Cher Leo, Merci pour ton commentaires et surtout sur la qualité ? De tes remarques. L'imagerie développée par la poésie permets de pénétrer des mondes miraculeueux qui nous entourent et donc nous ne sommes pas conscients mais qui par le biais de l écriture se critalise
Le temps a raison de tout sauf des pyramides qui défient l’éternité. Tout semble prendre forme comme le ferait un mirage dans l’esprit de l’assoiffé : des visions aussi belles qu’inquiétantes et mortifères lorsqu’elles se dissipent. Entre enchantement puis sécheresse de l’âme. Merci pour ce beau partage Francis Etienne.
Sur le fil de la vie, à la frontière de la mort, une danse virevoltante entraînant dans sa dynamique les riches images de ta poésie féconde. Entre le passé et présent j’ai cette sensation d’un entre deux-monde où tout est encore possible.
Je ne pouvais pas rêver mieux pour commencer mon lundi. Un magnifique souffle d’apaisement et de bien-être et à minima mieux-être. La nuit et le vent comme baumes à l’âme et, le plus important de tout, l’état d’esprit qui va avec. Carpe Diem très cher Perthro.
Chère Engome, Comme je suis touché par la tendresse de votre remarque et par la qualité de votre fidélité. Mon absence s'explique par une hospitalisation assez longue à la suite d'une grippe qui m'a tenu loin de chez moi pendant 7 semaines. Je suis donc resté extrêmement silencieux pour la publication de mes textes mais j'ai repris et petit à petit je retrouve le rythme d'avant. Merci encore 1000 fois pour votre grande fidélité et pour votre appréciation de mon écriture. Très cordialement à plus tard Francis Étienne
Cet appel à la douceur est touchant, et plus que nécessaire dans un monde où l'être humain écrase son prochain au lieu d'en prendre soin. Penser à vivre au présent plutôt qu'au passé et au futur est une idée avec laquelle je suis d'accord mais je la vois tellement souvent que je m'en lasse un peu. Heureusement cela n'enlève rien à l'importance du message, heureusement, et à la beauté de votre écriture !
Cher Léo, merci pour cette magnifique remarque encore une fois où tu retrouves bien ces touches impressionnistes de mon écriture. Oui la nature m'a beaucoup inspiré, ou je devrais plutôt dire que la nature m'a beaucoup charmé. J'ai eu la chance de vivre pendant de nombreuses années dans une magnifique maison avec un jardin enchanteur où de saison en saison je voyais s'éclore la rose ou se flétrir l'Iris. Près du puits, quelques violettes se mêlaient au premier crocus. On ne peut pas oublier des tableaux de cet ordre. Et la véritable impressionnisme est pour moi la fonte de ces milliers d'impressions que l'on peut ressentir dans la nature ou ailleurs. Ainsi on trouve le mot juste pour du parfum, pour de la couleur, pour de la douceur, pour de la rigueur, pour de la lumière et pour de l'ombre. Et comme un impressionniste, on rassemble dans un seul poème tout un monde dont le moindre détail ouvre en chacun d'entre nous un univers que nous avons tous connu un jour quelque part. Qui n'a pas senti l'odeur de la mer, qui n'a pas senti le parfum d'une rose et qui n'a pas senti la douceur de l'herbe fraîche du printemps. Être poète, et tu le sais, c'est partagé avec les mots ce que chacun d'entre nous connaît déjà depuis longtemps. Merci Léo pour ce commentaire magnifique et surtout pour ta grande fidélité je te dis à très bientôt et je t'embrasse. Cordialement Francis Étienne. Une abeille habillée en vieille sorcière Butine en chantonnant sur une roncière.
Magnifique poème où la nature s’impose de toutes ses couleurs. Comme s’il s’agissait d’un paradis terrestre tant recherché. Flore et faune en harmonie pour une très belle toile impressionniste que l’on contemple en toute quiétude. Merci pour ce murmure de paix qui fait du bien à l’âme.
Lorsque tu parles de présidence à durée indéterminée on mesure bien toutes les incertitudes qui minent Haïti aujourd’hui, et c’était déjà avant que Trump viennent souffler une nouvelle incertitude sur le plan mondial qui n’a pas fini d’avoir des conséquences redoutables sur l’équilibre du monde.
Tout semble fragile ou couvé, comme ce sable du temps qui s’échapperait d’une clepsydre fissurée… ces grains de sables comme constitutifs d’une force ou d’une énergie indispensable qui viendrait à manquer pour livrer les plus lourdes batailles. Mais il y a comme souvent une once d’orgueil et de courage qui n’abdiquera jamais en l’humain, une petite flamme qui vacille mais qui refuse de s’éteindre. Cette lutte fait merveille dans tes poèmes. Merci Francis Etienne.
Bonsoir et bienvenue sur le site Carole, je partage votre avis, c’est une oeuvre majeure de la littérature et le roman graphique doit être exceptionnel. Merci de vos mots et de votre présence.
J'ai lu ce livre 2 fois à quelques années d'écart, et j'ai été bouleversée chaque fois. Je le considère comme un chef-d'oeuvre. J'ai lu aussi la très beau roman graphique tiré de l'oeuvre.
Merci Lucie de tout mon cœur pour le message que vous avez laissé, et qui me traduit le type de relation que vous avvre avec le texte que je viens de publier. Vous avez parfaitement senti la dimension religieuse de mon écriture. C'est une expression de mon être le plus profond; des années de latin et des années de prière en latin teintent chaque ligne que j'écris. Je crois que l'homme peut pas se séparer de l'idée de Dieu, parce que c'est une idée qui est en lui et qui définit son humanité. La bestialité la fragilité la tristesse et tous les sentiments qui érodent nos vies viennent nous assaillir constamment. Aussi, dans mon écriture ai-je voulu mettre en lumière ce combat permanent entre un moi profond très religieux et un moi plus superficiel et tentateur. Merci beaucoup pour votre franchise et surtout pour avoir pris le temps de laisser quelques lignes sous ce texte. Cordialement, Francis Étienne,
Merci cher Léo d'avoir lu ce texte avec autant de perspicacité. Les mots sont en effet les seuls éléments dont nous disposons pour habiller nos pensées. Ils sont aussi ces offrandes si particulières de nos prières. Ils revêtent des aubes de silence comme des symphonies d'instruments. Ils se mêlent des moindres détails de notre vie et nous donnent la clé de toutes les questions que nous nous posons. Ils ont la souplesse de la soie et peuvent se raidir comme de l'acier. Oui, ma matière ce sont les mots la clé de voûte de mon édifice, c'est avec eux que je construis des châteaux de cartes, fragiles, que j'expose chaque jour à la lecture d'entre vous. Merci Léo pour la proximité et pour ton soutien dans ma progression poétique; très cordialement et à plus tard Francis Étienne. Un long bout de ficelle attache au firmament Des lustres de saphir au soupir si charmant.
Les mots tout puissants s’érigent en glaive de la mémoire et ce faisant de la justice qui réhabilite l’homme et le par dessus l’adversité, une lutte de tous les instants et une dualité entre le bien et le mal qui brouille continuellement les perceptions. Merci Francis Etienne.
Dans ce poème c’est un monde de mots qui bâtît un décor incroyable, tant raffiné que recherché. J’ai beaucoup aimé les grappes de marbre, les boucles de verre, les étoiles de soie et même si c’est plus sombre, une feuille d’ombre. Quelle fantastique imagination.
Merci Engome pour ta grande sensibilité, j’ai la chance d’être entouré dans mon environnement professionnel de personnes inspirées et inspirantes pour qui le mot solidarité prend toute son importance.
Intrigué par le questionnement que pose ce livre: l'incompréhension de l'autre et les malentendus qui en découlent. Si l'on y ajoute les facéties de l'inconscient on arrive à peu près à cerner nos maladresses et le défi quasi impossible du vivre ensemble. Ça incite à le lire.
Et puisqu'il s'agit de souligner les malentendus, j'ai fait une fausse manip. qui a engendré un blocage de ton profil (résolu). Une facétie de l'inconscient ou la preuve que ce que contient ce livre trouve, de force ou de gré, sa résonnance chaque jour...
J'ai longtemps tourné autour du pot concernant la poésie. Et puis c'est venu. Sur le tard. Durant le confinement. Avant j'étais plus à l'aise dans un style journalistique débridé. Depuis je n'écris quasiment plus que de la poésie ayant récemment achevé un recueil. Merci pour les encouragements que tu nous prodigues à tous. L'écriture est une odyssée solitaire et les compagnons de route sont précieux.
Effectivement, ayant vécu à Southampton, notamment en 2012, je devais, passionné par l'évènement et ayant eu des ancêtres marins dont un sur la ligne vers New York, me mouiller. Merci à toi d'avoir fait le plongeon.
Oui mais ce n'est pas la même histoire. J'allais je parlais de la décision de la Russie d'attaquer l'Ukraine. Ici je parle de l'abandon du conflit par les USA et de l'état des lieux à sa suite, notamment la position extrêmement inconfortable de l'Europe qui a suivi en oubliant son intérêt et aussi le bon sens. ;-)
Merci beaucoup pour ce commentaire encourageant. L'idée dont tu parles n'est pas exactement celle que je voulais exprimer car je ne sais jamais vraiment ce que je cherche à dire, mais elle correspond exactement à l'état d'esprit du protagoniste et donc, tu me signales j'ai pu dire, par chance, ce que j'aurais du vouloir dire. ;-) Bientôt je pourrai ici publier tout le premier chapitre. ;-) Encore merci ! ;-)