Très belle participation Vincent, ça monte crescendo et ça puise dans les peurs d’enfants qui sont souvent de mémoires les pires qui soient. Il y a de l’angoisse, du gore et de façon habile il y a certaines pistes qui nous mènent à la chute tel que le carrelage. Attention à l’usage de « prêt/près » et « une lutte acharnée »sinon je n’ai rien d’autre à remonter, c’est impeccable et impressionnant au vu de la rapidité de production de ce texte. Bravo et merci Vincent.
Bravo Vincent! Pari gagné. J'ai beaucoup aimé la montée en puissance de votre histoire. Cela démarre tel un thriller, bien rythmé, le procédé en leitmotiv du rêve passé, le lexique judicieux qui sombre finalement dans l'horreur avec ce rythme qui s'accélère, et qui tient le lecteur en haleine.. jusqu'au dénouement infiniment bien joué, avec ce rêve. Vous avez relevé le défi haut la main. Et ce n'était pas simple de poser une intrigue en si peu de mots.
Merci pour cet excellent moment de lecture.
Un très beau texte pour ceux qui feront demain mais aussi pour ceux que l'on a été, et si nous pouvions retrouver un peu de tous ces bienfaits qui s'ils ne se perdaient pas en route feraient un monde parfait. Merci Vickie.
J'aime cette idée d'un régime sans "P", et cela aurait été l'apothéose avec un texte sans les lettres "I.K.E.A" :-) Comme Allégoria, j'aime bien cette pointe d'ironie que l'on perçoit mine de rien.
Merci Myriam, est-ce bien Myriam qu'il faut que je doive vous appeler (comme il y a "A.E" avant je n'aimerais pas commettre d'impair. j'écris à l'instinct sans jamais anticiper ce que pourraient faire ou penser mes personnages, à la vérité ce sont eux qui me mènent par le bout du nez, mais il me plait à penser comme vous qu'il regagne à sa façon la lumière. A plus tard et encore merci pour le commentaire.
J'ai écrit ce texte en hommage à une vieille amie malheureusement disparue, au-delà de s'appeler Marguerite elle était à l'image de celle du conte. Merci pour le commentaire.
Disons qu'il faut apprendre à se pardonner et garder à l'esprit que notre pire ennemi(e) c'est nous même.....mais nous pouvons être aussi notre meilleur ami(e): apprendre à cultiver cela aussi :)
Vickie, j'ai mis un j'aime à ta réponse pour moi. Parce que j'aime cette idée de choisir (et) de ne plus subir. Par contre, juste, et parce que tes mots ricochent en moi, et souvenirs : s'il est important de comprendre son passé pour se (re)construire, il est important aussi de se dire qu'on n'a pas toujours forcément fait d'erreurs :)
Merci Allegoria: je crois que l'on vit pour apprendre et pour comprendre de son passé, de ses erreurs et de ses failles. Ainsi, lorsqu'on se connaît mieux on peut se reconstruire sur des bases plus solides et CHOISIR sa vie au lieu de la subir....
Je ne sais pas si vous avez apprécié ce film Ready Player One qui est tiré du livre éponyme de SF de Ernst Cline mais je trouve que le dialogue sur le stock de papier retrouvé pourrait tout à fait s'y trouver.
J'aime beaucoup cette phrase "je me lève pour regagner mon ombre". ça fait "ange de la désolation" ou 'clochard céleste' comme dans les romans où les héros sont Beat. Quelle est la lumière pour le héros, se lève-t-il et rejoint-il l'aurore pour regagner sa lumière?
Le père a un premier bureau et un deuxième bureau disons, mais pourquoi le fils emprunte-t-il cette somme? À quoi va lui servir ce butin? J'aime beaucoup: "c'est de la sorcellerie tout ça"/"Je vais faire une neuvaine pour retrouver ce voleur. Cette prière se fait à l’aide d’un fil noir enroulé autour d’une bougie allumée. Au bout du neuvième jour, le voleur sera dévoilé, et il aura pour son compte… ". A la fin c'est de la sorcellerie vraiment cette histoire, parce que je ne comprends pas qui appelle le héros: la maîtresse dont il est question dans le lit d'hôtel? Le héros doit-il emprunter de l'argent pour monter une affaire? en a-t-il besoin pour partir pour la France? lui-même est-il en relation avec cette voisine?
Les textes de jeunesse de Goldman qui ont servi de bande son à mes années d'enfant (avant 90) sont plutôt une ode au défi alors que celui-ci dit plutôt ce qui arrive une fois le défi gagné. Je le trouve chouette pour ça. Bon, mon tube préféré reste l'équivalent italien de Goldman (en terme d'années, de célébrité et de sonorité 80 je trouve), je pense au tube de Vasco Rossi avec le titre UNA VITA SPERICOLATA. Jamais entendu cet air en France mais connu et chanté en Italie en soirées étudiantes, autant repris que Bob Marley même. J'ai essayé de mettre la meilleure traduction possible mais bon... n'est pas traducteur qui veut. Quant au CLIP de 83 de Vasco lui-même, c'est un petit bijou kitsch que je vous recommande si vous voulez sourire un peu.
De mon côté, j'aime beaucoup votre C.R.I que je trouve très poétique. Par poétique je veux dire qu'il laisse me une impression étrange mais agréable (étrange car c'est probablement parce que je ne comprends pas tout que je dis étrange).