Des dates en cascades, des faits, des témoignages et un incommensurable spectre d’informations que l’on ne peut traiter à la lecture tant les références et surtout les informations sont multiples et complexes. Chaque date mériterait un chapitre à lui tout seul, et puis il faudrait aussi agencer toute cette narration dans une progression chronologique pour mieux s’approprier les étapes, les influences, les environnement et l’Histoire, locale comme internationale tant on sait comment Haïti est très dépendante comme tu l’explique si bien des politiques extérieures. Je me demande quelles seront la teneur des autres chapitres. À plus tard Gilbert.
Grands Remerciements pour ton commentaire, Cher! Tu auras toute l’autorité pour apporter les modifications dans la structure du texte. Ma seule prochaine intervention sera la construction d’un index des noms cités. J’ai essayé de parler du quartier comme dans une conversation entre quelques riverains. C’est aussi le premier texte aussi long sur son histoire (plus de 8 mille mots!). Il sera certainement le plus volumineux de mon projet «L’histoire d’Haïti d’un contribuable inquiet».
Dis moi, quels sont les secrets pour publier un ouvrage, version électronique, avec la bénédiction du Peuple des Mots?
Encore Merci Beaucoup!
Géniale cette chronique pour une collectionneuse de petits faits vrais. J'en suis une. J'ignore si cela s'inscrit dans vos projets mais j'apprécierais de pouvoir m'appuyer sur des cartes. À mon avis, si l'on explore l'histoire d'un territoire, on explore aussi la carte. À des informations aussi précises on ne peut que souhaiter apparier une légende graphique: photo ou carte? Qu'en pensez-vous? À très bientôt Gilbert.