L'amour pour l'apparence, Course à une beauté en carence, Ce noir pétrole Qui dégouline sur le sol, Au monde intérieur, Ses innombrables fleurs, D'une seule ombre, Une nuit sombre, Celle de la tombe, Un vide absolu, Où l'on préfère l'habit À la peau nue, Où l'on voit la vie Derrière un voile, Un tissu qui s'étiole, qui s'étale, Quand la poésie, Déployant ses pétales, L'a toujours dévêtue, Cette belle inconnue.
Lucie R.
(Texte soumis aux droits d'auteur.)