Bonjour Léo
Tout d'abord pardon pour mon très long temps de réponse: gros passage à vide pour moi et coupure avec le reste du monde.
Bref, ça va un peu mieux aujourd'hui. Alors je tenais à te remercier pour tes mots si gentils et encourageants. A bientôt
Vickie
Bonjour, bienvenu et merci de votre participation Dominique. Afin que votre texte soit commenté par Véronique il faut que vous alliez le déposé sur la page de l'atelier, vous y verrez un bouton pour participer. Les consignes sont respectées et la narration est fluide. Vous aimez raconter les histoires et cela s'est senti à la lecture. Cela augure de bonnes lectures à venir. Quelques coquilles subsistent, probablement liées à la vitesse d'exécution du texte, publié en à peine 48H00. J'ai hâte de découvrir d'autres textes de vous. Encore merci, à plus tard.
C’est fort, j’aime ce clair-obscur où se mêle caresse et destruction, cette ambivalence humaine qui la caractérise tant. Tu crée des images qui bousculent et déstabilisent. C’est une poésie concernée, vivante, qui murmure et hurle sa force et sa raison d’être. À chaque fois je lis, pars, reviens, relis, souris, hoche la tête, parfois repars pour revenir et rassembler mes mots éparpillés façon puzzle par le blast de tes images qui se peignent pile dans tes pinceaux.
C'est beau ce que tu nous racontes là, honnête et sincère. Ça touche en plein cœur. Tes mots rendent bien visible et bien moins frêle cette jolie fillette aux boucles blondes. Merci pour ton partage :)
Lorsque j'étais plus jeune et que j'entamais ma modeste activité d'écriture, j'avais comme beaucoup des rêves de grandeurs, signé dans une grande maison d'éditions, je me voyais déjà arrivé. Avec le temps et les rencontres, j'ai bien compris que ce qui comptait réellement était l'acte d'écrire. Écrire parce qu'il s'agissait d'une manière vitale d'exister. Je terminerai par les conseils que m'a donné le grand et pourtant si humble Hervé Le Corre: écris toujours pour toi avant tout. Reste sincère, ne force pas les mots, car n'oublie jamais que bien écrire ce n'est pas écrire bien.
Merci beaucoup Vickie de ce partage des plus personnel et de cette manière toujours pleine d'imagination de te révéler. Ta force est la nostalgie et aussi cette grande sensibilité que tu places dans tes textes. De plus tu abordes ici quelque chose qui me touche particulièrement: le statut de l'écrivain et la reconnaissance. Les vraies questions seraient: quand devient-on réellement écrivain? Accède-t-on au statut d'écrivain par la consécration?
Bonjour Vickie et merci pour cette participation sensible et très émouvante. ce « Et moi ? Tu t’en rappelles ? » m'a particulièrement ému. Car tout est là dans le souvenir, dans ce à quoi nous avons cru et idéalisé avec parfois quelques déceptions. Mais comme ton texte le rappelle il ne faut pas abandonner et toujours persévérer. Ici nous avons plaisir à te lire et le plus important c'est que tu prennes plaisir à écrire, et de cela j'en suis à peu près sûr et certain. Tu ne renonces à aucun défi et ton imagination m'a surpris à plusieurs reprises, et j'ai souri à chaque fois, car c'est un immense cadeau que de surprendre un lecteur. Alors merci, cette fillette peut-être déjà très fière de cette femme rencontrée sur un banc. À plus tard Vickie.
Des commentaires qui ouvrent la fenêtre à bien des cogitations, et j’adore ça :) Beaucoup de thèmes abordés en quelques lignes. La citation de Michel Sufran d’abord. Et puis les notions d’univers manichéen, de société aseptisée. L’image d’une humanité qui se fourvoie/se perd/court à sa perte. La nécessité d’un équilibre. De se penser/penser les autres/penser le monde. Une réflexion sur notre nature même. Un discours nietzschéen peut-être - ou pas : «L'homme a besoin de ce qu'il y a de pire en lui s'il veut parvenir à ce qu'il a de meilleur» ? Voilà des pistes de disputes vraiment sympas ! Et pour clore ces mots en un sourire : les péchés originels - d’Evagre, et Cassien - étaient 8 ;-) Une belle soirée à toi cher Fabien
Car ignorer la violence de l'homme, l'envers de sa nature, revient à renier ce que nous sommes. Je crois en l'équilibre pour ma part, car n'oublions pas que la notion de bien n'existe que parce qu'elle peut s'opposer au mal. L'équilibre est à la base de tout. Penser à soi est une bonne chose. Ne penser qu'à soi est une absurdité.
L'homme s'est fourvoyé, perdu. Il a oublié l'essentiel, qu'il faisait partie d'un tout. Et que sans ce tout, il était lui-même incomplet, inutile. Le 7 comme chiffre inspirant. Mais n'oublions pas l'envers du décors.. Les 7 pêchés capitaux, etc. L'univers est devenu terriblement manichéen. On a voulu une société aseptisée, propre comme un drap. Et on a couru à notre perte.
Un grand merci chère Allegoria pour cette contribution de qualité et fort méditative. Le chiffre 7, quel beau symbole de réflexion.
"Nous sommes des bâtisseurs de ruines" écrivait L'écrivain Michel Sufran. Je crois que l'homme a oublié cela, que rien ne durait, que rien n'appartenait à personne. Des dépositaires, des récipiendaires, voici ce que nous sommes
L’utopie fait sourire : on la définit souvent comme irréalisable - du rêve en barquette. Le 21e ouvre la voie à la pensée utopienne (et non utopique) - changement tout relatif mais qui commence à faire son chemin : elle s’attache à dégager le possible, plutôt qu’à explorer l’impossible. S’il s’effectue un glissement dans la terminologie, c’est bien qu’une évolution des mentalités pointe le bout de son nez ;)
Doublement : ton commentaire, ta contribution. Du p’tit bonheur. J’aime la méthode pleine d'humilité de Socrate - sa maïeutique : questionner sans prendre parti ou asséner une vérité. Questionner et faire ”accoucher"les esprits, et faire dégringoler les préjugés. Le propos que tu relèves ici est tellement riche de sens : “si ce que tu vas me dire n’est ni vrai, ni bon, ni utile, alors pourquoi me le dire ?” Un recul, un dépassement de soi, un remède à bien de faux problèmes :)
Afin de se prémunir de la malveillance et des colporteurs malsains et histoire de ne pas devenir le jouet de manipulateurs, Les 3 passoires de Socrate permettent de filtrer les propos malveillants qui peuvent nous parvenir aux oreilles.
La première passoire et celle de la vérité : s’est-on assuré avant de juger et de relayer à tort le propos malveillant que ce soit vrai. Avons-nous pris le temps d’aller voir le ou les cibles des rumeurs pour connaître leur point de vue et entendre leur version ? Non ?
La seconde passoire est celle de la bonté : est-ce que ce que l’ons nous dit sur quelqu’un est bienveillant à son encontre ? Non ?
La dernière passoire est celle de l’utilité : est-ce que ce propos malveillants et non vérifiés sont utiles ? Non ?
Alors pourquoi relayer et/ou alimenter des propos malveillants et non vérifiés auprès des personnes les premières concernées sachant pertinemment que ce n’est pas utile. Ce test renseigne de façon efficace la nature de certaines intentions et de ce que l’on peut singer par facilité ou paresse intellectuelle. Se questionner soi, les autres, les situations et les facteurs qui les composent, les intentions, les environnements, les raisons, les émotions, les affirmations et la liste est bien longue… penser par soi-même c’est inévitablement beaucoup d’efforts.
Merci Allegoria pour cette seconde partie de défi que j’attendais avec impatience et je ne suis pas déçu. J’aime ces différents apports qui nourrissent avec sagesse un souffle d’espoir. Prendre le temps de l’autre et se prémunir de ses biais cognitifs qui trompent souvent les regards. Être l’artisan des solutions et non un spectateur frustré qui ne saura que pointer du doigt et critiquer sans rien proposer ni faire. Le véritable courage c’est de se faire face sans concession et de sonder avec objectivité ce qui nourrit son âme et son cœur. Être le silence et l’écoute qui agissent avec patience plutôt qu’une horde de malveillance qui expédie et bave sa haine, souvent tapie dans l’ombre, par derrière bien évidemment, pour ne jamais à avoir à croiser la vérité. Faire le bien nécessite bien plus d’effort que laisser faire le mal et l’alimenter. Merci pour ton apport éloquent et bienveillant, cela fait du bien au moral, un bon bol d’optimisme et de fraîcheur. À suivre ma contribution pour te remercier de ton travail généreux.
Bonjour et bonne année Vivi, comme promis nous venons de mettre l'historique d'iPagination dans la FAQ au lien suivant ; https://atelier-ecriture.ipagination.com/faq/historique-d-ipagination-26 ainsi les anciens comprendront mieux les raisons de la fermeture du précédent site, et les nouveaux s'ils le souhaitent, pourront le découvrir sans que l'on ait besoin de passer par les commentaires ce qui n'était pas simple. Ça avance, ça avance, à plus tard, au plaisir de pouvoir te relire.
Bonjour et bonne année, chose promise chose due, nous venons de publier l'historique d'iPagination au lien suivant dans la FAQ : https://atelier-ecriture.ipagination.com/faq/historique-d-ipagination-26, à plus tard. Hâte de te relire.
Bienvenue et merci pour ce premier commentaire laissé. On écrie ou on lit, ou les deux, l’on se lie aussi et l’on tisse les fils des amitiés littéraires. Au plaisir de vous lire à nouveau, en commentaire ou en texte, qui viendra lorsqu’il se sentira prêt. À plus tard.
Je rejoins les précédents commentaires, et tout comme eux j'aime particulièrement cette issue pleine d'espoir. J'admire le travail accompli sur ce texte, merci :)
C'est pertinent ! On a des descriptions bien menées. On a cette ambiance de souterrain, d'effluves d'alcool. Ce gardien redresseur de torts. Et ce personnage plein de bonnes volontés. Merci dlecolas :)
D’un cœur plus utopique que dystopique, c’est vrai, j’ai pris le parti de faire un bond jusqu’en 2120 sans que les changements des sociétés n’aient pris trop d’ampleur négative.
Quant au 7ème, il ne tardera pas trop. J’attends de lire quelques amis, sur ce défi ou sur d’autres textes ; et puis zou ! je le tente :)
Je vous remercie, cher Monsieur, de l’attention que vous portez à notre 6ème accord. Les communications avec allegoria on the moon se poursuivent : en mode 7 - couleurs arc-en-ciel :)
J'ai carrément adoré l'ensemble des descriptions. Quelques minutes de lecture qui m'ont fait perdre la notion du temps. C'est très bon signe. Vous avez su utiliser un cliché (un type louche qui surgit dans un parking) pour lui donner de bonnes intentions, contrairement à ce que le lecteur aurait pu attendre. Bonne surprise. Merci de votre participation.
Je me suis inscrite sur le site il y a 2 semaines, car ma résolution à moi pour ce début d'année c'est de prendre enfin le temps d'écrire... bon, pour l'instant ce n'est pas ça, mais au moins je suis revenue sur le site et j'ai lu un texte : celui-ci. Hé bien, pour une première immersion, je ne regrette rien ! Quel plaisir ! C'est frais, c'est piquant, c'est savoureux comme un bonbon acidulé sans la mièvrerie du sucre. La fin est drôlement bien construite.