995
Textes
3859
Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
J'essaie d'être courageuse
Publié le 28/02/2022
Merci à toi et merci à vous d'avance. Avant de publier ce texte, je craignais un peu des réactions hostiles car il s'agit d'un site littéraire et non politique. Il s'agit d'un salon d'écriture et non pas d'un champ de bataille. Finalement, bien que je vous connaisse encore assez peu, j'ai pensé que vous apprécieriez ces mots car ils traduisent de façon remarquable un moment remarquable. Merci de l'avoir accepté. ;-)
J'essaie d'être courageuse
Publié le 28/02/2022
C'est un terrible témoignage, d'une force sans égal, on est plongés dans la peur et l'incompréhension. Et quand un atelier d'écriture permet autant d'expression, de réflexion, de liberté de parole, j'en reste sans voix. Merci. et Beaucoup de force à votre amie.
Sur les Rebords du Monde (Extrait 3)
Publié le 28/02/2022
C'est vrai que la puissance de la musique, de l'écrit, de l'imaginaire, de l'art en général nous donnent une liberté qu'il est difficile de trouver ailleurs....
Sur les rebords du monde (Extrait 2)
Publié le 28/02/2022
Quelle analyse si poétique des mains et de la musique: j'adore!
J'essaie d'être courageuse
Publié le 28/02/2022
Merci beaucoup, chère Vickie. Toutefois, je dois dire que j'ai juste retranscrit un message en russe en tachant d'être respectueux. Il s'agit du témoignage en direct d'une amie qui se trouve dans le Donbass aujourd'hui. Ce texte m'a touché et j'ai ressenti le besoin de le diffuser le plus largement possible. N.B. Je ne parle pas russe. Je me suis aidé de google et d'une autre amie.
J'essaie d'être courageuse
Publié le 28/02/2022
Ecoute sincèrement j'aime beaucoup: on est plongé dans l'univers de la guerre du point de vue de ceux qui la subissent, les civils, les innocents, qui manquent de tout. Cela m'a fait penser au "tombeau des lucioles" que j'adore.
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 28/02/2022
Profondeur de la réflexion, idéal perdu, un brin de mélancolie, très poétique, passation de l'enfance à l'âge adulte, j'adore!
les 13 000 illusions
Publié le 28/02/2022
Merci Fabien, c'est tout à fait cela en effet: le sentiment de solitude peut s'avérer dangereux chez certaines personnes et les entraîner sur les mauvais chemins....
les 13 000 illusions
Publié le 28/02/2022
Dans une société de plus en plus individualiste, dans laquelle on ne peut exprimer son mal être, il est des groupuscules embusqués prêts à profiter de la faiblesse des autres. Ce danger de l'endoctrinement sectaire peut toucher tout le monde. Cela me rappelle l'affaire Vuarnet. Merci pour ce texte Vickie
les 13 000 illusions
Publié le 27/02/2022
Il n'y en aura pas....c'est tellement compliqué de ramener ses personnes tombées dans les griffes de ces manipulateurs que je doute qu'une simple lettre suffise....
les 13 000 illusions
Publié le 27/02/2022
Merci infiniment Leo Ton commentaire me touche beaucoup et ce sujet m'a beaucoup plu : j'ai aimé traiter ce sujet qui m"a toujours intéressée et sur lequel j'ai beaucoup lu. Il est plus facile d'entrer dans une secte que d'en sortir malheureusement...
les 13 000 illusions
Publié le 27/02/2022
Et voilà, comme la grosse feignasse que je suis, j'attends la suite. ;-)
les 13 000 illusions
Publié le 27/02/2022
Merci Vickie pour ta participation. Tu reviens bien sur ce qui fait basculer une personne sous l’emprise de manipulateurs. Les accidents du parcours génèrent des doutes, ôtent la confiance en soi et créent des brêches dangereuses dans lesquelles s’infiltrent les profiteurs. J’ai beaucoup aimé aussi l’image de la rivière tumultueuse qui peut tout emporter si l’on n’y prend pas garde, et celui du pont entre deux rives pas toujours aussi bienveillantes l’une de l’autre. La nature a horreur du vide, alors il faut faire en sorte de le combler des meilleurs choses pour contrer les pires. À plus tard et encore merci ;-)
C'est pas la peine d'être gentil parce que c'est pas la gentillesse qui rend aimable.
Publié le 26/02/2022
Merci beaucoup pour tes observations. J'étais content de cette phrase. Je suis content que tu l'aies notée. ;-)
Sur les Rebords du Monde (Extrait 3)
Publié le 26/02/2022
Merci Léo. Depuis ma Suède tremblante en ces jours sombres, j'aime à croire que l'on restera debout, à agiter le fier étendard de notre Liberté.
Sur les Rebords du Monde (Extrait 3)
Publié le 26/02/2022
Merci Fabien A ces immenses artistes.. "Tu rêvais d'être libre et je te continue". Restons libres, aussi longtemps que possible.
C'est pas la peine d'être gentil parce que c'est pas la gentillesse qui rend aimable.
Publié le 26/02/2022
"Elle était nous." Trois petits mots chargés d'une si intense émotion. Ils se suffisent, ils résument à eux seuls ce que l'on peut ressentir pour ces êtres, en dépit parfois de leur drôle de caractère. Une histoire pleine de sincérité, à la plume à fleur de peau. La perte reste l'inévitable coup d'épée au cœur. Merci Patrice.
Sur les Rebords du Monde (Extrait 3)
Publié le 25/02/2022
Avec l'actualité des derniers jours, la liberté est plus que jamais considérée comme fragile et précieuse dans ce monde absurde et fou. J'aime cette idée qu'elle puisse couronner comme érafler, vos images sont fortes et vos chants font à chaque fois grosse impression. Merci beaucoup de tous ces partages. À vous relire, encore.
Sur les Rebords du Monde (Extrait 3)
Publié le 25/02/2022
Encore un très beau texte Sam. Et si nous étions ce que la musique a fait de nous. Un fil de liberté. Je me permets de dédier ce texte magnifique à Fela kuti, Chostakovitch, Kurt cobain, marc knopfler, et à tous ces autres sans lesquels nous serions incomplet dans notre capacité dissidente
Les démons (à Allégoria)
Publié le 24/02/2022
Dans un monde de mots, c’est un pluriel ouvert. J’apprécie moins le décoffré (mais Fabien si !), et toi moins S.Plath - pour moi, dentelle et poésie :)
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
j'ai mal utilisé l'expression ; dans mon esprit c'était "ne pas arriver à dire quelque chose" et non pas ne rien faire qui est pourtant l'exacte signification. Je pense qu'à chaque tranche de vie, l'amour a une résonance et un sens différent. Bonne soirée.
Regrets
Publié le 23/02/2022
Bonjour et bienvenue. Dans l’espace public, on lit depuis ces dernières années beaucoup de témoignages de victimes de violences conjugales. Il est nettement plus rare de tomber sur le témoignage du bourreau. Votre texte est précieux à bien des égards. Tout d’abord parce qu’il rappelle le rôle indispensable de la justice pour se mettre en travers des coups. Qu’ensuite, de nombreuses violences résultent de failles béantes générées par des vécus et de l’arbitraire particulièrement cruel. Que cependant, cela n'excuse et ne dédouane de rien. Et dans cette quête de rédemption, il est surtout question de réparation, et de la nécessité de se réparer soi-même (se réparer c’est forcément soi-même mais il est bon de commettre cette erreur pour faire valoir l’importance de cette introspection), avant même d’imaginer de pouvoir réparer les torts commis. Les regrets se polissent au temps et à la prise de conscience incontournable pour qu’ils soient sincères. Aucun tribunal populaire ne peut être en mesure de condamner ou de pardonner qui que ce soit. En tant que lecteur, je ne peux être qu’ému. J’ai beaucoup aimé cette phrase qui caractérise si bien notre temps : « C’était étrange ces instants de bonheur, ces instants figés dans une carte mémoire ». La vie c’est le réel, de l’instantané et votre texte rappelle que ce que l’on fait mourir c’est aussi ce que l’on néglige et malmène. Concernant l’écriture, bravo, il manque quelques mots et certaines coquilles subsistent, mais vous avez les mots avec vous, et vous êtes parvenu à transmettre un point de vue pas facile du tout à incarner. C’est courageux et c’est fait avec sensibilité. Les mots sont l’antidote à de nombreux poisons. À vous relire, j’espère.
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
Bonjour Vickie ! Te tenir rigueur de quoi ? De ton honnêteté ? Certainement pas ! Je te remercie au contraire très sincèrement ! Vraiment ! Sois-en absolument certaine sans la moindre arrière pensée et à l'avenir, n'hésite surtout pas parce que pour l'instant, ici, toutes les remarques positives ou négatives sont bienveillantes. Du coup, c'est parfait pour moi ! A propos du féminisme, je n'ai peut-être pas suffisamment insisté sur le fait que Martine également m'utilise (pour rendre jaloux Bernard). Je ne suis pas rentré dans le détail, ce sera peut-être l'objet d'une suite, mais mon épouse m'a également utilisé durant 12 ans. Et quand finalement, j'ai rencontré ma lumière, Luce, en 1999, nous avons passé maintenant 23 ans ensemble que je caractérise textuellement de "rêve". Très honnêtement, je doute que la majorité des couples soit constitué d'individus qui s'aiment car il faut énormément de chance pour tomber sur son âme sœur. Ça m'a pris 36 ans, comme je l'explique dans le texte. C'est vrai aussi pour les garçons mais finalement, les filles, en surboum, pourquoi viennent-elles ? Que cherchent-elles ? La beauté intérieur d'un cavalier ? Vraiment ? Je pense que les hommes et les femmes s'utilisent mutuellement à des fins différentes par rapport à leur "ça" respectif. Parfois, miraculeusement, ils forment un tout harmonieux et totalement sincère. C'est l'exception. Finalement, je crois très bien comprendre ton rejet de ce texte. J'ai travaillé sur un spectacle la semaine dernière "Sylvia" de F. Murgia. Techniquement, c'était parfait ! Musicalement, c'était top avec An Pierlé accompagnée d'un trio. Mais le propos m'a agacé et carrément mis de mauvaise humeur. Il s'agit de l'histoire (très féministe) de Sylvia Plath. C'est de la culture américaine. C'est du parlé en anglais. C'est de l'individualisme et c'est du "starsystemisme". Bref, j'apprécie tes remarques comme celles d'Allegoria, Léo et Fabien. ;-)
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
Bonjour, Tout d'abord pardon pour mon commentaire tardif...il m'aura fallu deux lectures pour comprendre ce qui me dérangeait: ton personnage parle de femmes comme des objets à posséder, les comparant même à des voitures...Même la femme avec laquelle ton personnage reste pendant douze ans il ne l'aime pas...comment est-ce possible? Il lui reste ce souvenir de la belle Martine en disant qu'à 17 ans on n'est pas amoureux...pourquoi? Bref, je n'ai pas la même vision de l'amour et de la femme que ton personnage et je crois que c'est en cela que personnellement ton texte me dérange. Ce n'est que mon avis qui ne recèle pas la vérité en soi, d'autres apprécieront certainement beaucoup plus, à chacun son écriture, à chacun sa vision, à chacun ses mots. En espérant que tu ne m'en tiendras pas rigueur: ce n'est qu'un commentaire de texte, pas le jugement d'une personne que je ne connais pas.
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
Merci Fabien ! Je compte compléter ce texte, notamment dans le sens que tu proposes. ;-)
Entrelacs
Publié le 23/02/2022
Oui il est vrai que le sms manque de superbe:). Dans les temps passés pour rompre on envoyait une lettre. Les duels c'était pas mal aussi pour laver un affront. :).. Ah tout se perd. Je reviendrai bientôt avec quelques textes. J'aimerais que mes journées soient plus longues.. Bien à toi chère Allegoria.
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
Un texte comme un patchwork ou plutôt un film dont la caméra se serait emballée. J'aime beaucoup ce côté brut de décoffrage et authentique. On écrit ce qui est sans fard. J'aurais toutefois aimé te voir décortiquer l'origine de " l'amour" du point de vue de la faille affective, aller plus profond dans le pourquoi du comment. Et oui je suis terriblement curieux:). Il ne faut pas hésiter à aller dans les profondeurs de soi, c'est ce qui rend les personnages que l'on crées, attachants. Et une spéciale dédicace pour l'hommage aux boucles rousses de notre chère Allégoria. Merci Patrice.
Regrets
Publié le 23/02/2022
Un texte fort.. Que faire de notre douleur lorsqu'elle est insurmontable? Pour ma part je ne crois pas au deuil.. Votre texte démontre bien cela, la douleur reste présente comme une maladie qui dévaste tout. Dans ce drame bien sûr, il y a plusieurs morts, Evan, et puis la mort de cette famille aimée, la mort de l'enfance aussi chez Élise qui ne parvient pas à pardonner. Il y a forte teneur émotionnelle dans ce texte et l'on s'attache à Émilio ce qui est une bonne chose. Un grand bravo pour ce premier texte qui j'espère n'est pas autobiographique.
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
"(...)l'amour est un parcours d'apprentissage, probablement bien plus propice dans sa mise en œuvre lorsque les hormones en ébullitions se calment quelque peu." Cette phrase définit peut-être ce qui t'a heurté, nos visions d'une saison de l'amour ne sont pas équivalentes. Idéaliserais-tu l'amour ou serait-ce moi qui le galvauderait ? Est-ce la façon dont je décris l'amour à 17 ans qui a coincé la bulle (merci pour l'expression que je ne connaissais pas) ou est-ce ma vision de l'amour ? Est-ce la gaucherie du prétendant ou la gaucherie de l'auteur ? (qui, je te le confirme sont une seule et même personne). En attendant de te lire, si le cœur t'en dit, je te remercie pour la sincérité de ton propos à la suite de la lecture attentive de mon travail. Très amicalement,
Les démons (à Allégoria)
Publié le 23/02/2022
Merci pour ta lecture attentive et tes observations ma chère Allegoria ! Comme tu dis, il faut des mots pour chacun. Je mets tes observations, pour lesquelles je tiens très sincèrement à te remercier pour leur honnêteté, avec d'autres d'une femme sexagénaire : "(...) pudique, honnête, sincère et tellement poétique ! De la dentelle…(...) !" J'aimerais mieux comprendre ton point de vue. C'est la façon dont je le dis ou c'est ce que je dis qui te heurte ? Très amicalement !