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Turgeau et voisinage…
Publié le 29/11/2024
Grand Bonjour au Peuple des mots & une promenade à Turgeau avec Myriam et Leo
Regarde-moi
Publié le 29/11/2024
Bonjour Perthro ! Ce texte est magnifique et très intéressant d'un point de vue philosophique. Se retrouver dans l'autre, qui plus est dans l'être aimé, rassure et resserre les liens. On le ressent avec la douceur qui se dégage de chaque ligne. L'identification est aussi une bonne manière de sociabiliser ou de renouer le lien avec l'autre quand il a été perdu. Je vous remercie, et au plaisir de vous lire une nouvelle fois !
Turgeau et voisinage…
Publié le 28/11/2024
Géniale cette chronique pour une collectionneuse de petits faits vrais. J'en suis une. J'ignore si cela s'inscrit dans vos projets mais j'apprécierais de pouvoir m'appuyer sur des cartes. À mon avis, si l'on explore l'histoire d'un territoire, on explore aussi la carte. À des informations aussi précises on ne peut que souhaiter apparier une légende graphique: photo ou carte? Qu'en pensez-vous? À très bientôt Gilbert.
Regarde-moi
Publié le 28/11/2024
Merci pour ce commentaire. La psyché porte en effet bien son nom. Il me semble qu'un peu de narcissisme ne nuit pas, surtout dans un monde où plaire aux autres devient la norme. Il serait de bon ton de déjà se plaire à soi-même...
Regarde-moi
Publié le 28/11/2024
Bonsoir, merci pour votre commentaire! Il me semble que cette conclusion me vient de la lecture d'un Gibran même si je n'arrive plus à mettre la main dessus.
Un jour sans feu
Publié le 28/11/2024
Merci d'avoir lu en ayant déjà lu. Je ne suis pas sûr que je l'aurais fait. Je le pensais que tu étais occupée car tu ne publies plus beaucoup pour l'instant. Bise !
Un jour sans feu
Publié le 28/11/2024
Oui, j'ai déjà lu plusieurs passages et ce texte me semble familier. Souhaiterais-tu le passer par le feu (ou les forges)? À bientôt de te lire. Pardon, j'accuse beaucoup de retard dans les lectures des différents textes, je suis un peu submergée par une vague automnale qui m'interdit des retours précis...
Serment d'un ange
Publié le 28/11/2024
J’aime énormément cette nouvelle dualité, entre le faste marbre, or…) et le sombre et froid (glace et souterrain) comme si c’était le revers d’une même pièce. Où tout roi qu’il est sera à jamais seul dans l’exercice de son pouvoir et de sa conscience. Merci Francis Etienne pour ce nouveau point de vue profondément humain et dépit de toutes les statures et apparences.
Regarde-moi
Publié le 28/11/2024
Beaucoup de douceur et de contemplation dans tes paroles écrites avec beaucoup de générosité. Le miroir a une symbolique forte et se trouve être souvent un lieu de passage notamment lorsque l’on doute et que l’on semble questionner l’enveloppe charnelle pour mieux interpeller l’âme qui y loge. Ce qui est chouette dans ton texte, c’est ce regard décalé qui regarde directement, sans artifice, et sans objet transactionnel. Juste des yeux à l’être, de l’âme à l’âme… à plus tard Perthro.
Mignardise ancestrale
Publié le 28/11/2024
J’aime beaucoup ton poème qui m’apparaît comme protocolaire, à travers ce qui est porté et toute une suite d’actions comme si l’on assistait à la journée d’un monarque avec toute une cour (poétique cette fois) qui lui emboîte le pas pour l’accompagner jusqu’au coucher de soleil. À plus tard Francis Etienne.
Soliloque de singe
Publié le 27/11/2024
Merci surtout à toi Léo pour avoir laissé ce joli commentaire qui comme d'habitude me comble de joie. L'équilibre entre le titan et le charlatan, tel que tu le présentes, est celui du bien et du mal. Un bien qui est,,bien entendu, celui de la loi, celui que l'humanité depuis des siècles désire, celui qui établit la paix, celui qui défend la veuve et l'orphelin, celui que tous dans nos cœurs nous souhaitons. Le charlatan par contre est celui qui représente le mensonge, la puissance du mal, la tentation, et somme toute le mal en général. Ce symbolisme qui revient assez souvent dans mes poèmes sous une forme ou sous une autre est celui que l'on retrouve dans le Ying et le yang. Il y a entre l'un et l'autre un balancier, que j'aime souvent à saisir dans son mouvement et à traduire dans mes alexandrins. Ce balancier qui nous pousse un jour du côté du bien un jour du côté du mal, nous devons l'accepter parce que nous ne savons pas nous détacher du mal et parce que nous ne pouvons pas nous éloigner du diable. La dualité est pour moi un principe de vie, de progression, mais aussi un principe qui accepte la mort comme un principe qui cultive la vie. Voilà des réflexions un peu profondes mais c'est toi qui m'y engages ! Merci encore pour tes commentaires et merci beaucoup pour l'amitié que tu me portes à travers ces quelques lignes que nous échangeons. Cordialement, Francis Étienne. Une bougie efface un mot écrit dans l'ombre comme un éclair de vent chasse une lueur sombre;
Tambourins de silences
Publié le 27/11/2024
Merci cher Léo pour un commentaire encore une fois très pertinent qui me touche beaucoup. Tu sais très bien que les mots sont pour moi une matière, comme la peinture peut l'être pour un peintre, et je cherche les nuances comme les couleurs fortes. La poésie est essentiellement une réalité de l'écriture. J'irai jusqu'à dire qu'elle est la langue noble de l'écriture, ce qui ne veut pas dire que la prose est une langue inférieure. En effet la poésie peut traduire toutes sortes de sentiments, toutes sortes de ressentis, toutes sortes de touches et de sensations. Elle est capable de nous porter dans des univers insoupçonnés dans le monde prosaïque. Elle ouvre les portes d'un au-delà de la fracture. C'est aussi pour ça peut-être qu'elle est beaucoup moins lue, car ouvrir une porte sur l'inconnu peut-être effrayant. Comme tu le sais, beaucoup de mes poèmes touchent à des souffrances, parfois des laideurs. Mais c'est grâce à la poésie que j'arrive à toucher en moi ces nuances de la vie que l'on considère souvent comme trop éloignées de notre conscience. Tu parles avec une grande justesse « de pouvoir de l'écriture et de sa dualité » mais aussi de « vérité et mystère ». Que fait-on de l'écriture ? Si elle est un pouvoir, il faut l'exercer, si elle est dualité, il faut l'utiliser comme un miroir, si elle est vérité il faut la suivre mot par mot et si elle est mystères, pourquoi en aurions-nous peur ? Merci Léo encore une fois pour une réflexion profonde qui m'a permis de me confier avec un peu plus d'intimité. Cordialement, Francis Étienne. Sous la roche d'un feu se glisse en un instant la parcelle d"argent d"un tambour très distant.
Tambourins de silences
Publié le 27/11/2024
Merci beaucoup pour cette remarque qui me touche beaucoup et j'espère bien vous revoir tout au long des poèmes, que je publie quotidiennement. Cordialement, Francis Étienne
Regarde-moi
Publié le 26/11/2024
C'est encore un magnifique texte et une très belle interprétation musicale que vous nous offrez en déployant comme d'habitude un talent extraordinaire. J'aime beaucoup votre conclusion « philosophique » et surtout votre position par rapport au miroir, dont nous sommes tous plus ou moins pris au piège. Merci encore pour ce moment partagé avec une illustration musicale de votre voix et sans aucun doute de votre doigté sur la guitare. Cordialement, Francis Étienne
Turgeau et voisinage…
Publié le 25/11/2024
Lorsque le site sera terminé, on pourra réfléchir à de nouvelles perspectives très cher Gilbert.
Verre vide
Publié le 25/11/2024
C'est complexe de savoir faire simple, c'est une belle maîtrise de l'écriture que de savoir et pouvoir le faire. Je n'ai jamais lu Nerval, je me dis qu'il faudrait que je m'accorde un peu de temps pour m'enrichir d'une nouvelle référence. Merci Perthro.
Soliloque de singe
Publié le 25/11/2024
Le plus grand des voyages est souvent celui de toute une vie... il y a plusieurs symboles qui ont retenu mon attention, tout d'abord le Titan, qui semble se placer au dessus de tout, et le charlatan, en dessous de tout. Toujours cette dualité qui créent questionnements et équilibre, qui rappelle qu'au milieu coule le destin, même condamné (et c'est probablement qu'il est condamné que ça le rend encore plus précieux). A plus tard et grand merci Francis Etienne.
Tambourins de silences
Publié le 25/11/2024
Le pouvoir de l'écriture et de sa dualité, entre ombre et lumière, à la fois caresse et arme, vérité et mystères... et que serait-elle sans le poète qui lui prête vie.Merci Francis Etienne pour ton dévouement au service des mots, et les tiens se veulent universels et intemporels.
Verre vide
Publié le 25/11/2024
Bonsoir Léo. Merci pour ton commentaire. En fait, pour résumer, plus j'écris et plus c'est simple. Je vais de la complexité vers la simplicité. J'ai longtemps été inspiré par Nerval ou Baudelaire et aujourd'hui, je me rends compte que cette simplicité est beaucoup plus intelligible que de se perdre dans des références inconnues, qui font parties de notre propre cosmogonie. Les textes peuvent bien-sûr être étudier de manière poussée, pour en comprendre chaque mots... Mais si l'on veut faire passer des messages forts, mieux vaut que tout le monde comprenne. En tout cas, c'est ce que je me dis aujourd'hui. Donc, dans mon écriture, plus le texte est simple, plus il est récent...
Tambourins de silences
Publié le 25/11/2024
Le dernier tercet est une petite perle. J'aime.
Turgeau et voisinage…
Publié le 24/11/2024
Grands Remerciements pour ton commentaire, Cher! Tu auras toute l’autorité pour apporter les modifications dans la structure du texte. Ma seule prochaine intervention sera la construction d’un index des noms cités. J’ai essayé de parler du quartier comme dans une conversation entre quelques riverains. C’est aussi le premier texte aussi long sur son histoire (plus de 8 mille mots!). Il sera certainement le plus volumineux de mon projet «L’histoire d’Haïti d’un contribuable inquiet». Dis moi, quels sont les secrets pour publier un ouvrage, version électronique, avec la bénédiction du Peuple des Mots? Encore Merci Beaucoup!
Bonsoir ma Soeur
Publié le 24/11/2024
Bonsoir Léo et merci de vos commentaires. Ce qui me saisit personnellement c'est le manque lancinant chez ce personnage de la figure maternelle. Il va sur les lieux de la Mama, des ersatz de lieux en réalité, pour espérer y trouver, quelque chose comme des points de fuite. Vous le connaitrez mieux. Il est areligieux, il n'a de déesse que la mer, mais il s'aventure quand même dans ces espaces fermés pour elle, pour la retrouver sur une étagère, ou derrière l'évier à rincer les pinceaux ... Je le suis comme vous. Merci Léo. Amitiés littéraires. Sam
J'inscris le rêve au Patrimoine de l'Être heureux, Fin
Publié le 24/11/2024
Bonsoir Léo, merci de votre retour. J'aime ces interactions littéraires et critiques. Encore merci.
Bonsoir ma Soeur, 2
Publié le 24/11/2024
De nouveau beaucoup de questions et quelques infimes réponses. C’est puissant et mystique à la fois. Et j’en profite pour souligner le choix des illustration qui apportent aussi beaucoup tant en terme d’expression mais aussi de support émotionnel dans ce que les visuels traduisent. A suivre.
Bonsoir ma Soeur
Publié le 24/11/2024
Dès l’entame on est assaillis de questions qui nous échappe et dont je ne sais que faire en l’état. On sent de nouveau un écrit très introspectif qui semble caractériser votre style. Avec, de nouveau, la place de l’homme et de la religion qui semblent de nouveau tenir la place centrale de votre narration. A suivre.
Verre vide
Publié le 24/11/2024
Bonjour très cher Perthro et merci pour ce nouveau poème qui était très attendu. J’aime énormément ce style épuré qui tranche avec d’autres poèmes qui sont plein de références culturelles très riches. Là on est dans une cave, assis, à la limite de la cécité et avec un calice qui semble indiquer un lieu de culte. Soit une forme de grande contrition, où il ne semble manquer que le cilice (c’est le verre en silice qui m’y a fait penser en terme d’homonymie). Le titre a toute son importance : tout y est vide, accentuant le sentiment d’une extrême solitude. De nouveau très efficace, bravo Perthro.
Tentaculaire abîme
Publié le 24/11/2024
Ton poème ne peut pas laisser indifférent tant la force des images qui y sont projetées interpellent et font naître de vives émotions. Il y a de la violence et une forme de fin annoncée, d’un cycle ou d’un pan entier d’existence. Il y a comme une forme de jugement dernier comme on lit la dépravation consignée en un livre… c’est torturé, comme un appel à l’aide face à la béante adversité qui peut inquiéter au plus haut point. Merci pour ce poème qui secoue et fait réfléchir.
Turgeau et voisinage…
Publié le 24/11/2024
Des dates en cascades, des faits, des témoignages et un incommensurable spectre d’informations que l’on ne peut traiter à la lecture tant les références et surtout les informations sont multiples et complexes. Chaque date mériterait un chapitre à lui tout seul, et puis il faudrait aussi agencer toute cette narration dans une progression chronologique pour mieux s’approprier les étapes, les influences, les environnement et l’Histoire, locale comme internationale tant on sait comment Haïti est très dépendante comme tu l’explique si bien des politiques extérieures. Je me demande quelles seront la teneur des autres chapitres. À plus tard Gilbert.
HEY YOU_4
Publié le 24/11/2024
Merci Lucie. Le retour que vous faites du texte, est sans appel: il n'est probablement pas assez clair. Mon texte évoque un type de harcèlement peu connu, un harcèlement communautaire que certains appellent "hagra". L'équivalent en français serait "harcèlement systémique". De nouvelles technologies méconnues du grand -public, sont parfois utilisées en zone urbaine pour le déployer. J'en ai déjà parlé dans un livre publié, DYSTOPIA (en vente à la Fnac mais aussi en accès libre sur mon site auteur "Edoplumes: https://edoplumes.fr/a-propos/). Je pense avoir réussi à trouver les mots justes pour décrire l'ampleur du phénomène, d'une violence rare et genrée, dans ce livre. Ce qui n' est pas le cas avec ce texte. Le format court ne convient pas à cette thématique, probablement. Merci infiniment pour ce précieux retour.