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du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Encore une jolie manière de te livrer ma chère Allegoria. Et parce qu'une phrase ce n'est pas, sujet, verbe, complément, j'aime ta "déstructuture", cette poésie bien à toi de placer l'idée au-delà du mot, de privilégier l'émotion, la sensation presque charnelle du choix et d'une structure envolée, incomplète des fois, à l'image de ce que nous sommes finalement, sans fard.
L'orage et la marguerite
Publié le 08/02/2022
Très beau texte qui s'appuie sur le contraste entre la violence et le fragile. Un sujet qui me parle puisque j'en avais écrit un sur le même thème, utilisant comme vous une marguerite en image. Le titre était "souffrir pour ne plus souffrir". Je songe à le republier ici ou sur wlw un jour. Je ne manquerai pas de vous alerter.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Bonjour. Merci pour votre accueil et surtout pour votre mur murre: vous m'avez soufflé le titre qu'il me fallait, n'ayant rien trouvé d'autre que "Mural" jusqu'ici. Murmure, voilà!
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Joyeux anniversaire Allegoria, un dicton dit que c’est une drôle d’idée d’ajouter des années à la vie, alors qu’il faudrait plutôt ajouter de la vie aux années, et j’ajouterai des mots à la vie. Merci de ta présence rayonnante.
Murmure
Publié le 08/02/2022
IPagination est effectivement une aventure initiée et animée par ses auteurs et sa communauté en devenir. Bienvenue.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Bonsoir et bienvenue Enzo. Un texte sensible et plus que jamais d’actualité : on n’a jamais autant construit de murs que maintenant, et comme vous l’imagée parfaitement, ils sont nombreux les murs qui nous coupe de notre humanité, qui avilissent, blessent, asservissent, isolent assurément. Heureusement, les mots sont des passe-muraille… merci de ce partage.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Bonsoir, bienvenue et merci pour votre texte qui nous plonge dans nos jeunes années toutes en ébullitions et à fleur de peau. Ces quelques secondes qui durent des siècles telles une épitaphe gravant une âme amoureuse, foudroyé sur place par la passion : “Ici gît celui qui a su goûté au sucre de la vie…”. À plus tard j’espère.
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 08/02/2022
Bonsoir, bienvenue et merci Sam. Il faut lire et relire effectivement pour apprécier chaque gramme de cette dense introspection. Une ode à l’enfance, comme ultime rampart à la vacuité du monde qui se mue bien malgré nous en un vertigineux précipice. On se meurt de prendre trop au sérieux l’inéluctable, comme l’on redouble de vie lorsque l’on parvient à conjurer l’ennui de notre totale insouciance. Votre texte est intense et les images tourbillonnent pour emporter toutes les années que l’on n’a pas su retenir. Sur le vertigineux rebord du monde, les mots seuls survivront… merci infiniment pour ce profond moment de lecture. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
Moi j'ai beaucoup aimé la sensorielle du texte dans lequel chaque sens est abordé
Ces dires après cédille
Publié le 07/02/2022
Des aliterations et un rythme qui font penser à une musicienne virevoltante et espiègle, comme une symphonie à la fois douce et, comme fort justement déjà remarqué dans les commentaires, qui fouette.
Murmure
Publié le 07/02/2022
Bonsoir. Merci pour ton accueil. J'ai enfin franchi le mur qui me séparait de ipagination depuis welovewords où le reste de mon "oeuvre" se trouve. D'ailleurs on m'a dit que ipagination a été créé par d'anciens membres de wlw donc...mais pour en revenir à l'écriture , et bien je vais de ce pas explorer la tienne!
Murmure
Publié le 07/02/2022
Démuré et d’un bond, tu floutes et nolontes. Et tu franchis. Merci enzo pour tes mots :)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
Eh bien quel texte. Il me ramène à mes 17 ans, ces petits jeux de séduction, le regard, tous les sens en éveil. "C'est un peu comme si on s'était embrassés sur la bouche quand tu bois dans le verre dans lequel j'ai bu". Ça vraiment j'aime beaucoup, c'est une très belle image vu du prisme de l'adolescence. Merci.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
À votre image et à votre “moi”. Des sourires à vous lire ! Le Monaco, c’est vrai : c’est plus doux quand on peut faire durer le panaché :)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 07/02/2022
et penché en avant, médite peut-être sur l’éducation à l’envers. Et à suivre vos lignes, je pense à K.Gibran : “Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.” Merci Sam pour ce partage :)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 07/02/2022
L'idée que vous exprimez ici est très belle mais pour moi qui ai une vue pas exceptionnelle, elle est dure à percevoir. J'ai souvent du relire et relire encore pour pouvoir extraire le sens hors de cette densité. Mais le son des mots qui étayent les minutes de la vie qui s'égraine est très joli. Bravo !
le défi
Publié le 07/02/2022
Merci beaucoup le personnage m'a été inspiré par quelqu'un que je connaissais ;)
le défi
Publié le 07/02/2022
A priori, le décor ne me plaisait pas, me rappelant des ambiances de séries américaines qui ne brillent pas par leur singularité mais malgré cela, j'ai lu le texte sur toute la longueur et il m'a beaucoup plu. C'est une performance car la protagoniste, à cause des consignes, devrait être détestable. Elle ne l'est pas. Ou plutôt elle l'est mais elle a, comme dans la vraie vie, des circonstances atténuantes. Bravo ! ;-)
le défi
Publié le 07/02/2022
Merci fabien C'est un sujet qui me tient beaucoup à cœur A bientôt
le défi
Publié le 07/02/2022
C'est un super texte Vickie, une belle analyse de ce qu'est sûrement notre sexualité, complexe. Et si nous désirions une personne avant de désirer un genre.. Et si nous ne rentrions plus dans les cases bien pensantes.. Merci Vickie.
le défi
Publié le 06/02/2022
Merci beaucoup pour cette analyse, je suis touchée sincèrement A bientôt Vickie
le défi
Publié le 06/02/2022
De nombreux dialogues émaillent votre participation, la rendant plus présente, plus crue aussi. Un grand bravo pour avoir su éviter la vulgarité. Le jeu de mot à propos du cadeau d'anniversaire, un "sautoir", est particulièrement bienvenu. La remarque : "Au moins ça te donnera une notion du couple à toi, la célibataire endurcie" trouve parfaitement sa place puisqu'elle est adressée à une femme affirmée. La même remarque aurait démoli Lisa... Se succèdent l'audace, le doute passager, le sens de la parole donnée, l'ouverture à l'inconnu(e), la découverte, l'attachement et encore ce foutu sens de la parole donnée. Rupture douloureuse, des deux côtés. Une rupture est-elle jamais simple ? Vous avez choisi ici qu'elle le serait. Pas de mouchoir ni de lamentations. Quelques coquilles résiduelles dues sans doute au sujet inhabituel, sans influence aucune sur la lecture captivante. Très chouette participation, Vickie, merci beaucoup.
Une aventure de célibataire
Publié le 06/02/2022
C'est comme cela, Dominique, que j'ai reçu votre texte. Le droit, le privilège, l'honneur d'avoir accès à votre monologue intérieur. Vous vous racontez très bien et il serait difficile de faire la part entre la réalité et la fiction (oui, je sais, c'est un atelier d'écriture, donc censé être une fiction). Déchirement entre deux menaces : celle, réelle, reçue aux toilettes et celle, tout aussi vraisemblable quoique moins explicite, de Mounia. Et si sa douleur extrême lui faisait commettre des folies ? Entre deux tiraillements, quelle voie "choisir" ? Le départ, brutal, insensé, inhumain, vécu comme l'aboutissement d'une lâcheté qui a traîné quinze jours. À moins qu'il ne s'agisse d'un renversement des habitudes ("je n'ai pas toujours été à l'initiative de la fin de l'histoire"). Dans le cadre d'une relation dominant dominé, cette phrase sonne comme un phare salvateur : "J’étais attentif à tous ses désirs sans me coucher devant elle." Jusqu'où en effet peut-on laisser entrer le bien-être de l'autre dans sa propre vie sans mettre cette dernière en danger ? Le journal intime se referme avec amertume : je suis toujours célibataire. Chapeau pour cette participation, ça me rend toute chose... Au plaisir de lire d'autres textes.
le défi
Publié le 06/02/2022
Je suis vraiment très très touchée par ton commentaire Merci Leo A bientôt
le défi
Publié le 06/02/2022
Bonjour Vickie, je rejoins Allegoria, c’est très abouti et de très belle facture. Le temps de la description, bien menée, nous fait entrer à pieds joints dans ton histoire franche et sans fioriture. Tu ne passes pas par quatre chemins pour prendre les rênes de cet atelier. Un style direct, incisif et sans gêne qui nous embarque d’emblée et jusque la fin. Un atelier pas simple à escalader puisque l’on parle d’intime et de manipulation et toi tu te prends d’y aller par la face nord : défi consenti mais qui non seulement va à l’inattendu (la bisexualité) mais en plus tourne à l’épreuve puisque la personne choisie est introvertie et vraiment pas sous le joug de la séduction. Tu déploies la grosse artillerie dans une ambiance qui monte au fur et à mesure en température sous les regards des hommes totalement séduits, eux. C’est du beau boulot et j’ai presque regretté que la fin survienne si vite et si expéditive. Franchement bravo, et qui plus est en cinq jours. Continues ton chemin d’écriture car il vaut vraiment le coup. À plus tard Vickie.
le défi
Publié le 06/02/2022
Merci ally Bisous
le défi
Publié le 05/02/2022
Un de tes textes les plus aboutis - d'après lecture d'ally ;) bravo vickie
Une aventure de célibataire
Publié le 05/02/2022
Il faut cependant être connecté à son compte pour déposer un texte sur la page de l’atelier. Bon week-end.
Une aventure de célibataire
Publié le 04/02/2022
Pour un sujet pas simple, en dehors des cadres ;) J'aime particulièrement "Un petit matin presque familier, la tête encore défoncée, le corps épuisé, presqu’une sensation de joie pure et de calme." Merci Dominique pour ce partage :)
du jour de mes premières couleurs
Publié le 04/02/2022
éparpillé façon puzzle [...] Je correctionne plus, je dynamite je disperse je ventile . Merci Léo :))