Ce Dieu à qui je parle se situe à l'intérieur de moi, dans une partie de mon esprit qui ne contrôle pas tout, c'est un regard différent. La première fois qu'il m'a été donné d'en faire l'expérience c'était à l'église alors que je m'ennuyais à mourir,…
Le sable au bout des pas les hommes du volcan
Avancent dans la joie en brûlant leur visage
Aux flammes d’une paix qui règne sans usage
Sur un monde de lave aux griffes de carcan.
Par-delà le désert les plumes d’un toucan
S’envolent vers la mer comm…
On ne sait pas parler
Notre cri d’amour nous étouffe
Tapis au fond de nous.
Il faut un coup, un coup de la vie
Pour se rendre compte
Que l’on est submergé par les inquiétudes
Il faut un coup de la vie
Pour qu’apparaisse l’essentiel
Cette s…
De la bouche d’un orgue à la gorge douceâtre
Coule le sang cuivré d’une divine voix
Dont les sanglots séchés déversent sur la croix
Des volutes d’encens à la vertu saumâtre.
Comme un flambeau doré sur le mur d’un théâtre
La lumière grésille à l’ode…
Nous vous proposons cette édition d’Hamlet parue en 1864 et traduite par François Guizot. Sans conteste la plus célèbre des oeuvres de William Shakespeare, plongez dans. cette tragique histoire d’Hamlet, prince du Danemark faite de meurtre et de vengeance.
Sa poupée, en robe à fleurs, a une mère célibataire de cinq ans. Celle-ci tourne le volant de son invisible décapotable, et se gare dans le vide. Puis, elle lui sert à manger dans sa jolie dînette rose. Le père ne rentrera pas. Dans son imaginaire d'…
Il faut que les mots
Descendent dans nos corps
Pour qu’ils puissent lever
Nos courbatures
Nous croyons marcher
Tout en boitant
IL faut que nos yeux
Nous voient vraiment
J’ai perdu du temps
En me reniant
Mais ce fut du temps
En me cherch…
À quoi pensait-il debout devant la fenêtre au petit matin? Je l'observais de loin et ce n'était pas la première fois que je le voyais s'attarder de longues minutes à regarder au loin. Que voyait-il? J'avais parfois l'impression que ça lui permettait …
Par la figue si fraîche et tant de barbarie,
Par la voile qui danse, éclairée de soleil,
Par la source d’eau claire à qui rien ne tarie
Que d’un profond sommeil,
Par le vent qui nous berce et nous monte à la tête,
Par le vent qui nous berce…