Falaise délicate, mer déchaînée
J'ai trouvé ce que j'avais perdu
Il y a ton sourire dans la marée
La plénitude, avec ton visage tu
Relies tous mes continents
Ces morceaux de moi sans M
Pour ne plus que dure, ment
Songe à la joie que tu aimes
S'éloignent les algues vertes
De cet eau de vie prodigieuse
Pour les âmes jadis mortes
Écroulées sous le poids du doute
Je le fatigue, je le fatigue
Il s'épuise à mesure que je grandis
Hors de la zone, atteindre la digue
Je peux me noyer enfin dans ton lit
Rivière sarment, rivière éclatante
Où tu panses ce que tu hais
Pour pen
ser ce que tu es.