La philosophie,
un labyrinthe.
Tu parles de dualité,
de l’âme et du corps,
de Socrate,
et de Dieu.
Mais,
quand l’âme pleure,
où va-t-elle ?
Dans quel abîme,
dans quelle lumière ?
Peut-on vraiment
séparer le vrai du faux ?
La haine,
transmise,
comme un héritage.
Et le doute,
un étranger oublié.
Que reste-t-il
de notre humanité,
si tout n’est que dualité ?
Platon,
un miroir,
ou une cage ?
Sa quête de justice,
qui la porte aujourd’hui ?
Peut-on rêver
d’un monde sans ombres,
sans jugements ?
Et toi,
quelles vérités
trouves-tu sous la surface,
dans ce monde éclaté ?
N’est-ce pas là
que se cache
ta sagesse ?
Abandonner les certitudes,
embrasser l’inconnu.
La philosophie,
un souffle,
une invitation.
Et si, là où tu vois
la fin,
il n’y avait que le début ?
Écoute,
le babil des mots,
le flow des idées.
Peut-être,
juste peut-être,
la réponse est dans
l’absence.