces règles typographiques ;)
Bienvenue et merci de votre participation. Le sujet est bien respecté et l’esprit de l’escape game bien mené, avec une sortie étape par étape, avec une tension narrative de bout en bout. Bravo également pour la chute qui attise la curiosité. Une ultime relecture aurait pu gommé les quelques erreurs d’inattentions relevées. Merci de votre partage et de votre confiance, à plus tard.
Bonjour Sarah et merci pour cette première participation. Une belle imagination ressort de vitre texte, l'intrigue est bien menée et le rythme soutenu. Le lecteur a envie de lire la ligne qui suit ce qui est une bonne chose. Capter l'attention est un travail difficile et pour cela bravo Sarah. J'ai relevé quelques erreurs de syntaxes, mais sûrement sont elles le fruit de l'inattention. Vos incises de dialogues comportent aussi ce que j'appelle un tic d'écriture. exemple: quoi ? S'étonna-t-il. Le s doit être en minuscule sur l'incise. En tous cas, belle prestation, vous m'avez donné envie de lire la suite
C'est un très beau conte que vous nous donnez à lire. Je partage les remarques plus haut: on a l'impression d'assister au conte, la prose est belle et coule comme une belle parole. Je me demande seulement si les jeux sont joués dès le départ ou bien si CUMBA ne doit son sort qu'au fait d'avoir oublié toute prudence.
Si elle avait épousé BOUMBA, elle aurait déjà appartenu à l'autre monde par cette alliance, si elle avait dit "oui" pour ces noces avec l'esprit, n'aurait-elle pas déjà perdu la vie?
C'est une notion très pertinente, et qui cadre parfaitement bien au repentir de Mme Astriate et à son besoin par la suite de sensibiliser aux dangers de l'alcool et de la drogue. Cette extension au défi crée une réelle valeur ajoutée aux réflexions des uns et des autres. Merci beaucoup Myriam pour ce partage.
Si je pouvais j'ajouterais un coeur gros comme ça. Il est très agréable de passer du temps à cet atelier et de vous lire tous... à très bientôt de vous lire. Myriam
Je tenais à vous remercier de votre indulgence à mon égard. Je vous souhaite une retraite paisible au bord de vos rivières. Vous le méritez. Je prends note de votre sage conseil, et m'appliquerai à vivre pleinement. Soyez sûr que je partagerai ma dernière lecture. Avec tout mon respect.
entièrement d'accord Léo, AE Myriam a mis le doigt sur une notion essentielle et l'a magistralement développé. Ce qu'il y a d'incroyable dans cet atelier, c'est qu'au-delà de l'aspect littéraire, il pousse notre réflexion commune. C'est assez jubilatoire je dois dire
J'ai passé quelques années en Afrique et dans le village où j'ai séjourné, un conteur africain (un griot) réunissait adultes et enfants tous les mercredis pour leur raconter la vie au travers d'histoires toujours riches d'enseignements. Votre texte, me ramène à cette époque avec beaucoup de nostalgie. Vos mots sont simples mais pas simplistes ( on a souvent dit cela de mes écrits.. Un des plus grand compliment que l'on m'ait fait). C'est très agréable à lire, bien ponctué et très fluide. Un grand bravo pour ce texte quasi philosophique.
J’ai été très sensible au fait qu’elle soit « condamnée à un exil intérieur que la liberté ne lui rendra pas ». Car effectivement tout est une question de point de vue et la liberté est toute relative lorsque les geôliers resteront à tout jamais la culpabilité et les remords. Un beau et efficace plaidoyer.
Bonjour et merci pour cette seconde contribution. Je rejoins Allegoria, l’oralité de votre conte est très réussie. Et puis il est surprenant parce qu’il ne se finit pas bien, ils ne se marièrent pas et ne durent absolument pas heureux et n’eurent pas de nombreux enfants. J’aime être pris à contre-pied, sans compter cette cruauté sublime qui permet à tout le monde de contempler la singularité et la beauté d’une lune qui abrite un terrible drame. À plus tard.
Votre avis plus qu'avisé sera pris en compte avec le plus grand intérêt. J'attendrai bien évidemment le retour des autres membres du jury. Cependant, je tiens à vous remercier d'avoir sacrifié une grande part de votre innocence pour peser objectivement sur cette triste affaire.
Bien à vous.
Madame,
j'ai pris connaissance de votre lettre avec beaucoup d'intérêt. Vos remarques soulèvent des notions essentielles et m'amènent à réfléchir sur la notion même de liberté. La liberté extérieure peut-elle palier de quelconque façon à l'emprisonnement intérieur? C'est une question essentielle. Et je dois dire que votre réflexion métaphysique me pousse à voir cette notion sous un prisme différent.
Chère Madame,
pour des raisons très personnelles, Madame de Lapaille ne formera pas avec vous autres le jury populaire qui décidera de libérer ou pas Madame Astriate. L'appartenance à jury n'est pas obligatoire. Néanmoins, Je vous ai toutes choisies pour vos qualités humaines et de réflexions. Et j'espère pouvoir compter sur vous toutes sur ce dossier plus que sensible.
Qu’il est dur de statuer sur la vie des autres et plus encore sur ses intentions futures, sur la sincérité d’un cœur et d’une âme. Ce défi mets en lumière toute cette complexité ou les mots parfois ne suffisent pas de juger objectivement de situations et de drames. Mille mercis à Fabien pour cette animation de qualité et merci beaucoup Allegoria pour toutes les participations. À plus tard.
Surtout, je ne voudrai pas vous priver d'une excellente lecture. À présent, je vous laisse avec Christian Grisoni. Vous verrez, il est comme le pan abrupte d'une insaisissable montagne. Riez, pleurez, espérez au fil de ces pages. Et surtout restez bien dans la vie, obstinément..
Bien à vous