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Commentaires
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Clarté dissimulée
Publié le 14/02/2025
Incroyable. Sans ton explication à la fin je serai rester sur une sculpture qui par ailleurs avait capté toute mon attention puis admiration. C’est chouette la personnification, cela permet de donner un beau souffle de vie à qui manie les mots avec fonesse comme tu l’as si bien fait. Merci Lucie.
Pont de prières
Publié le 14/02/2025
De nouveau un magnifique poème, tellement riche que j’ai par exemple hésiter avec mes mots rougissants à penser qu’ils rougissaient de honte ou de gène ou alors rougissaient comme les fers sur le feu des forges. On sent bien en tout cas les sens en alertes, où tout peut basculer à tout moment et à tout jamais. A chaque fois tu parviens à mettre en place quasi instantanément une ambiance magistrale. A plus tard Francis Etienne.
Gazouillis d'astres
Publié le 13/02/2025
Cher Léo, merci encore une fois pour ton commentaire et ton magnifique enthousiasme qui me réchauffe le cœur et l'âme. Tu parles d'un « cycle des existences » comme s'il y avait une résurrection des êtres. Je partage avec toi cette opinion je crois que nous viendrons après la mort nous-mêmes différents, peut-être les mots alors auront-ils le pouvoir de nous faire voyager dans des mondes gardés clos à nos yeux, mais que nous soupçonnons à travers la poésie, cette essence de l'existence que je recherche dans « une course effrénée d'images en images ». Le poète construit des passerelles à peine jetées au-dessus du vide. Il déforme la réalité, il en creuse la terre pour y chercher ces pépites d'or qui font de chaque texte un merveilleux arc en ciels de rêve, et d'espoir. Le poète sait qu'il faut traverser le miroir. Il n'en parle pas parce que personne ne comprendrait. Alors avec sa boîte de couleur il écrit ce qu'il voit, ce qu'il entend, ce qu'il sent, et revenant de ce côté-là du miroir il écrit. Merci encore 1000 fois pour ton commentaire et comme d'habitude je te dis à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Le temps coule toujours sur les pierres des gués, comme si dans le ciel on était aux aguets.
Algarades de princes
Publié le 13/02/2025
Cher Léo, voilà encore une comparaison si juste et qui traduit bien l'impression que tu as eue devant ce texte. Je tente toujours dans le tissage des mots d'insérer des couleurs qui sont proches ou qui met en valeur des mots moins brillants. C'est un peu le secret de la poésie ou du moins de ma poésie car chacun ressent le monde comme il l'entend ou plutôt comme il est capable de l'entendre. Je suis persuadé que les gens qui sont fermés à la poésie sont aussi fermés à certains aspects du monde, ils traversent la vie comme sur une passerelle, il ne plonge jamais dans le cours d'eau qui les amènerait vers d'autres réalités, d'autres sensations, peut-être d'autres univers. Nous sommes tous une portes du rêve. Il suffit de la chercher en nous bien entendu de l'ouvrir. Le travail poétique que je poursuis depuis des années consiste essentiellement à donner au lecteur une vision harmonisée et harmonique de l'univers ou du moins de l'univers qui m'entoure et que je peux toucher de mes doigts. Merci Léo encore une fois pour ton magnifique commentaire, qui comme je te le disais précédemment, est très précieux pour moi car il est le miroir du lecteur. Cordialement et à plus tard. Sous la cascade d'or d'un bassin de château se cache le trésor d'un immense bateau.
Abstinence de pains
Publié le 13/02/2025
On sent derrière les mots le caractère sacré, religieux, mêlé à une sorte de bestialité avec "mâche" et "crache", ce vocabulaire de la déglutition. S'en est presque profane mais les mots viennent sublimer le sacré pour rappeler que son aura est plus forte malgré la présence de la fragilité. J'apprécie de m'ouvrir aux textes qui évoquent Dieu, la religiosité, bien que, volontairement, je n'écrirai pas sur ce sujet, ou seulement de manière trompeuse. Merci à vous pour ce poème.
Abstinence de pains
Publié le 13/02/2025
Les mots apparaissent dans ton poème comme la clé de voute de ton édifice poétique. De la fragilité de ce qu'ils peuvent trahir, à la piété qu’ils peuvent revêtir lorqu’ils sont confiés à la prière, comme une incantation expiatoire. Les mots sont de la matière que nous leur conférons, c’est ce qui fait leur singularité. Merci Francis Etienne d’aboir suscité cette réflexion matinale par ton très beau poème.
Gazouillis d'astres
Publié le 13/02/2025
Ce gazouillis si lointain qui saupoudre l’âme du lecteur conquis que je suis. Une course effrénée d’images en images aussi surprenantes que fantaisistes, comme une ronde infinie, comme le serait le cycle des existences qui se succèdent avec panache. Merci Francis Etienne, j’ai aimé cet enchaînement audacieux.
Sur le Rebord du Monde
Publié le 13/02/2025
La vie est in combat perdu d’avance puisque la mort aura le dernier mot. C’est de cet état de fait que l’homme disposera toujours d’une faille béante dans son armure, permettant au doute de le malmener. Ce doute qui fait vaciller les âmes et alimente les plus grosses tempêtes… chaque jour est un nouveau défi et chaque mot l’espoir de tout conjurer. Merci du partage Sam.
Tout en rond
Publié le 13/02/2025
Une belle mélodie qui célèbre la vie et l’amour portée par des mots qui finissent par libérer et lâcher prise… s’abandonner pour ne plus n’appartenir qu’à soi. Très joli.
Ce Dieu à qui je parle
Publié le 13/02/2025
Quoi de mieux que les mots pour tromper l’ennui, et construire sa pensée. Les mots sont émancipateurs et alliers bienheureux, de bien des situations. Merci du partage Daniel, de nouveau une belle expression intimiste.
Algarades de princes
Publié le 13/02/2025
Qui vit par le feu périra par les flammes… s’en remettre à l’envol poétique pour prendre de la hauteur, se soustraire à l’échec et aux désillusions pour mieux renaître de ses cendres, pareil au phénix. Merci Francis Etienne pour ce très beau poème de haute voltige.
Mon cri
Publié le 13/02/2025
J’aime beaucoup ce texte qui est un vrai cri du coeur, authentique car sincère. Il y a tant de fébrilité, de maladresses, de fatigue, tout un tas de raisons fortuites pour ne pas être au rendez-vous de soi-même… de ses propres mots. Merci du partage.
Fumerolles de pages
Publié le 12/02/2025
Bonsoir Léo, voilà un commentaire que je n'avais pas lu et auquel je n'avais pas répondu. Oui l'es mots sont mystérieux, car invisibles, intouchables, impalpable, inodores, incolores, et pourtant ils sont toute notre vie. Sans eux nous pourrions exprimer nos sentiments, nos joies et nos colères. Ils nous sont indispensables et ils sont à la racine même de la création, puisque au début Dieu a nommé toute chose. À travers nous, cependant, les mots glissent comme d' insolents fantômes, qui nous ouvrent des portes sur des mondes extraordinaires, et c'est bien là le propre de la poésie. On pourrait dire encore beaucoup de choses sur les mots, mais je pense que ce serait inutile de parler d'eux car ils sont là sous nos yeux. Merci beaucoup et encore une fois je te rappelle l'importance de ton amitié. Cordialement Francis Étienne. Dans une cour de marbre où poussent le printemps Une femme en fourrure effeuille les passants.
Au-delà d'un songe
Publié le 12/02/2025
Merci pour ce beau commentaire qui me touche beaucoup et bien sûr au plaisir de vous lire aussi ! Les commentaires sont pour moi une source de nourriture et en même temps un miroir de mon écriture. Ils me sont donc très précieux et le votre lait en particulier parce qu'il me donne le sentiment que vous avez saisi l'essence même de ce poème. Je vous en remercie de tout cœur et je vous dis peut-être à une prochaine fois si vous trouvez un texte intéressant. Cordialement Francis Étienne
3909 04
Publié le 12/02/2025
Voilà une (re)publication de cette histoire vieille de 2012 qui a coulé avec welovewords et que je renfloue...ne serait ce que pour remplacer le lien à ce sujet, qui était donc devenu inerte, sur mon compte facebook. Quelques autres seront renfloués de même, mais j'escompte bien en pondre un nouveau. Merci pour vos bons mots.
3909 04
Publié le 12/02/2025
Heureuse de voir votre texte échouer ici ! Oui nous sommes tous à bord et risquons de couler bien plus vite que prévu. Hélas...
Sur le Rebord du Monde
Publié le 11/02/2025
De vastes réflexions me viennent car ce que vous dites fait écho à ce que je pense souvent mais désespère de voir si peu en exergue dans l'infinie comedia dell arte qu'est la vie des Hommes. Ne voulant pas trop déborder, je me contenterai donc d'adhérer à votre postulat et d'espérer qu'il fasse quelques émules.
Reviens
Publié le 10/02/2025
Bonjour Lucie, merci pour votre commentaire éclairé. Se laisser porter par le vent est un vœu pieu mais c'est tellement agréable. Mais se laisser porter contre vents et marées par une relation est encore plus fort.
Au-delà d'un songe
Publié le 10/02/2025
C'est un très beau poème ! Le poète transmet et traduit l'être humain qui est, à mon sens, un être d'ombre et de lumière, capable du meilleure comme du pire. C'est aussi, en plus du juste commentaire de Léo, ce que ce poème m'inspire. Merci Francis Etienne, au plaisir de vous lire une nouvelle fois !
Reviens
Publié le 10/02/2025
Vos mots nous invitent avec plaisir à considérer que comme le temps passe il faut en faire bon usage avec ce qui nous plaît car nous ne pouvons pas revenir en arrière. Cela consiste à se laisser porter par le vent avant qu'il ne balaie tout sur son passage, à se sonder pour connaître ce qui nous intéresser et se faire emmener par son ivresse. A la lecture j'ai prêté l'oreille et entendue le bruit des vagues poussées par le souffle du vent. C'est très agréable, merci !
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Merci merci beaucoup pour votre cri du cœur devant ce texte ! Et merci surtout pour le votre fidélité à lire mes poèmes. Cordialement Francis Étienne
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Cher Léo, tout le plaisir est partagé et je te prie de croire que je suis content d'être sorti de cette période où la grippe pendant sept semaine m'a tenu éloigner de la maison ! Cela a été une période où j'étais dans l'incapacité de gérer mes affaires et bien entendu de faire le moindre effort. La grippe a été tellement forte que j'ai été obligé d'aller dans une maison de convalescence pour une forme de résurrection ! Mais laissons là ma vie privée mais parlons bien sûr plutôt de l'écriture. Oui c'est un poème « d'ombre et de lumière » tu connais parfaitement mon style ou je ne laisse passer aucun détail angélique sur le monde qui m'entoure car je sais d'expérience que le monde est un mélange de biens et de mal. Il y a presque toujours dans la beauté qui nous entoure le doigt de Dieu rédempteur et le rire du diable séducteur. Le poète se doit de saisir cette beauté et de la traduire par des mots de façon à ce que le lecteur ait lui aussi accès à la vérité. De fait le poète est un médium et c'est à la perfection de son art qu'il doit constamment travailler en ne se souciant pas trop de vouloir dire quelque chose. Le poète traduit, le poète transmet, le poète donne mais il ne crée pas. Merci encore pour ta remarquable amitié et pour ton immense fidélité. Cordialement, Francis Étienne. Des rubans de ravins enroulent le destin Autour d'un soleil d'or comme un fruit de festin
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Que c'est beau ! Merci.
Un homme à la fenêtre
Publié le 09/02/2025
Merci pour votre accueil envers mon texte, j’apprécie lorsque je réalise que mon écrit rejoint la sensibilité et le cœur de l’autre. Ça me donne le goût de vous lire.
Au-delà d'un songe
Publié le 09/02/2025
Quel bonheur et plaisir de te retrouver, toi et tes mots somptueux. Un poème d’ombre et de lumière, de coeur et d’âme, qui se livre à une tragédie digne de nos plus grandes littératures. C’est avant tout cette ambiance du début à la fin que je salue car elle apporte sans discontinuer une intensité forte. Merci Francis Etienne !
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 08/02/2025
Certaines phrases sont un peu lourdes, mais j'aime bien l'idée et le découpage.
Reviens
Publié le 08/02/2025
Bonjour Léo, merci pour tes commentaires toujours positifs! Et oui, il faut parfois savoir s'arrêter et regarder, écouter, se laisser porter.
C'est le principe
Publié le 08/02/2025
Merci beaucoup Léo. Oui, c'est un autre extrait du roman que j'écris. Le long texte commencé ici i l y a quelques semaines, je le mets au frigo pour l'instant. Merci pour ton infatigable investissement dans ce site. Ce ne doit pas toujours être facile. Merci ! ;-)
C'est le principe
Publié le 08/02/2025
Ton précédent texte était dans cette lignée, rendre visible ce qui se tapie dans la lumière des écrans où se jouent des drames individuels et collectifs indicibles jusqu’à ce que des mots comme les tiens les exposent tels qu’ils sont. Tu as un fil à tirer si tu es toujours à la recherche d’un format long à écrire.
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 08/02/2025
Quel plaisir de te retrouver en mots Engome, un texte court mais comme toujours intense et nerveux, engagé et sans concession pour nos sociétés faites d’artifices et de faux semblants. Il y a l’invisibilité du décors dans le premier paragraphe, l’invisibilité contraintes par la géographie dans le second, l’invisibilité du réel dans l’avant dernier, et l’invisibilité de toute dignité en se livrant corps et âmes à la marchandisation. Tes mots m’avaient manqués, car ils empêchent immanquablement de tourner en ronds. Merci Engome, à plus tard.