Sur un air de gaieté

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Allégresse à tout va.

Et je minore, ma peine.

La joie emporte tout,

Même les plus grands, des secrets.

Et ces questionnements,

Qui remuent dans ma tête,

Je ne peux pas les sortir.

De la gaieté, à en pleuvoir.

Pour les jours à combler.

 

Ô mon amour, je m'en vais...

Tutoyer le monde et les étoiles 

Chercheur d'heures délicates.

Gourmandise de l'esprit.

Pensées sensibles écarlates.

 

Ô mon amour, je sais...

Il faudra préserver le foyer.

D'échecs en vastes tombeaux.

A contrarier le destin

Par le printemps nouveau.

 

Ode à la divine création.

A l'énergie naïve d'être,

Heureux parmi les vivants,

Sans avoir l'air d'avoir,

L'abondance du vide.

 

En jeux de miroir, comme des enfants...

Je ne lâche pas ta main.

Je ne laisse pas demain,

Se détourner du bonheur.

 

A l'arbre éternel,

Au soleil de la passion,

Au terrible malentendu,

Je ne recherche plus

Ces drôles d'illusions,

Là dans notre ciel.


Publié le 21/11/2025 / 4 lectures
Commentaires
Publié le 21/11/2025
Regarder ensemble dans la même direction… ton texte est vif et très imagé, j’ai un coup de coeur pour ""Ode à la divine création. A l'énergie naïve d'être, Heureux parmi les vivants, Sans avoir l'air d'avoir, L'abondance du vide. », merci de partager toutes ces inspirations toujours très émouvantes. A plus tard Ioscrivo.
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