Qu'il est heureux de lire ce lieux doux "là où l’on entrait c’était pour faire du bien". Chaque fin de vie devrait être accompagnée de toute la bienveillance comme on le perçoit dans votre texte. Il n'est jamais absurde d'avoir aimé et vécu, ce qui compte c'est de n'avoir à regretter le moins de choses possibles. Merci pour ce partage empli de douceur.
Entre la Terre qui ancre nos existences et le ciel qui invite à l'élévation des âmes et de ses pensées, une ligne d'horizon chaotique au gré de nos vicissitudes... le bonheur ne serait-il pas de se suffire à soi-même ? La quête de l'équilibre dans les deux textes déjà lus ; et il semblerait que cela soit bel et bien accessible.
Je l’ai fait une fois, j’avais un souci dans la famille, ses prunelles sont devenues tellement grises que j’ai cru qu’il allait pleuvoir.
Aurait-on pu lire : "J'ai cru qu'elle allait pleurer", ou bien "J'ai cru que j'allais pleurer" ?
C'est par cette porte que vos mots (merci Vivi) dépassent la simple description et laissent la place aux sentiments.
Merci Vivi pour cette description. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Bonjour et merci pour votre participation à l'atelier. De nombreuses belles choses. Tout d'abord votre capacité à nous faire entrer dans un monde froid et cynique, qui plus est en psychiatrie où l'on devine bien le manque cruel de moyens. Ensuite j'ai énormément apprécié le soin apporté aux descriptions du lieu de travail qui renforce la fragilité et permet d'appuyer la précarité de la situation. Et puis enfin cette adrénaline de fin où tout se précipite avec toujours autant d'incertitudes. Les choses bougent et se bousculent, d'où le choix du titre de ce commentaire. On aurait eu envie d'en connaître un peu plus sur les personnages, mais l'exercice n'était pas simple avec la limitation de caractères. Merci de votre participation et au plaisir de vous relire, notamment pour l'atelier de novembre qui promet quelques frissons... à plus tard.
Bonjour bonjour, merci beaucoup pour ton message, eh oui j'espère qu'on va tous se retrouver ici ;) Attention pour le moment je ne suis plus sur Facebook, cause piratage, mais je vais bientôt revenir ;)
Merci Vivi pour votre retour, que la douceur puisse terrasser les plus sourdes colères. Je viens de commenter votre très belle participation à l’atelier. À plus tard.
Pour poster votre contribution à l’atelier, rendez-vous dans l’onglet « appel À textes » puis sélectionnez l’atelier. Cliquez sur participez et sélectionnez ce texte afin qu’il figure dans cet espace. À plus tard.
Bonsoir et. Merci infiniment Vivi pour cette très belle participation. La description est très réussie, et l’idée de la librairie est vraiment très chouette. La chute est inattendue et vient bouleverser ces habitudes si bien rodées… et si… ce début ouvre de très belles perspectives, et à n’en pas douter, une très belle histoire. Au plaisir de vous relire.
Une très belle histoire philosophique... c'est vrai que la colère n'est pas bonne ni pour celui qui l'a en lui ni pour celui ou celle sur qui elle tombe. Merci de cette belle fable... a dit Marguerite...
Comme quoi avec peu de mots on peut exprimer beaucoup de choses, profondes. J'aime beaucoup cette retenue, cette façon presque frugale de poser le texte dans la rime. On est pris par cette simplicité du mot au service d'une pensée profonde. Et l'on se délecte autant que l'on se questionne.
Très joli poème chère Véramylène.
Je trouve ce passage d'une belle délicatesse, d'une économie de mots qui rend la scène très émouvante. Un bel équilibre entre le fond et la forme. Je me suis laissé embarqué dans votre monde Vincent, un monde d'émotions que j'affectionne beaucoup.
Bravo .
Il y a beaucoup de retenue dans cette immersion, avec la conscience de fouler une désertion que même les mots suspendus, n’ont pas réussi à convaincre de livrer bataille. Que ferais-je de plus… probablement rien d’autre que laisser les mots prendre le contrôle car ils ont ce pouvoir rare de réussir à libérer les âmes. Merci Vincent de ce partage qui ouvre de nouvelles pages à raconter.
C'est frais comme tout et nous avons bien besoin de cela. Ce qui me parle le plus, c'est "Guidée par ma lumière intérieure, Je retrouvais dans toutes les manifestations du ciel, Mes désordres et ma paix." Oui, il est possible de construire sa paix malgré le chaos extérieur. Merci, Veramylene, de nous le rappeler.
Après les tempêtes survient toujours le soleil et il est bon d’en prendre conscience pour mieux en apprécier les effets réparateurs. J’ai intitulé mon commentaire les noces de cotons car tout est toujours fragile. Merci de partager cet instant de paix, cette route qui mène au bonheur à condition qu’on le veuille vraiment. À plus tard Veramylène.
Et je me suis fait gober par ce court extrait mais qui en dit long sur l'intensité de l'ouvrage. C'est simple et efficace, avec des formules et des images travaillées qui font mouche et activent rapidement l'intérêt du lecteur. Merci de ce partage.
C'est une partie à trois : le narrateur adulte, le narrateur enfant, le narrateur dessiné.
C'est aussi une histoire de prison : la prison des menottes, la prison du placard, la prison du papier qui fige le portrait.
C'est aussi une ronde des quatre éléments : le feu qui efface toute trace, le sang qui dégouline, la pierre qui taille l'objet secret, l'air qui allume ce rire irrépressible...
Des frissons dans le dos, sans doute rien en comparaison des horreurs qu'on ne peut imaginer.
J'aime ton habileté à écrire la façon dont s'est ancré ton souvenir. Entre le rituel, la découverte, les émotions, et la passion de la jeune collectionneuse. Et puis surtout cette rencontre décisive avec l'écriture et ses premières lettres qui en apprennent déjà beaucoup pour cette fillette qui dispose d'un véritable oeil de lynx. Merci pour ce beau moment de lecture.