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Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 09/02/2022
Je vous remercie infiniment pour votre fine analyse et votre touchant commentaire Léo ! Quel bonheur de retrouver la merveilleuse communauté d’Ipagination !
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 09/02/2022
Ohh j’affectionne également particulièrement cet auteur ! Merci pour votre retour Allegoria, j'ai hâte de lire vos textes ! A très vite :)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 09/02/2022
Merci pour la sincérité et la bienveillance de votre commentaire! Je suis en perpétuelle recherche de critiques constructives, merci beaucoup !
Un gardien
Publié le 09/02/2022
Deux fois onirique ! C'est ce que j'ai apprécié. ;-)
Reflex
Publié le 09/02/2022
j'adapte donc. Merci et merciiiiiiiiiiiiiiiii ! ;-)
Reflex
Publié le 09/02/2022
Tout comme vous je consomme "bleu". Un autre essai joliment transformé! Bravo! J'ai particulièrement apprécié le format court de vos phrases. Ça tranche, tchac, tchac, et cela donne du rythme à cette descentes aux enfers à bout de souffle, ou privé de souffle. L'intrigue marche bien, on suffoque avec vous. Comme quoi, on peut tout aborder quand c'est bien écrit. Et j'ai vraiment beaucoup aimé: "la vie, l'univers se limite à mon pharynx" ( j'ai délibérément pris la liberté d'ôter "au haut" qui alourdit un peu la phrase. Encore bravo!
Murmure
Publié le 09/02/2022
Un texte percutant Enzo, peu de mots pour mettre en avant de grandes idées. Et puis cette société effectivement murée que l'on nous impose. Mais les mots sont de bien fiers marteaux disposés à faire éclater tous ces murs. Merci Enzo et bienvenue
du jour de mes premières couleurs
Publié le 09/02/2022
Oh que si j'ai aimé. D'ailleurs, et sans flagornerie je suis très très fan de ton univers, de ta façon si personnelle et très décalée de te livrer. Tu es une belle auteure et une belle personne.
Un pas vers la prison.
Publié le 09/02/2022
Merci beaucoup pour ce joli regard. Oui en grand utopiste, j'ai la force de penser que l'humain prime pour tout le reste sans motifs de jugements. Juger c'est finir de comprendre.
Reflex
Publié le 09/02/2022
Merci ! Pour l'intro, c'est tout à fait vrai et je vais modifier en ce sens. ;-)
Reflex
Publié le 08/02/2022
Je rejoins Léo : mécanique implacable. On vous suit jusqu'au je suis sauf ! Vous auriez pu commencer sur la carte - sans rien introduire :)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci pour ces encouragements ! J'ai lu les contraintes de l'atelier de février et je ne pouvais pas ma résoudre à être le salaud. J'avais décidé d'attendre le prochain défit mais l'idée tournait dans ma tête et j'ai imaginé être la victime séduite plutôt que le séducteur immoral. Alors, en étant dans la bonne équipe, j'ai pris beaucoup de plaisir à créer et écrire cette histoire. En tous cas merci ! Je me sens bien ici. Je me sens entouré de la bienveillance féminine, celle à qui j'ai toujours donné la priorité. ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci pour votre pugnacité à me lire. Je trouve que le premier jet est bien mais imparfait. Quand je le corrige, c'est moins imparfait mais moins spontané. Merci pour cet encouragement à me relire. Merci mille fois ! ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
La musique active un nouveau sens et intensifie le désir, très bonne idée.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Bienvenue, Studiodhorlebaix (je crois que c'est bon, toutes les lettres y sont dans le bon ordre). D'une part, il y a l'histoire. Le rendez-vous manqué, les copains, la fille, le verre, le baiser, les souvenirs. Et aussi, et surtout, et c'est ce que j'ai aimé, il y a entre la narration. Des petites réflexions semées par-ci, par-là, comme si l'histoire avait été montée de toutes pièces juste pour abriter quelques messages essentiels. "Mon image et mon moi, on ne fait qu'un, ça permet d'éviter pas mal de quiproquos". Bouteille d'eau à la mer : dans quelle mesure est-ce que je colle à 100% à mon image ? "Les yeux qui ne me défient pas". Comment est mon regard quand je regarde quelqu'un dans le blanc des yeux ? Inquisiteur ? Bienveillant ? Défiant ? Amorphe ? "Quarante-deux ans plus tard, j'ai finalement fait le calcul." Ah, ne jamais dire jamais je ne ferai le calcul. Tout est possible, tout est évolution, la vie rime avec souplesse et adaptation. Merci pour ce texte vivant et à double sens.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
C'est souvent ça l'écriture : un clin d’œil qui nous tombe dessus. J'aime :)
Ces dires après cédille
Publié le 08/02/2022
Peps fou après ton commentaire !
Reflex
Publié le 08/02/2022
Ha ha ha ! Oui, mâchez bien ! Pour ma part, ce sera du steak haché, le risque est faible ! Merci encore pour votre petit mot. ;-)
Un pas vers la prison.
Publié le 08/02/2022
A la première ligne on est content et surpris d'apercevoir quelqu'un qui est dans la même équipe, celle des humanistes. L'empathie envers les bannis est rare. Puis il y a cette extension du classique "je t'attendrai" à laquelle je n'avais jamais pensé alors qu'elle est évidente si on parvient à se mettre dans la peau de l'infortuné. Bravo !
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Très heureuse de t'entendre ! L'espace d'un temps je m'suis dit mince Fabien n'a pas aimé :)
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Je reste un enfant, et j'aime les anniversaires ! Tout est prétexte à faire la fête :) Et de la vie et des mots aux années ;))))
Reflex
Publié le 08/02/2022
Sauf que là il s’en est manqué de peu. Ces petits détails et cette implacable mécanique qui fait de vous la chose la plus fragile sur Terre, l’espace de quelques interminables minutes… votre récit s’appuie sur un brin d’humour lors de la détection du problème jusqu’à nous entraîner dans une course contre la montre que vous gérez parfaitement bien. Nul doute que ce soir je couperai plus petit et mâchouillerai plus longuement tant votre texte flirte avec la mort. Efficace.
L'orage et la marguerite
Publié le 08/02/2022
Ce sera avec plaisir que je découvrirai votre texte. A plus tard.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Avec plaisir, c'est tout l'objet de cette plateforme, partager et s'inspirer mutuellement. Et plus on sera nombreux, mieux ce sera, à plus tard.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci pour cet encouragement et c'est sûr qu'on se recroisera ! D'ailleurs, je viens de changer mon texte, en particulier le 7eme paragraphe. Ce sera peut-être déjà l'occasion de se recroiser. Merci et à tout bientôt ! ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Ça me fait très plaisir ! Je viens d'ajouter de la musique ! Cette nouvelle idée rend le texte encore plus sensuel. Je serais heureux que vous me disiez. ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Cette histoire est en fait un patchwork de choses que j'ai vécues. "C'est un peu comme si on s'était embrassés..." n'est pas une idée de moi mais elle vient d'une fille, Nathalie, qui me tournait autour et moi, nigaud, je ne m'en rendais pas compte. Je suis content que cette idée vous ai frappé. Je vais abuser, ce matin j'ai retouché mon texte après avoir entendu un titre sur FIP radio. J'en suis très content. J'aimerais beaucoup votre sentiment à son sujet. ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci immensément pour votre commentaire qui m'encourage et m'aide. Il me permet aussi de comprendre que des choses les détails sont relevés par la lectrice assidue que vous êtes. Je vais abuser, ce matin j'ai retouché mon texte après avoir entendu un titre sur FIP radio. Je suis très content de cette nouvelle idée. J'aimerais beaucoup votre sentiment à son sujet. ;-)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 08/02/2022
Une belle réflexion Sam sur ce que l'on est, devient, inculque et laisse derrière soi. Nos sociétés modernes sont ainsi faites qu'elles nous inféodent. Garder conscient l'enfant qui est en soi, celui qui rêve encore et qui avance sans préjugés, sans chaînes, n'est pas une mince affaire. L'existence est une nuit noire d'où rien ne ressort, ni les espoirs, ni les remords. Heureusement il y a encore le territoire des mots pour se recréer. Merci Sam